En attente des héros

La missive envoyée quelques jours plus tôt ne fut déchiffrée que par quelques érudits. Ceux qui arrivaient au loins semblaient savoir quelques techniques de combat, mais sans plus. Maître Renard dut se dire deux chose pour se rassurer :
#1 : Il ne fallait jamais se fier aux apparences, et cela Elrys l'avait appris à ses dépends.
#2 : L'art du combat s'apprend!

C'était toutefois un petit groupe. Maître Renard aurait bien voulut quelques hommes bien vaillants de plus. Quelques femmes. Généralement, les femmes ne réussissaient pas à monter le peuple contre le gouvernement. Elles avaient beau avoir beaucoup de charisme et de savoir-faire, le leadership était attribué à tort aux hommes. Même les femmes en aillant plus que les hommes n'étaient pas écoutées. C'était regrettable, mais cela restait ainsi.

L'homme-renard se retira finalement dans un manoir qui lui avait été attribué par le roi lui même avant sa mort. Il avait avertit les guetteurs de l'arrivée imminente de ses nouveaux élèves et leur avait dit de les diriger au dortoir publique, réaménagé en petite école pour la confrérie et ses membres. Seul les membres et les très hauts-gradés de la ville pouvaient y accéder. Autrement, on fouettait la personne autant de coups que de secondes qu'elle avait été à l'intérieur du bâtiment. Elrys était très sévère et surtout sur ce point. Quelques jours auparavant, il avait fait fouetter un jeune homme de 15 ans. 37 coups de fouet. Il avait été chanceux car maître Renard savait qu'il avait passé quelques minutes à l'intérieur. Il avait engagé deux gardes qui se postaient chaque jour sur la terrasse du petit restaurant en face.

Maître Renard prit quelques papiers au manoir et partit au dortoire rejoindre ses nouveaux élèves.

Alucard, en loup noir, courrait dans la vallée a pleine vitesse vers le donjon.

"J'ai entendu dire que Il existait une confrerie secrete en faisant parler un voleur...un confrerie de héros...je dois aller voir sa !"

Le vampire arriva devant la muraille du chateau, et, devant les gardes, passa sous forme humaine. Ils furent tres étonnés et commencerent à se méfier de cet individu. Alucard fit sa révérence, et avancea silencieusement vers la porte. Il passa sous forme de brume et a travers la porte. Le gardes beuglerent et tenterent de ratraper Alucard, qui passa en forme de chauve souris et s'envola vers le donjon. Il arriva devant la porte et repri forme humaine. Il chuta sur 10 metres et retomba comme si le choc était de 30 centimetres, tout en légereté. Il enleva sson gant en soie noir de la main droite et tapa a la lourde porte.

Une ombre noir s'avança vers le chateau, stoppa devant la porte en attendant qu'elle s'ouvre seule.

Comme guidé par un instinct elle se dirigeait dans le dongeon suivant d près le vampire.

Une vague odeur de sang les entourait tout deux, la démone se laissa aller à passer sa langue rouge sur ses lèvres.

Elle avait faim de sang, peut être était-ce pour cela qu'elle était ici!
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Alucard s'efforcea de faire apparaitre un minuscule sourire au coin de ses levres.

"Ne serais-je pas seul ?"

Puis Alucard remit son gant de soie et se tourna lentement vers la jeune femme. Il attrapa lentement la main de la dame et la baisa.

"Alucard, fils de Sparda Death-Hammer."

Puis il se tourna a nouveau vers la porte. Il attrapa le coté de sa cape et se le passa legerement devant.

À l'entré de la forteresse, je fus conduit comme il se devait, dans la dortoir où déjà troi personnes attendaient. Un nain et deux êtres étranges dont je ne connaissais même pas l'existence. Je m'assit sur l'un des lits et y déposai mon sac dans lequel je rangeai mon couteau. Je me dirigeai par la suite vers un bac remplis d'eau et je m'y lavai le visage. Je changeai de chemise et ouvrit un cahier. Je pris ma plume et commençai à dessiner. J'accompagnai le croquis de quelques phrases et je fermai le livre. Je me pris à fixer la démone. Je la trouvais magnifique. Mieux qu'un elfe. Quand elle regarda dans ma direction, je détournai le regard et rougis. Je n'étais qu'un paysan. Pas quelque chose auquel on s'attardait généralement.

Je repris mon cahier de dessin et commençai à dessiner la démone. Finalement je me levai et me précipitai vers elle pour me présenter :
-Je suis Ikar Brechende, pour vous servir!
Je m'agenouillai en guise de respect, mais devant la stupidité de mon geste je m'excusai à la dame et voulut me retirer vers mon lit rapidement.

Maître Renard entra dans la pièce. Tous les regards se tournèrent sur lui. Il se positionna en plein centre et demanda à tout le monde de s'approcher. Un nain, deux démons et un homme.... C'était tout ce qu'il y avait.

-Je suis maître Renard, dit-il en retirant sa capuche pour dévoiler son véritable visage de renard. Je suis le maître de la confrérie du renard et vous êtes ici pour peut-être un jour accéder au rang de frére ou de soeur selon le cas. Je n'accepterai pas qu'on me regarde directement dans les yeux si je ne vous y autorise pas. Ici les règles seront très strictes. Vous étudierez avec moi dès le lever du soleil et vous ne vous coucherez que quand je vous en donnerai la permission. Vous apprendrez à vous battre, à user de diplomatie et si vous êtes à la hauteur vous obtiendrez un meilleur poste au sein de la confrérie. Les règles vous seront envoyé par écrit par un elfe. Profitez de cette journée car nous commencerons votre entraînement dès demain.

Sur ce, maître Renard quitta la pièce.

Quatre personne était présente dans le chateau ormis la démone, elle avait été baiser par un être à la voie calir portant un gant de soie, une créature de la nuit, se disait-elle, un mâle, celui qu'elle avait suivis dans le dongeon.

Le deuxième arrivé avançait d'un pas lourd, Elbereth indentifia tout de suite un nain (ou une naine d'ailleur), mais celui-ci ne parla point et son entré en resta la.

Un humain entra en troisième position, Elbereth reconnaissait leur odeur entre mille.Elle tourna la tête vers lui, il emanait de lui une timidité, pourtant il vint se présenter à la démone et s'agenouilla maladroitement devant elle.

Le quatrieme semblait être le chef des lieux mais il sentait l'animal, il leur dit qu'ils avaient une journée de libre, histoire de faire connaissance surement

Elle sourit, il était bien faible.

Une silhouette entièrement vêtue d'une longue robe à capuchon d'un blanc d'une pureté et d'une nitescence sans pareille, dissimulant parfaitement les traits du visage, pénétra à l'intérieur de la pièce sans bruit. C'est à peine si l'on avait entendu la porte s'ouvrir et se refermer sur le personnage aux yeux dont l'éclat violet luisait étrangement. Un bâton à la main, mais une démarche droite, fière, quoique légèrement claudiquante. Sans un mot, l'étranger resta debout, à contempler des choses que lui seul pouvait voir. Puis, soudainement, le cristal qui trônait sur son bâton de chêne non sculpté s'illumina d'abord faiblement, puis de plus en plus. Le plus étrange, c'est que le cristal, pourtant violet projettait une lueur noire, oui, une lueur, comme si le noir pouvait briller, pouvait illuminer....et pourtant, la pièce refléta ce noir lumineux comme si le soleil y était entré.

Une nouvelle présence se fit sentir, plus mystérieuse et fuyante que les autres.
Elbereth n'aimait pas cela, elle ne pouvait avoir d'idée sur cette créature, mâle ou femelle, vivants ou mort-vivant... elle n'en savait rien.

Elle s'inquiétait pour la journée à venir, il allait falloir faire quelque alliance pour survivre plus facilement.
Le nain semblait vouloir prendre le commandement, elle lui obeirait tant que cela lui semblerait vient pour elle.
Elle s'avança vers le vampire et ce présenta à son tour, en murmurant, seul lui pouvait l'netendre.

"Je me nomme Elbereth, le nain doit avoir raison, autant que l'on commence à s'entrainer maintenant, rien de mieux pour apprendre à se connaître."

Elle prit la direction de la porte, effleura l'humain au passage come pour lui signifier de venir aussi mais ignora totalement l'inconnu qui n'avait pas dit un mot.
Elle n'avait rien dit au nain mais s'il avait envie de s'entrainer il allait naturellement suivre.

Je me levai quand maître Renard entra puis me rassis à son départ. J'allais avoir une nouvelle vie qui semblait à première vue assez difficile, mais mieux valait cela que de retourner chez moi. De plus il en faudrait beaucoup pour que le travail soit plus rigoureux que celui d'un fermier. Je tus mon ancien grade, cela n'impressionerait personne. Quand la démone passa près de moi en m'effleurant, je rougis. Elle l'avait fait exprès. Je me levai et trébuchai dans une latte de bois. Ma vie était un enfer. Je me relevai d'une traite et marmonai quelques mots incompréhensibles (quelques jurons) avant de suivre la demoiselle.

Je faillis trébucher à nouveau, mais je me retint sur le lit et je franchis la porte comme si de rien n'était. J'étais vraiment trop maladroit.

Alucard observa tout les évenements se derouler, et se dirigea vers un coin de la piece. Il n'avait pas de sacs mais portait beaucoup de choses sous sa longue cape. Le Vampire enleva à nouveau son gant de soie noir. Il sorti de son sac une coupe en argent richement décorée de rubis. Il la secoua légèrement et celle-ci se rempli petit à peit de sang. Il approcha la coupe de ses lèvres lentement et la bu tres lentement. Quand il en eu fini il repensa aux paroles de son soit disant "Maître". Ne pas le regarder dans les yeux? Pourquoi? Avait-il peur de regard des autres ou avait-il honte de ses yeux? Alucard n'en savait rien mais savait une chose précise, quand il l'aura quelque chose a dire au Renard, il lui dirait, les yeux dans les yeux, question de respect. Il fini sa coupe de sang en pensant à cela, et vit le nain sortir en saluant chaleuresement tout le monde. Il ricana, puis jeta violament la coupe d'argent et de rubis au sol. Elle se brisa, puis il se leva, poussa la lourde porte, et se transforma en loup, le plus possible au regards des autres . Il hurla et se mit à courir vers le nain. Arriver à sa hauteur, il passa sous sa forme "humaine".

"Vous semblez connaitre à quoi ressemble l'entrainement de ce Renard, parlez moi en je vous prie..."

Durant l'absence des "héros", Maître Renard envoya un serviteur accrocher les règles à respecter pour devenir et rester son élève :
1. Ne pas adresser la parole directement à Maître Renard. Attendre que celui-ci le fasse.
2. Ne pas regarder Maître Renard dans les yeux et cela sous aucun prétexte,
3. Toujours appeler Maître Renard "Maître".
4. Respecter toutes consignes de la part de maître Renard.
5. Ne manquer de respect à personne, pas même à ceux qui sont considérés comme ennemis.

Notez bien : Tous manquements à ces règles seront punis selon les désirs de Maître Renard.

La démone arriva la première dans la salle d'entrainement, elle aurait voulu s'entrainer dehors mais le soleil brillait et elle ne tenait pas a s'éloigner du vampire.

Elle marcha jusqu'au centre de la salle arrondie et se retourna vers la porte pour faire face aux prochains arrivants.

Qui viendrai le premier, le noble vampire, le nain bavard ou l'humain maladroit?

Je suivis la démone qui prit un peu d'avance sur moi. J'avait tout mon temps de toute façon. Ce n'était pas comme plus tard où il faudrait être pile à l'heure ou en avance selon les désirs de Maître Renard. J'entrai finalement dans la salle d'entraînement. Je m'assis sur un banc et avant même l'arrivée des autres, un homme de grande carrure, un elfe, entra dans la salle. Ce devait être l'instructeur. Il regarda dans ma direction puis dans celle d'Elbereth.
-Je savais bien que vous viendriez. Je suis Thomas OniäR, votre instructeur pour la journée. Avez-vous des armes?

Je n'avais pas ammené mon couteau. Et de toute façon ce n'était pas un couteau de combat, mais un couteau pour égorger les moutons. Je répondis négativement, un peu gêné de pas en avoir. Thomas me lança une épée batarde que j'attrapai au vol, très étonné de mon propre geste. Si j'avais été moins timide, j'aurais sans doute demandé à ce qu'Elbereth m'apprenne à lancer des couteaux, mais je m'abstins.

Ce fut Ikar qui rentra en premier, sans même regardé la démone il s'assit sur un banc.

L'instructeur arrive, lorsque il demanda si les elèves possédait des arlmes, dix poignards apparurent dans les mains d'Elbereth, elle se déplaçait toujours avec et gardait en elle le secret de leur origine.

Ikar n'en n'avait pas, cela n'étonnait guère la démone qui ne prt pas la peine de se séparer d'un de ces poignards.

Mais elle se tourna vers lui sans un mots, comme pour l'observer.

Thomas s'avança vers moi pour commencer. Lui aussi avait une épée. Il me montra comment parer la plupart des coups et comment riposter. C'était la base du combat et pas très compliqué, mais à la fin de notre petit combat, Thomas mes dit que j'avais vraiment beaucoup de talent et que j'apprenais vite. Qu'en quelques semaines il pourrait m'élever au titre de champion si je voulait... Ce que je refusai, mais j'acceptai tout de même les cours dans la mesure ou cela respectait l'horaire de maître Renard.

Thomas se dirigea ensuite vers Elbereth. Il sortit trois poignard et les envoya directement dans le milieux d'une cible placé à quelques mètre de là. Il regarda ensuite les prouesses de la démone qui ne se laissa pas démonter. 10 poignards assez près les une des autres dans le milieu de la seconde cible qui était plus loins que la première.

-Je ne crois pas avoir à vous en montrer sur ce point, mais si vous choisissez une autre arme, je pourrai vous enseigner, dit l'instructeur.

Elberetj maniait ces dix poignards depuis la mort de sa mère, elle les conaissait par coeur et avait survécu grace à eux.

Elle réfléchis à une autre arme, cela est toujours utile. Au fond de la salle de nombreuse lames et d'autres armes parfois un peu exotique.

Un magnifique arc lui sauta aux yeux, mais elle se reprit, elle maitrisait déja une arme qui lui permettait de frappé au loin.
Elle ne jeta même pas un oeil aux épée, elle n'avait jamais aimé cela, des arme de paladin...

Puis, elle s'arreta sur un sabre court, assez ouvragé bien que plutot usé.
Elle le prit en main et se mit en garde prete a recevoir les ordres du proffesseur

J'étais fasciné par la facilité d'aprentissage d'Elbereth. Même qu'à la fin, j'applaudis sans le vouloir. Quand elle posa ses yeux sur moi je rougis et m'assis... Mais je ne devais pas. J'étais là pour me prendre en main. Je me relevai et m'avançai vers la démone que je félicitai. J'étais ébahis non seulement par son talent, mais pas sa beauté aussi. Elle était la plus belle des femmes que j'avais vu de ma vie. Quel talent! Quelle grâce!

-Aurai-je le plaisir de vous avoir en ma compagnie pour le dîner? (Hrp : Dîner français)

Je me tus, attendant la réponse avec impatience. Je me trouvais hautement audacieux. Je n'aurais jamais oser faire cela auparavant. Et même maintenant, je me demandais pourquoi je venais de l'inviter.

Battre l'instructeur avec cette arme n'avait pas paru beaucoup plus difficile que visé la cible avec ses poignards à Elbereth

Il manquait certe la technique à la démone mais elle eu tot fait de copier celle de thomas alors que ses reflexes plus évoluer lui permirrent d'éviter les coups au début, puis de surpasser en rapidité et en agilité.

L'humain applaudis la performance , puis dans un excès de confiance vint demandé à la jeune femme de diner en sa compagnie.

Je comptait manger seule et en extérieur ce soir, tu peut venir, mais tu risque de ne pas apprécier beaucoup les mets.

Il se faisait d'ailleurs tard et la faim lui vint à l'esprit.

Vous venez ou non, je part tout de suite !

Elle remit l'arme en place et se planta devant le pauvre humain.

Alucard avait suivi tout les mouvements du nain durant ce laps de temps, il ne savait pas ce qu'était un nain, il n'en avait jamais vu. Quand les 2 entrérent dans la salle d'entrainement, Alucard repassa de sa forme de chauve souris a sa forme "humaine". Il vit la démone triompher puis ecouter l'invitation de l'humain. L'instructeur applaudi et Alucard s'avancea à son tour. Il sorti sa rapiere et la pointa vers l'instructeur.

"Vous semblez agile à l'épée...Montrez moi cela je vous prie."

Puis, avec sa main gauche, Alucard détacha sa lourde cape noire et la deposa, toujours en posant le regard sur l'instructeur, sur le banc délicatement. Il se mit face a l'ennemi, bien droit, le regard haut.

"Attaquez, que je voie..."

(hrp : je vais laisser a Ikar le plaisir de s'occuper du pnj)

Thomas dégaina sa propre épée et tint tête au démon-vampire. Le battre lui semblait facile au premier coup d'oeil. Un ennemi trop confiant en valait la moitié. Il commença à attaquer de quelques attaques rapides, qui échouèrent malencontreusement et parades et esquives de la part d'Alucard. Finalement ce fut le tour du démon d'attaquer et celui-ci désarma Thomas en quelques secondes. L'instructeur était stupéfait et même dérangé. L'épée était sans doute l'arme à laquelle il excellait et il venait de se faire battre en quelques mouvements. Il félicita tout le monde et prit congé.

Tout le monde observa le combat avec intérêt et fut époustouflé par la technique d'Alucard. J'acceptai finalement d'accompagner Elbereth, laissant là le nain et le démon.

Nous commençâmes à marcher en silence puis je pris la parole :
-Vous venez vraiment de Ramandrek? Il me ne me semble pas avoir vue quelqu'un qui vous ressemble en ces lieux.

C'était vrai, mais je pouvais pas vraiment dire avoir déjà voyagé. J'avais hébité aux environs d'Amrill toute ma vie et quelqu'un m'avait dit un jour que c'était la plus petite ville de Ramandrek. Je le constatais juste en admirant ces lieux. La ville elfique était étrangement conçue et très différente de ce que construisaient les humains. Il y avait des tours de crystal autour du palais. Quelques habitations étaient dans les arbres et il fallait emprunter de grands escaliers de bois pour y accéder. Les autres bâtiments était à terre, mais tous décorés de parures et de gravures. Même les habitation les plus pauvres étaient cent fois plus belles que celles d'Amrill.