Nouvelle Guerre

Milona écoutait attentivement les rapport des hommes de Melroth sens rien leur dire et continuer a essayer d'imaginer a quoi pourrais ressembler une ville humaine. Cette races qui a sont entré dans leur territoire l'avait capturé et traîner dans la boue et pourtant elle venait ici entant qu'émissaire de son peuple... Comment un peuple de barbare peuvent ils faire de belle chose ? Se demandait elle sens arrêt.

*Devons-nos faire une alliance avec Ikar? Ou alors prendre notre propre partit. Nous ne sommes pas assez pour renverser Shamar...*

Mais la question de Melroth la sortie de ces pensés, il voulait son opinion.

*D'après se que j'ai compris Ikar a le même ennemie que nous a se moment. Donc faire une alliance avec lui serait dans la pure logique des choses. Tout en sachant qu'une alliance n'est jamais éternel.
De plus comme tu le souligne, il manque des hommes pour frapper Shamar et une alliance pourrait nous être profitable.*

Vinh'san allait devoir s'éloigner d'Ikar. Allait trouver le moyen de s'attirer des ennuis? S'il le faisait, il aurait mieux fait que l'ancien elfe au début de son service militaire.

Ikar, je te prie, si jamais nous revenons trop tard, de prendre Malin Keshar avec toi. Arrange toi pour qu'il n'ai en aucun cas l'air d'un nécromancien devant les shamariens. Il pourra mieux te protéger sans armes que moi armé. Son talent magique vient de lui, tandis que le mien vient d'un objet. Et ne craint rien de lui. Il sait que s'il t'arrive quoi que ce soir et que c'est de sa faute, je le délaisserait. Or il a besoin de mon aide pour se venger d'Erhyna.

Vinh'san recouvrit sa tête du capuchon de sa robe puis s'avança vers celui qui devait le guider.

-Vinh'san... Si tu reviens et que la ville est prise, j'aimerais que tu t'arrange pour libérer Zertyline et que tu la mettes en sécurité. Je sais que je t'en demande beaucoup, mais tu es le seul en qui j'ai réelement confiance. Même Daryn... N'a jamais eu autant de confiance à laquelle je t'accorde. Tu... Tu es mon meilleur ami... Et je sais que tu peux faire cela.

Je n'avais aucune envie de lui dire cela, même si c'était la pure vérité. Mais, l'heure finirait avant son retour et je savais que si les shamariens ne respectaient pas leur parole, cela irait mal pour moi et Vinh'san serait alors le seul qui puisse sortir Zertyline de là. Sparda était enfermé et ameria aussi... Et de toute façons je doutais que si ils réussissaient à s'échapper qu'ils essaient de délivrer ma bien-aimée.

Je ne lui avait pas dis, mais j'allais demander à Zertyline de rester avec moi. Même si elle s'en allait, il y aurait toujours un risque qu'elle meure. et je voulais être avec elle jusqu'à la fin. Je l'aimais trop.

L'heure fut complété plusieurs minutes après le départ de Vinh'san et je me rendai seul au rendez-vous.

La cage s'ouvrit finalement. L'homme qui était devant Ameria n'avait pas l'air content. Pas du tout content. Il la détacha et l'ammena dans le camp. Deux autres cellules avaient été forcés. Elle le vit lorsqu'elle passa devant. Celle de Sparda et de Zertyline. Ils le pairraient tous. Pourquoi avait-il libéré Zertyline et pas elle?

Ses mains pourries furent attaché dans son dos, et son poignard... Ne lui fut pas rendu. Elle l'apperçut lorsqu'elle passa devant une table. Les hommes ne s'en approchaient pas. Il y avait un mage qui méditait dessus. Ameria se jeta dessu son arme et l'aggripa. Il fallait qu'elle se débrouille seule. elle ne pouvait compter sur personne.

Elle réussi à se libérer et tous reculèrent lorsqu'elle pointa son arme sur le mage. Même celui-ci ne tenta rien. Le garde qui l'avait ammené parla :
-Vous... Vous êtes libre mamoiselle. Vous pouvez aller rejoindre Ikar. Les deux autres prisonniers se sont échappés. vous lui direz à Ikar...

Ameria partit sans même jeter un regard derrière elle.ses bras étaient redevenu normale. Et on lui rendu son armure lorsqu'elle arriva dehors.

Les messagers ne revinrent pas. Ils avaient sans doute été intercepté par les Shamariens. Une heure plus tard environs, un groupe d'homme lui était annoncé comme faisant partie de la troupe d'Ikar. On les fit avancer devant moi. Ils étaient là pour parlementer. Milona était à côté de moi et Cristo un peu plus loins, mais assez proche pour entendre la discussion.

-Je suis Melroth le dragon noir. Je ne passerai pas par quatre chemins. Je suis le légitime héritier du trône de Shamar et j'aimerais qu'on fasse une alliance pour démettre le roi actuel de ses fonctions.

je fit apporter du vin que je fit servir à mes ''invités'' puis je recommencai mon discours :
-J'aimerais faire une alliance avec vous. J,ai entendu parler d'ikar. C'est un homme brave et fier... Qui se bas avec honneur. Il veut déffendre les petites villes d'après mes sources. Si je remonte sur le trône, je vous promet de faire mieu que le prétendant actuel.

Les deux homme me fixaient du regard. Ils n'avaient jamais vu un dragon. Pour la liche c'était difficile à dire. On ne pouvait pas déchiffrer ses expression.

Milona se tenait a coté de Melroth lors que le groupe de personne envoyer pare Ikar s'approcha. Son regarde se fixa sur cette étrange personne qui semble plus mort que vivant. Elle n'avait jamais vue de telle créature. Elle avait lut et entendu quelque mythe ou légende a propos de tell chose. Mais surtout écouter plusieurs histoires qu'on raconte pour faire peur aux enfants. Mais jamais elle n'aurait pensé que cela puisse existé.

C'est pas possible qu'une telle chose existe vraiment !
Cette chose na pas l'aire de perturber Melroth, il doit déjà en avoir vue. Peut être qu'ils sont chose courante sur ces terres... Sont ils aussi dangereuse que les histoires raconte ?
Les hommes de Melroth sont la et cette chose aussi puissante qu'elle peut être ne se risquera pas, ben je l'espère...
Mais si cela est un homme ou plutôt une chose a Ikar, je me demande a quoi ressemble son armé...

Sparda, toujours la rose noire entre les dents, alla a la cellule de Ameria, vide. Il laissa donc Zertyline prendere sont chemin et lui sorti de la caravane en brisant la porte. Il se retrouva dans un camp de Shamariens.

"m*r*d* !"

Il commensea a fouiller un goffre pret d'ici et ne trouva rien. A la plus grande surprise du demon, les gardes ne l'atttaquerent pas. Ils étaient plus concentrées a leur tâches dans le camps.
Sparda attrappa un garde au col et le decolla du sol. Il lui hurla au visage :

"Mon marteau et mon pendentif !!! Ils sont ou ?!"

Le garde lui montra une tente non loin. Sparda jeta l'homme a terre et alla rapidement a la tente, prit ces affaires et jeta un sortilege mineur qui fit reapparaitre sont vetement du haut. Il n'etait plus torse nu, enfin.
Sparda sorti du camp a toute vitesse et apperçu Ameria non loin de la. Il avait toujours la rose noire dans sa main.

"Ameria !"

Le demon courut vers la fille et la serra dans ces bras, avant de lui remettre la rose. Il vit les mains de celle-ci, ce qui ne lui fit quasiment aucun effet.

"Enfin, je te retrouve. Je t'ai cherchée partout dans la caravane ! J'ai trouvé Zertyline car je l'avais vu lorsque le gardes etaient entrés dans nos cellules. Mais toi...je ne t'ai pas trouvée..."

Puis il lacha enfin la fille.

*Ainsi c'est cela un dragon. Rares sont les mythes qui parlent d'eux sur mon île. Et je comprend pourquoi. Ehryna ne veut sûrement pas que des gens tentent d'en ramener. Ces créatures ont l'air si puissante. Si nous nous livrions un duel, je n'aurais plus qu'à compter sur mon immortalité précaire pour gagner... Ou sur une lance apte à se nicher entre deux écailles...*

Vinh'san voyait pour la première fois un dragon. Il avait eu à faire à des drakes, des créatures mi-homme mi-dragons, parfois inaptes à voler mais armés d'hallebardes et de claymores terrifiantes. Il faisaient la taille d'une maison pour les plus petits et étaient les seuls que le peuple elfe de son île craignait ouvertement. L'ancien elfe avait déja livré un combat contre eux. Il avait encore honte d'avoir mené à la mort tant de personnes. Mais ces drakes attaquaient par raids aériens sans organisation. Facile de fuir contre de tels adversaires...
Vinh'san s'inclina devant le dragon.

Je m'appelle Vinh'san. Avant toute parlementation, je désire préciser que la plupart des liches maléfiques ne le sont qu'à cause de la vanité qu'apporte un tel pouvoir que celui qu'est l'immortalité. Je n'y vois personellement presque que des défauts et je ne me suis contraint à ce futur que pour pouvoir servir plus longtemps Ikar. J'étais autrefois un elfe et j'ai conservé les meilleures valeurs que l'on m'a enseignée, aussi rares soit-elles.
Je ne peux que confirmer ce que l'on vous a dit à propos d'Ikar. Je pense qu'il acceptera une alliance entre nos deux fronts. Mais je vais éviter de trop m'avancer à sa place. A savoir qui si vous nous aider mais qu'Ikar refuse de vous porter soutien en retour, je vous dédommagerais personellement. Cela prendra du temps du fait que j'ai de nombreuse chose à faire après ce combat, mais je reste fidèle à mes paroles.

La liche se redressa puis laissa la parole à Metallio.

-Nous sommes envoyé en émissaire moi et Vinh'san. Ce seigneur n'a fait que nous montrer le chemin. Je m'engage à la même promesse que Vinh'san et je suis un homme d'honneur. Le fait est que nous ne pouvons pas parler à sa place, mais nous agissons en tant qu'émissaire. Il est coincé dans la ville entre les Shamariens et un mur. Si vous refusez de nous aider, nous... j'y retournerai, même si j'y dois mourir.
(Par Metalio)
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Le seigneur qui se nommait en fait Radehin, était là. Il n'avait pas l'air content quand il prit encore une fois la parole le premier :
-Nos prisonniers se sont échappé. Tous. Si nous les voyons dans le camp nous ne leur ferons pas de mal et les laisserons partir. Maintenant prenez vos sauf-conduits et partez.
-Vous avez intercepté des messagers. J'espère qu'ils sont encore en vie car j'ai envoyé quelqu'un rejoindre celui qui les a envoyé.
-Il n'y a rien a dire. Trouvez vos amis et partez. Ceux qui resteront dans la cathédrale seront les bâtisseur D'Amrill La Nouvelle. C,est ainsi que nous l'appelleront. Partez! Sortez d'ici!

Je me retournai un instant pour partir que dix garde étaient sur moi. C'était un piège. Je n'aurais pas du venir seul. J'aurais encore une fois du écouter Vinh'san et prendre Malin avec moi. Mais je n'aimais ce gars.

-Que voulez-vous?
-Les messagers apportaient le message qu'il y avait une armée capable de nous raser tous les deux à l'extérieur de la ville. Comme ils ne sont pas revenus chez eux, je crains que maintenant ma seule monnaie d'échange pour la vie soit vous. Vos amis seront libre comme je l'ai promis... Et vous aussi si tout va bien, mais je ne laisserai personne prendre Amrill. Elle m'appartient dorénavant.

-Si vous êtes tous aussi fidèle c'est qu'Ikar dois être un bien bon homme. Ce ne dois pas être un humain pour commander ainsi. Est-ce un elfe?

Sans même donner le temps de réponse je continuai :

-Je vais vos aider à vous débarrasser de cette racaille de Shamarien et après nous reparlerons de notre alliance. Cristo préparer les hommes, nous partons en guerre. vinh'san et toi (en s'adressant à Metalio) pouvez rester avec nous, mais je crains que vous ne puissiez vous fier au seigneur qui a déjà pris la poudre d'escampette pour aller portez la bonne nouvelle à Ikar. L'un de vous doit y aller pour ne pas qu'il pense que je vous retiens en otage. Il y a une chose que j'admire : La loyauté. et vous êtes aussi loyal à Ikar qu'aucun homme ne pourras jamais l'être pour moi.

Je ne pouvais pas faire mieux

Sparda abait le don de la faire enrager. Si elle n'avait pas eu ce fichu poignard, elle en serait tomber amoureuse (de Sparda bien sur). Elle prit la rose, pour lui faire plaisir, mais seulement pour ne pas être obliger de sortir de là toute seule. Ameria aimait la compagnie.

-C'est bien aimable a vous mon seigneur. Auriez-vous l'obligence de faire avancer mon carosse. (Elle aimait narguer les gens.)

Ammeria ouvrit la marche pour se rendre à la sortie de la ville. Le démon comprendrait que la guerre était finie et qu'Ikar était certainement mort ou loin d'ici.

Milona écouta la conversation sens dire mot, tout en réfléchissent a une stratégie de combat pour prendre la ville en un minimum de perte.

*On pourrait établir une meilleur stratégie d'attaque si nous pouvions savoir se qui se passe dans la ville. Qu'elles sont les forces en présence, qu'elles sont leur puissance, leur état d'esprit et autres...
Je pourrais donc accompagner la personne qui va retourner voir Ikar pour te tenir au courant des actions de l'armée ennemie et aussi la position de nos alliées ?*

Je crains fort qu'il ne préfère que je reste a ces coté, de peur que je soie blesser ou pire...
Mais prendre se risque permettrait a une meilleur approche des troupes et éviter de nombreuses perte de notre coté...

*Mon ami, je te promai d'être prudente. Cette action pourrais nous évité de nombreuses perte, pare de bon renseignement.
Mais si tu décide que cela est trop risquer, je resterais a t coté.*

Sparda vit Ameria s'avancer et il la suivi.

"Ne m'appelle plus jamais "seigneur", je ne suis plus seigneur de rien, si ce n'est de mon destin. D'ou vient tu Ameria ?"

Puis il compris tout. La guerre avait cesser.

"Je crois que ma mission en ce lieu est terminée, Zertyline est en sécurité et tout c'est arranger je pense. Je vais vous quitter, me rendre à une arène et faire ce que je sais faire de mieux, tuer. Je n'irais pas voir Vinh'san, ma recompense est l'honneur d'avoir pu combattre avec vous. Je disparaitrais. Adieu Ameria !"

Il se mit a genou, tira sa reverense et partit, seul. Il fit quelques mètres et jeta un petit mot par dessus son épaule qui atteri dans les mains de la guerriere.

"A l'intension d'Ikar et de vous tous qui avez tenu la ville, Merci de m'avoir laisser integrer vos rangs et au plaisir de vous revoir bientôt. Ikar, t'es un bon gars, je le sais. Vinh'san, t'es bizzare mais t'as l'air digne de confiance. Zertyline, Bon courage et que votre fils soit comme sont pere et comme sa mere, parfait. Ameria, Je ne te connais pas, malheuresement. Si tu me cherche un jour pour quelques raisons que ce soit, tu n'aura qu'a m'appeller à haute voix, je te rejoindrais et te soutiendrais.

Merci a tous et si un jour vous entendez le nom de "Sparda Death-Hammer", pensez à moi."

Puis il jeta une rose au sol, mais une rose étrange, une rose de sang, dont la seve était du sang et dont l'odeur pouvait tuer la personne qui la sentai si elle voulait du mal a son posseseur.

"Let's rock baby !"

*Je... Vas-y si c'est ce que tu veux. Je ne t'empêche pas de vivre...*

C'était un peu brusque comme réponse. Je l'aurais voulu près de moi. Je l'aurais voulu sur mon dos. Protégée. Elle le sut sans doute, mais peu m'importait. Elle n'avait pas à me demander la persmission. Elle ne l'avait fait qu'indirectement, mais elle l'avait tout de même fait. Ç'aurait été plus sage de seulement me demander mon avis, mais il était trop tard. Moi c'est ce que je faisait. Mais tout le monde n,était pas comme moi.

-Vinh'san, Milona va venir avec vous, je vais envoyer trois ou quatre hommes pour sa sécurité. Plus éveillerais l'attention. Dites à Ikar que mes intentions sont bonne face à vous.

Voilà. J'avais hâte d'être roi et plus vite on finirait la guerre mieux se serait. Même si j'aimais me battre, je n'aimais pas voir Milona en danger.

-Sparda...

Ameria se tu. La force qui s'emparait d'elle était plus puissante que celle contenue dans le couteau. Elle avait eut un léger moment de lucidité, mais quand le démon se retourna, elle était redevenu une âme emprisonnée.

-J'aimerais vous accompagner. Vous aurez besoins d'une équipe là ou vous aller et j'aimerais vous aidez. Pas me battre, mais je pourrais vous aider...
Je...Je...

Ameria se tu.

Sparda sourit et écarta les bras.

"Viens si tu le veut ! Je pense que j'irais a Shamar dans l'arène."

Puis il regarda Ameria dans les yeux, fixement. Il y avait une sorte de lmueur dans ceux de Sparda, une lueur d'espoir, de joie. Peut-être n'allait il plus être seul durant ces longs voyages ? La douce brise était bonne sur le visage de Sparda, et la temperature aussi. Le vent faisait voler les cheveux de Sparda sur le coté, lui donna l'air d'un chef de guerre pret a tout pour défendre son armée. C'était un temps ideal pour se battre.

"Et il ne t'arrivera jamais rien, j'en fais le serment. Je serais ton garde du corps."

Ameria était fière. Elle allait enfin pouvoir... Prendre possession d'un pouvoir plus fort que le sien. Elle le sentait. Elle savait qu'il était heureu. Elle ne prit pas la rose. Elle avait sans douté été mise là pour son dernier au revoir à la citée.

Ils se dirigèrent tous les deux vers la sortie de la ville laissant Zertyline. Elle n'aurait pas de mal à se sortir de là. Elle aussi était libre. Quand ils atteignirent la porte de la citée, les gardes ne les laissèrent pas sortir. La guerre n'était pas finie. Et ils étaient encore des prisonniers. Sparda avait l'air mauvais. Si elle ne l'arrêtait pas, il tuerait le garde et les mettrait tous les deux en péril.

Elle mit sa mains sur son épaule et lui souffla à l'oreille : Viens, je suis sure qu'on peut passer ailleur.

Vinh'san s'inclina devant le dragon.

Très bien.

La liche commençait à être excédée de son apparence. Il lui faudrait trouver un moyen de retrouver son corps. Pour cela il faudrait réfléchir. Or là, Vinh'san se sentait plus l'envie de courir rejoindre Ikar.
Une petite voix s'éveilla dans la tête de l'ancien elfe. Cette voix que tout le monde a. cette voix que l'on nomme l'Inconscient qui, comme son nom l'indique, est un véritable inconscient.

*Réfléchir? Pas la peine! Tu as ton intelligence et ton âme à porté de main. Remets les ensembles, insuffle les de force dans un corps, quitte à tuer le possesseur, et le tout est joué! Tu te rappelle pas de ce cour sur le draco-liche? Il fait éxactement pareil.*

Vinh'san n'avait plus qu'à trouver la personne qui commentrait un crime suffisament horrible pour qu'il accepter de lui voler son corps. Kaleh. Le général en chef des armées de l'île hexagonale. Plus que quelques mois et peut-être Vinh'san aurait de nouveau un corps... Mais pas le sien...
La liche s'exclama à l'adresse de ces accompagnateurs :

Partons avant que j'ai un coup de mélancolie! Quand ça m'arrive, je rate tout ce que je fais.

Je pourrissais au fond d'une cage. Je me detestais tellement. Comment- n'avais-je pas vu venir cela? Je ne faisais pas confiance à Malin, mais j'aurais peut-être dû. Dû lui permettre de me suivre. Dû rester avec Zertyline, dû trouver une ferme ou finir ma vie en beauté avec ma femme et mon fils, dû, il y avait tellement de choses que j'aurais dû faire que j'en était presque à vomir.

J'espérais que l'homme ne bluffait pas. J'espérait que Sparda s'occuppe de Zertyline et la protège et qu'ils aient tous les deux quitter la ville. Sinon je règlerais ça et avec le seigneur Shamarien dont je ne me souvenais même plus du nom et avec Sparda. Si quelque chose était arrivé à Zertyline c'était de leur faute. Sparda ne l'avait pas mise en sécurité.

Metalio et Vinh'san reviendraient bientôt. Ils organiseraient un contre-attaque pour me sortir de là... Bah peut-être pas Metalio, mais Vinh'san j'en étais sûr... S'il revenait. Ah comme je me détestait. Je ne pourrais plus jamais me regarder dans le miroir. Je n'était pas un soldat. J'était un paysan, un voleur, un bon à rien.

-JE VOUS HAIT TOUS AUTANT QUE VOUS ÊTES....

Et voilà que je m'emportais. C'était la première fois que je m'emportais aussi fort. Il fallait que je me calme et que je trouve une idée... et une bonne. Il fallait que je mette tout le monde en sécurité. J'avais pris deux mauvaises décisions au lieu d'une aujourd'hui. Il fallait que je me rattrappe.

Milona était prête, entouré de trois des hommes de Melroth pour la protéger elle avança vers Vinsh'san sens être très alaise de faire un bout de chemin avec lui.

J'espère que les contes de mon enfance sont exagérer sur la puissance et la cruauté de ces créatures... Mais je dois prendre le risque, je veux montré a Melroth et a ces hommes que je peux être utile. C'est de ma faute si Melroth a été blesser et du coup la baise de morale des hommes vient de moi...

-Allons y, je vous suis. Dit elle avec un sourire forcer a Vinsh'an

*On se revois au plus vite mon ami.*

Sparda vaoit déjà saisi un des deux gardes par le col et l'avait soulever a un metre du sol. La plupart des êtres vivants n'arrivaientr qu'au coude de Sparda, démon a la charure d'orc. On pouvait lire la terreur dans les yeux du garde. Ameria dit ces mots. Il lacha le garde sans dire un mot. Il allerent donc vers un autre chemin. Sparda reflechi, monta sur la muraille et regarda la hauteur qui les séparait du sol extérieur. Il devait y avoir dans les dix mètres. QSparda se tourna vres Ameria, qui l'avait suivie.

"Je descend et toi tu saute après, fais moi confiance je te récupererai."

Puis il sorti son marteau, donna un coup dans le mur, a l'exterieur. Le mur ne se brisa pas, Sparda n'avait pas tapé assez fort. Mais un cratère c'était formé permettant au demon de mettre ses mais a l'interieur. Il n'eu pas besoin de repeter cette opération tout le long du mur jusqu'au sol. Pour le reste de la descente, il avait utilisé les pierre inégales de la muraile pour s'agripper. Il était enfin en bas.

"Viens Ameria !"

Sparda tendi les bras devant lui et dit :

"Ton carrosse est avancé princesse !"

Ameria sauta. Et une dizaine de mètres plus ba, s'écrasa dans les bras du démon. Elle ne savait pas pourquoi elle avait fait ça. En temps normal elle aurait descendu de la m ême façon que Sparda, mais là...

-Où allons-nous exactement? Shamar est vers le nord, mais je ne connais pas d'endroit ou nous pourrions nous arrêter avant la nuit.

Elle disait ses mots, quand Sparda détourna la tête. Ameria regarda dans la même direction que lui. Il y avait une armée d'environs 2000 hommes. Qui attendait. C'était peut-être des renforts, mais dans ce cas, pourquoi attendaient-ils?

Zertyline avait assisté de loin a la scene entre Sparda et Améria , la rose n'était donc pas pour elle et elle sent réjouissait , cela aurait été bien compliqué.

Elle fit demi-tour , les laissant seul.Son séjours dans la cage lui avait permis de récupérer des forces , elle allait beaucoup mieux lorsqu'elle s'envellopat d'une cape noir et partit pour les alentour de Shamar.

Si Ikar était toujours vivant il n'était surement pas loin de la ville , il ne serait jamais partit sans la savoir en sécurité.

Ainsi elle rodait au alentour de la ville, avant de tomber sur un campement étranger.
Elle décidat de rester à proximité pour tenter de savoir a qu'elle camps il appartenait.

Ami ou ennemi?

Sparda vit l'armée, se tourna vers Ameria.

"Je pense que nous ferrions mieux de nous faire discrets, trois contre 2000 hommes, c'est pas très jouable."

Ameria parut ne pas comprendre.

"Moi 1 et toi 2, t'as le charme en plus...Je ne m'arreterai pas, je marcherai et toi tu dormira. Quand tu dormira, je te porterai et quand nous serront à Shamar, je me reposerai enfin. Le premier jour, nous irons directement à l'arène, ou je m'inscrirai. Nous auront un logement presque normal, et je remporterai le maximum de matchs. J'ai entendu dire que un tournoi de combats à mort était organisé, avec une grosse mise au bout."

Puis il vit les gardes approcher. Il se mit a courir et attrapa la main de Ameria. Ils entrèrent dans un petit bosquet non loin de là, a l'abris.

"A moins que tu ai un autre plan, un autre lieu a visiter?"

Spard vit le collier representant sa femme et trouva une ressemblance avec Ameria.

(Non, c'est impossible, Ameria m'utilise simplement parce-que je suis puissant. Elle se fout de mon physique et de ce que je suis...Je vais quand même continuer a faire semblant de............l'aimer.)

Puis il se mirent en marche. Quand Sparda faisait 2 pas, Ameria en faisait 4. Il s'en rendi compte rapidement.

"Si tu est fatiguée, tu veut que je ralentisse ou...?"

Allongée dans l'herbe à observer le campement Zertyline perçut une onde qu'elle connaissait , celle qu'on pouvait sentir prés d'Ikar lorsqu'il s'énervait.

Mais se ressentit ne venait pas du campement ,mais de l'intérieur de la ville.De se qu'elle avait put voir du bivouac monté a l'exterieur de la ville , il n'était pas allié aux shamarien , mais rien n'indiquait qu'il la soutiendrait si jamais elle venait à eut.

Sans Ikar ou Vin'san pour témoigner de sa valeur elle ne valait rien et n'avait aucun pouvoir de décision, elle n'était qu'une femme sans puissance apparente et risquait plus de subir les déboire des hommes (se qui se retrouvait dans toute armée , bonne ou mauvaise ) que d'obtenir gain de cause pour sauver Ikar.

Ainsi elle se dirigeat vers la porte d'Amrill, affabulée de sa cope noir et de son kimono devenu marron (...elle l'aavit retournée) elle ressemblait aux rares femmes qu'elles avait put voir dans Amrill.

Arrivés prés de la porte d'Amrill elle tombat...elle l'avait prévut sur un garde.

"Messire, laisser moi entrer je vous prit , je fut forcée de fuir les combat pour survivre, mais maintenant que le ville semble etre a vos mains je voudrait retrouver ma mère et mes enfants."

En disant cela ces yeux s'agrandissait peu a peu, le garde lui se raprochait d'elle ...tentant d'aposer ces mains sur son ventre et entre ses cuisses.
Elle l'attirat a qulque metre de la porte , dans un coin sombre ou elle lui enfoncat un poignard dans le ventre , et un autre au niveau de ses organes génitaux, il n'avait qu'a bien se tenir.

Elle ne prit pas le temps de le regarder mourir et rentrat direstement dans la ville à la recherche d'Ikar.
Seul , avec ses qualité de voleuse , elle ne pouvait se faire remarquer.

Elle lançat un appel mental :

Ikar....