Nouvelle Guerre

-Quand nous avons pris Amrill, j'ai utilisé la même tactique. De plus j'ai déjà envoyé des éclaireurs faire le tour de la citée et d'autres un peu plus loins vers Shamar pour voir s'il y avait d'autres ennemis. Ils devraient revenir d'ici peu. Maintenant j'aimerais que tu aides ou que tu partes avec Zertyline. Je ne veux pas vous presser, mais je préfère vous savoir loins de la bataille.

Je fit une grimace puis détournai mon regard. Je n'avais pas de temps à perdre avec qui que ce soit. Vinh,san savait que j'avais l'âme d'un chef et que je faisais mon travail. Je ne voulais pas le brusquer, je voulais simplement lui faire comprendre que je faisais mon possible.

Je regardai vers la barricade. Il n'y avait presque plus d'ennemi. C,était bon signe.... Puis je me détrompai quand Metalio revint avec quelques hommes l'air essouflé.
-Les Shamariens ont pris la rue. Il vous faut reculer sinon nous serons pris en étau. Dépêchez vous, mes hommes ne tiendrons plus longtemps.
-Retournez là-bas, gardez la rue 5 minutes puis venez nous rejoindres à la cathédrale. C,est là que se terminera l'assaut.

Je ne jetai pas de coup d'oeil à Vinh'san. Je savais qu'il me repprocherais quelque chose. Il avait déjà été seigneur de guerre lui aussi. Maréchal dans leur système de grade. Il avait plus de talent que moi dans la guerre et il savait avant même que la rue se fasse prendre que nous serions pris en étau.

-Retrait à la cathédrale... TOUT DE SUITE ET TOUT LE MONDE!!!

Zertyline se réveilla doucement, ses jambes et le bas de son dos lui tirait doulouresement et elle se redressa avec peine , des étoiles noires dansant devant ses yeux.

La fatigue l'avait emportée alors qu'elle tentait de soigner son sauveur: Sparda.

Sparda, Sparda, mais pourquoi ce démon prenait-il tant soin d'elle, alors qu'elle n'était qu'une humaine, ou démone peut-être bien ?

En le regardant elle remarqua la présence d'une jeune femme , elle sauta du lit de fortune

Mais vous êtes qui vous ???

-Ameria. Nous nous sommes vu au cimetière avant le banquet. Ikar m'envoit vous chercher et comme vous n'êtes pas en état de voyager, je vais aider Sparda à défendre cette endroit.

Ameria fit tourner son poignard dans ses mains et en un clin d'oeil il fut de retour sous sa tunique. Peut-être que Zertyline penserait qu'elle n'était pas à la hauteur, mais peu lui importait. Ce qui était important c'était le pouvoir. Celui qu'elle pourrait acquérir avec Sparda. Ou avec presque n'importe qui dans les confrères d'Ikar.

Ikar. Pourquoi lui faisait-on confiance à ce point. Il était mortel. Il n'avait aucun pouvoir. Pourquoi les hommes le suivait?? Pourquoi Zertyline, SParda et Vinh'san le suivait?? Il n'avait rien de spécial.

Elle s'adressa aux deux : '' Qu'est-ce que vous trouvez tous à cet Ikar?? Il n'est pas meilleur qu'un autre pourtant.''

Zertyline regardait Améria avec un air de dédain. Elle sous-estimait énormément Ikar, il n'était pas n'importe qui.

Elle s'en trouvait quelque peu vexée, elle se leva doucement et sorti de la "cabane", une main sur le ventre et l'autre tenant fermement un poignard sous son kimono...

Sparda se leva rapidement. Il tira Zertyline a l'interieur par la main, tout en delicatesse, et claqua la porte.

"Je vous accorde que je ne connais pas ce Ikar, mais Vinh'san m'a payé pour le suivre et l'aider. D'accord, il n'a pas l'air puissan par sa carrure, mais, d'après moi, il peut ce reveler être un bon combattant, un bon ami, et un exellent chef de guerre."

Il entendi un cri de guerre dehors, il disait : "Brulez moi ce taudis !!!"
Il se leva donc, prit son marteau, s'inclina devant Zertyline et devant Ameria ensuite et dit:

"Je vous laisse ici, je vais leur regler leur compte à ma maniere..."

Il y avait un ton resigné dans sa voix, il avait presque l'air triste.
Il sorti en silence.
Au dehors, a quelques centaines de metres de là, une légion entiere s'excitait sur place. Ils se tournerent et fixèrent tous Sparda.
Le démon fit craquer sa nuque.

"Let's rock baby !"

Puis il se mit a courir vers une legion entiere a lui seul...

Zertyline se retrouvait seule avec Améria, mais elle ne se sentait pas d'humeur a faire la conversation , surtout avec elle , elle s'en méfiait trop.

Elle sortit donc du cabanon , lancat quelque poignard de ci de la comme pour se divertir puisque Sparda n'avait aucunement besoin d'aide.

Elle ne sentait plus son corps et se placat au coté du démon pour se battre ...deux longs poignards dans les mains elle semblait danser....

Sparda vit la jeune fille, s'arreta rapidement.

"Vas t'en Zertyline ! Je me dois de te proteger et je ne veut pas que tu prenne part a ce combat ! Madame, Ikar et Vinh'san tiennent trop a vous... Si vous entamez le combat dans cet état, vous ne tiendrez plus au bout de quelques secondes... Nous tenons tous plus ou moins a vous, restez ici et laissez moi honorer ma promesse de protection envers vous..."

Sparda approcha sa main libre du visage de la jeune fille. Il lui carressa la joue doucement. En même temps, la lueur rouge dans ces yeux apparu tellement vive qu'une sorte de fumée rouge parraissait en sortir. La voix de Sparda se fit caverneuse et resonnante.

"Allez-vous en, pour moi et pour tout ceux qui vous connaissent."

Puis la jeune fille recula legerement. Sparda fonça dans le tas de guerriers de Shamar. Il faisait preuve d'une grande technique de combat au marteau et marmonnait toute les 10 secondes environ une nouvelle incantation qui modofiaient la couleur de son marteau. Malgré cette lutte titanesque, Sparda fut vite prit de vitesse par cette nuée de soldats autour de lui. La lenteur de son marteau fit sa faiblesse et bientôt, Sparda se retrouva roué de coups d'épée. Le corps de Sparda s'écroula au sol et les gardes, ricanants, l'attacherent a un crucifix present a quelques pas du lieu du combat. Le corps de Sparda dégoulinait de sang. Il avait massacrer a lui seul les 6 dixieme d'une légion, environ 150 hommes. Il murmura :

"C'etait mon devoir, ne m'aide pas au prix de ta santé..."

Puis, une seule et unique larme ruissela sur son visage. La lueur de ces yeux s'eteint et Sparda, l'ex "Légendaire chevalier Sombre" tomba dans le commat.

Zertyline avait laissé Sparda la raisonner , elle ne devait se fatigués et pourtant la haine coulait dans ses veines.

Pars l'expérience hors de son corp elle était devenu une démone, un être plus ou moins soumise à ses émotions et à ses sensations et en àl'occurence , elle eprouvait en ce moment une haine immense , une soif de sang.

Elle se reculat, regardat Sparda mener son combat: il était fort mais le marteau n'était pas l'arme qui lui convenait d'aprés elle.
Il ne tint pas trés longtemps avant de subir des coups dur pours lui et de tomber dans le coma.
Le restant de la légion voyant qu'il était à terre se précipitat sur le cabanon pour y mettre le feu , aucun n'eu le courage d'achever le démon.

Zertyline , usant de son tout premier don, une furtivité hors pair hérité de son passé de voleuse elle vint se placer proche du démon et lui aposat ses mains, pour une fois de plus le soigner , chose faite elle s'endormit sur son torse maculée de sang en murmurant:

Tu est peut être...un peu tête-brulé...

Deux jours passèrent et les Shamariens n'avançaient plus, mais n'était pas non plus repoussés. La cathédrale était solide et on ne pouvait y mettre le feu. Je ne pensait même pas qu'on puisse seulement l'endommager. De toute évidence, les Amrilliens étaient des gens biens étranges. Plus qu'on ne pouvait le penser d'une petite ville. Les hommes apprenaient très rapidement l'art du combat et les femmes celui de soigner les blessés.

Dans le milieu de l'après-midi, un Shamariens vint avec un drapeau blanc. Son seigneur demandait les pourparlers. Chacun des deux clans devaient choisir deux hommes sans armes pour négocier. Je choisis Vinh'san et Metalio. Un tente fut érigé dans le centre et nous allâmes à la rencontre de nos ennemis.

-Nous avons trois prisonniers qui ont l'air important, commança le Shamarien. L'un de forte carrure que nous avons trouvé avec un marteau de guerre et qui se battait en démon et les deux autres sont des femmes. L'une aillant une certaine habilité au poignard. Elle a semblé guérir les blessure du garçons, mais nous avons de nouveau réduit ses capacités quand nous l'avons constaté. Nous avons également séparé ces prisonniers les uns des autres.

J'étais pris au dépourvu. Je ne pouvais pas leur laisser la ville, mais de toute évidence, les prisonniers étaient Sparda, Ameria et... et Zertyline. Que pouvais-je faire? S'ils leurs avaient fait du mal, ils le pairraient.

-Que nous proposez-vous??
-Un échange. Je vous redonne nos prisonniers et vous nous livrez la ville!
-Jamais...
-Alors je devrai les faire éxécuter.
-Attendez... Je... Je... Je vous livre la ville et vous nous donnez à tous un sauf conduit pour sortir de cette ville.... Et vous nous donnez les prisonniers.
-Les habitants resteront ici. Vous pourrez partir vous, la liche le jeune hommes et les trois prisonniers sans plus. Il faut de la main d'oeuvre pour reconstruire une ville.
-Marché...Conclu!!

Quand Sparda se reveilla, il était dans une charue sombre qui sembait contenir plusieurs cellules semblables à la sienne. Des cellules petite, avec uniquement quatre murs de bois solide....et dans celle de Sparda, des chaines. En effet, Spard était attaché au mur à quelques centimètres du sol par de grosses chaines qui lui faisait saigner les poignés. Il cligna des yeux, sa vision étant floue. Après avoir retrouver une vue à peu près correcte, il tenta de bouger. Le cliqueti resonnant des chaines dans son crane le fit crier. Il avait la tête comme une citrouille. Il senti la puissance magique d'Ameria. Si Ameria et lui étaient ici, il y avait énormement de chance que Zertyline soit ici, dans cette grosse prison mobile. Il se rappella de sa promesse.
Ses pupilles se dilaterent. Il hurla.

"(Flots d'insultes en tout genres)Zertyline où est tu ?!!!!!"

Puis il fut pris d'une rage certaine quand il vit les plaies de son torse fermées. Il se debati, banda au maximum les muscles de ces bras de maniere a tenter de briser les chaines. En vain. Sparda vit un garde entrer dans sa cellule. Dans l'entrebaillure de la porte, il vit la plaine......et une autre cellule cellée magiquement. Il cracha au visage du garde, et la lueur de ses yeux reapparu.

"Pourquoi les autres detenus ne me repondent pas ?!

-Les cellules sont insonorisées par un sort...Pitoyable démon"

Puis le garde ripostat avec un gros coup de poing dans le ventre de Sparda.

"Argh ! J'EN AI MARRE!!!"

Une aura se forma autour de Sparda, Une aura de vide...Puis disparut subitement. Le demon étant épuiser. Le garde rigola d'un rire sadique.

"Sparda, c'est ça ton nom?

-Pourquoi?

-Tu n'es rien du tout ici, Sparda. Tu n'es guère plus important à nos yeux qu'une fiente !

-Vas t'en garde, ta vie ne tien qu'a un fil ici...

-Parle parle..."

Puis le garde frappa de nouveau dans le ventre de Sparda qui ne reagit plus. Il ouvrit la porte. Juste a ce moment, le démon cria :

"ZERTYLINE J'ARRIVE !!!"

Le garde l'ignora et sortit, un ricanement entre les dents...Sparda continua de forcer comme une brute pour briser ces chaines.

Zertyline se réveillat a son tour dans sa cage...étant surveiller et donc ne pouvant sortir entiere elle abandonnat son corps a nouveau pour explorer les alentours.

Ils (Améria ,Sparda et elle) étaient emprisonner sur un sorte de caleche, ne voulant prendre contact avec Améria elle se dirigat droit dans l'esprit de Saprda pour le calmer...cela ne servait strictement à rien qu'il prenne des coups.

Sparda ,ferme-là.Tu n'a pas beaucoup de pouvoir lorsque tes muscles sont lier ,ou du moins tu ne semble pas pouvoir ou vouloir les utiliser...il ne faut pas agir brutalement dans cette situation , et ils n'ont aucun intéret à nous vouloir du mal , on a bien plus de valeur vivant , surtout moi.

"Zertyline ! Vous allez bien? Que nous est-il arriver?"

Puis il forcea un coup et commencea a tordre le premier maillon de sa chaine au bras droit. Ce geste l'extenua. Il écouta les paroles de Zertyline et ce calma.

"Je veut m'en aller. Comment on sort d'ici ?"

Puis il tenta de reperer l'ame de la fille.

"Je vous avais dit de ne pas me soigner....Pourquoi, ce n'est pas une légion qui pourra m'arreter. J'aurai put les tuer tous... Je ne suis plus le même qu'avant....Je ne suis plus le démon purificateur."

Zertyline se tut quelque temps...elle même ne savait commetn sortir de là.Elle fit le tour de la cage et revint dans l'esprit de Sparda.

Calme toi et réflechis....moi je n'en sais pas plus que toi

Vinh'san aurait eu une mine déconfite s'il avait eu des muscles et un semblant de chair. Mais faute de mieux, il se contenta de crier le nopm d'Ikar avec un reprocha non dissimulé. Mais il accepta bien vite. Ikar était le chef, il décidait. Quoique...

Tant pis... Je vous propose une autre offre. Rendez-nous les prisonniers, et en échange je me livre à vous. De toutes façons, que vous acceptiez ou pas, je vous livre cet unique avertissement. Si vous nous rendez les prisonniers avec plus de blessures que nécessaire, vous regretterrez d'être nés. S'ils sont malades, vous regretterrez d'être d'aussi faibles humains. Si la femme enceinte ne l'est plus vraiment, vous regretterez d'avoir connu la fureur de la grande Eloh!

Il lança à Ikar un regard qui lui indiquait de ne pas influencer les shamariens. Il avait une idée. Mais comment en faire part à Ikar sans alerter les shamariens? Facilement... Il n'avait pas de cordes vocals, pourtant il pouvait parler. Donc, logiquement, c'était encore de la magie. Il pourrait donc peut-être reporté ça voix un peu plus loin. Mais il n'avait jamais essayé. Il tenta le tout pour le tout.

Ikar.

Ca marchait. Il murmura à l'oreil d'Ikar :

J'ai laissé mon phylactère à la barricade. C'est un simple coffre en métal. S'ils acceptent, je me suiciderais dès que vous serez partis. Attendez alors maximum une dizaine de jours en restant cachés et je serais de retour.

[HRP : wow! Ca a une de ces gueule quand je m'énerve!^^]

J'aurais voulu rétorquer : Mais pourquoi voudraient-ils de toi?? Mais le seigneur fut plus rapide qe moi sur la parole :
-J'ai une meilleure idée encore. Je vois maintenant à quel point vous tenez à ces prisonniers. Vous auriez dû vous taires liche.

Et il disait cela non sans dédain.

-Les autres seront bientôt là. Nous aurons deux fois plus d'hommes qu'il y en a là. Je vais libérer vos amis et je prends la liche. Après on reparlera de votre sauf-conduit jusqu'à la sortie de la ville.

Il me fallait trouver une idée.

-Revenez ici dans une heure. Je vous donnerez ma réponse.

Moi, Metalio et Vinh'san repartîmes vers la Cathédrale. et à l'intérieur nous trouvâmes une pièce écarté.

-Je ne peux pas accepter...
-Non tu as raison. Cet homme sera sans doute rétrogradé si les renforts arrivent et qu'il n'a pas pris la ville. Nous avons donc un plus gros avantage qu'il ne laisse le voir. Et rétrograder un seigneur, c'est sans doute comme le traîner dans le boue. Il n'a pas le choix de prendre la ville, dit Metalio.

Je n'avais pas vu cela ainsi, mais j'avouais que ç'avait du bon sens.

-Cet endroit est indestructible ou presque. Nous pouvons rester ici pendant plusieurs jours, continua Metalio.
-Et après? Nous serons quand même obligé de se rendre à cause du manques de vivre. Nous ne serons pas plus avancé.
-Demandons un plus grand délais. Demandons au moins la trois nuits pour y réfléchir.
-Penses-tu que ces hommes ont un code d'honneur?? S'ils décident que ça tarde trop, il attaqueront de nouveau et ne nous laisserons plus de chance. Qu'en penses-tu Vinh'san??

J'en pense qu'ils ont Zertyline et donc ton fils sous la main. C'est assez clair, non?

Vinh'san s'en voulait d'en avoir trop dit.

De toutes façon, je vois mal ce que cela change... Ils font ce que je désirais... Enfin bon...

Sparda ecouta la jeune fille, se calma définitivement.

"Désolé..."

Puis il forcea comme une grosse brute, brisant la chaine de son bras gauche.

"Enfin..."

Puis il tendi le bras en avant, marmonna une incantation, mais rien ne se passa.

"J'ai un bras disponible maintenant. Comment pourrait on s'en servir pour sortir d'ici ? à par en brisant toute mes chaines, allant liberer ton corps et Améria avant de briser tout les gardes qui nous tiennent en detention?"

Puis il commencea a forcer sur la chaine de son second bras.

"Nous y arriverons Madame Zetyline, nous y arriverons..."

Zertyline completement désesperée par l'attitude de Sparda reprit possesion de son corps et commençat a jouer son role , celui qu'elle ne pouvait supporter : celui d'une femme faible attendant sagement qu'on la délivre.

Un jour Sparda payerait pour sa , il devrat bien avouer qu'elle est plus forte qu'il ne le croit , et surement plus fort que lui avec ses gros bras.

Renfrogner elle se blottit au fond de sa cage , ses bras ceignant son ventre encore quasiment plat.

L'Heure fut complété rapidement. Il me fallait encore me fier sur mon instinct. Je sortis de la cathédrale accompagné encore une fois de Metalio et de Vinh'san. Le seigneur était déjà là. Je n,aurais pas été surpris qu'il ait resté là toute l'heure. De toute évidence il savait quoi dire. J'allais tenter le tout pour le tout. Mais ce fut lui qui parla en premier :
-Alors, mon offre est-elle accepté?
-Les négociations ne sont pas finies. Je veux avoir une preuve que les prisonniers sont vivants. Je veux les voir de mes propres yeux et seulement ainsi je croirai vos dires.
-Et ensuite vous nous livrez la ville?
-Est-ce de la peur que je vois dans vos yeux messire??
-Les Shamariens n'ont peur de rien!
-Sauf d'être rétrograder. Ne croyez-vous pas que vous aller l'être lorsque vos supérieurs verront que vous n'avez pas pris la ville et que plus de la moitié de vos effectifs sont mort? Voilà ce que nous allons faire : vous allez signer le sauf-conduit que j'ai fait préparé et vous aller nous livrer les prisonniers. Ensuite si vous voulez renégocier pour que je vous livre la ville revenez ici dans une heure!

Les yeux du seigneur étaient en feu. Il n'avait pas l'air content du tout. Si ça ne marchait pas, nous allions forcer les rang jusqu'à Zertyline, la sortir de là et quitter la ville au plus vite.

-Nous reviendrons...Dans une heure avec les prisonniers...
-Qu'il en soit ainsi!!

.......

La cage était sombre. Tout était sombre. Comment avait-elle pu se laisser prendre? Ameria l'avait-elle fait pour impressionner le démon ou la liche?? S'était-elle abbaissé seulement pour ces deux-là? Et en valaient-il la peine? Sparda s'était fait blessé gravement. Et Zertyline qui était sortit de la maison sans qu'elle puisse faire quoi que se soit pour l'arrêter.

Elle s'en voulait et en voulait à Sparda. Elle le mettrait sous son contrôle dès qu'elle le pourrait... Même si elle savait que ce n'était pas sa faute. Elle voulut prendre son poignard, mais il avait disparu. NON! IL fallait qu'elle sorte. SI elle s'en séparait trop longtemps elle allait devenir une véritable morte-vivante. sa main... Elle était déjà pourrie et...et son bras... Et le bout de ses pieds. Vivement que quelqu'un nous sorte de là, pensa-t-elle.

Zertyline levat la tête et vit Sparda une rose noire entre les dents qui n'attendait que son bon-vouloir pour partir.

Elle décidat d'agir aussi bizarrement que possible , elle passat devant lui sans même le regarder se retournat quelque seconde avec un grand sourire puis partit en courant.

Le temps était toujours aussi beau. L'un de mes éclaireurs revint d'amrill avec les nouvelles :
-La ville est assiégé par Shamar. Ikar tient tête depuis un bout de temps. Si nous faisons un pacte avec lui, nous pouvons les vaincre très facilement. Sinon nous sommes mieux de ne pas nous en mêlé.
-Envoyez deux messagers, un pour les Shamariens et un pour Ikar. Faites-leurs porter le message qu'une armée de plus de deux mille hommes approche. On veut parlementer.
-À vos ordre!

L'éclaireur repartit, je fit lever le camp. Il ne fallait quand même pas affoller les ''partis''.

*Devons-nos faire une alliance avec Ikar? Ou alors prendre notre propre partit. Nous ne sommes pas assez pour renverser Shamar...*

Il restait une trentaine de minutes quand un de mes hommes entra dans la cathédrale.
-Quelqu'un s'est fait intercepté par les Shamariens. En fait deux personnes, mais vraisemblablement une qui voulait vous voir personnelement messire Ikar.
-Un messager s,est fait intercepté par les Shamariens?
-C,est ce que j'ai dit.
-S'ils ne l'ont pas laissé passé c'est qu'il n'est pas des leurs. C'est peut-être des alliés qui veulent nous parler.

Un homme se leva. Il avait l'air d'un marchand, mais à le regarder de plus près c'était sans doute un noble qui était resté après la prise d'Amrill.

-Je connais un passage qui vous mènera à l'extérieur des remparts sans passer au devant des ennemis. Je peux vous y conduire rapidement.
-Ammenez Metalio et Vinh'san. Je dois attendre la fin de l'heure ici. Je ne voudrais pas faire attendre nos hôtes.

L'homme fit un signe de tête affirmatif, mais probablement dédaigneux à l'idée d'y conduire vinh,san.