Nouvelle Guerre

-Si vous permettez dame Milona, mes hommes ont besoins d'encouragements. Vous pourez donner le feu vert tout de suite après.

HOMME D'AMRILL ET HOMME DU VENT, NOUS AVONS DES RENFORTS DE L'AUTRE CÔTÉ DES RREMPARTS. NOUS SOMMES ASSEZ NOMBREUX POUR SUPPRIMER CETTE RACAILLE DE SHAMARIENS. J'AI BESOIN DE VOUS TOUS POUR ME BATTRE. SACHEZ QU'AUJOURD'HUI JE VAIS ME BATTRE POUR VOUS. POUR DÉFFENDRE VOS DROITS, POUR VOUS AIDER À GAGNER L'HONNEUR ET L'ESTIME À LAQUELLE VOUS AVEZ DROIT.

Donnez le signal dame Milona. Vinh'san, il faudrait qu'on ait un entretien tout de suite. De toute façons, le combat ne commencera que dans plusieurs minutes.

Sentant qu'elle était de trop, Milona s'éloigna tranquillement suivis de ses hommes.

-Ces hommes... Les hommes du dragon... Ce sont eux qui nous ont attaqué dans ce village.

Milona ne pouvait s'empecher de regarder Ikar d'un oeil examinateur. Cette homme l'intriguer.

Je le trouve plutôt bizarre cette homme... D'un premier lieu il fait mine de pas m'entendre et pourtant j'ai bien vue que son regarde passé plusieurs fois dans ma direction et celle des hommes qui m'accompagne. Peut être que les gardes que Melroth ma assigner ne lui plaie pas... Mais je trouve tout cela inquiètent temps de messe basse lors d'un assaut en commun.

*Ikar est prêt et ses hommes aussi. Mais y a quelque chose qui m'inquiète dans sa façon d'agir. Peut être le fait de la mauvaise premier impression de sa race au premier abord de ma part, mais je ne peux m'empêcher de me méfier de lui. Fait attention a toi.*

Zertyline avait lever legermeent la tete lorsque Ikar lui avait donner ces ordres , bien sur ils n'étaient pas révoccable.

Elle se decidat donc a obeir sans rechigner , à soigner les blessés alors que les autres montrerait leur bravoure au combat.
Se n'était pas un bon plan mais elle ne dit rien , elle valait même enceinte bien mieux que la plupart des guerrier ici présent , Ikar et Vin'san comprit...mais , la confiance d'Ikar devait être préserver.

Un jours elle ne pourrait plus jouer la demoiselle en detresse , elle ne le supporterat plus du moins, et ce jours la même Ikar n'aurat rien a redire...

Le poignard sautait toujours entre ces mains ,puis vient se planter dans le bois d'une porte.

Vinh'san regarda Ikar. Une fois de lpus, s'il avait eu des muscles et de la chair, on aurait pu lire son étonnement. Il fit semblant de se détourner pour observer les recrues puis, comme il avait fait en présence des Shamariens, il projeta sa voix à côté de l'oreille d'Ikar.

Qu'est-ce qui te fait dire ça? Pourquoi nous auraient-ils attaqués? Ils auraient pensés que nous pourrions être dangereux et auraient préférés nous anihiler au pur hasard? Explique toi. Je sais que tu n'es pas d'un naturel à parler sans savoir.

La liche se retourna et se pencha vers Ikar comme pour lui communiquer le résultat de son observation dans le seul but d'écouter sa réponse.

-Je crois qu'il y a plusieurs solutions possibles. Soit il nous considérais comme de potentiels ennemis alors et a changé d'avis en voyant qui nous étions vraiment et dans quel but nous agissions. Soit c'est un piège. Ou bien encore, ses hommes avaient seulement reçu l'ordre de prendre possession du village et de ne laisser personne en sortir. Si j'en crois la fierté de ses hommes à être à ses côtés, je pourrais même être porté à croire que les hommes qu'on a vu là-bas n'étaient pas les siens ou n'avaient jamais reçus quelques ordres que ce soit.

C'était ce qu'il y avait de plus crédible... Sauf pour un point. L'homme qui avait failli me tuer savait qui j'étais. Je n'en fit pas mention, mais je savais que je ne devais pas faire confiance à ce dragon. Du moins pas entièrement. Il avait peut-être de l'honneur, mais détruire un village entier sans aucune raison apparente ne méritait pas ma confiance.

L'ancien elfe, qui regrettait de plus en plus d'avoir emprisonné son âme dans une boite de fer, réfléchit courtement aux hypothèse avant de dire :

Tes explications sont plausibles, mais j'aimerais encore savoir ce qui te permet d'affirmer ceci.
Et aussi, après réflexions, je devrais te parler de ce je comptais faire en allant sur mon île... Je pense que tu dois le savoir par contre, pour assurer que l'on revienne tous vivants, tu devras n'en parler à personne faisant partie de cette expédition. Seulement, avec la disparition de Sparda; je n'ai plus de personne qui semble asser musclée, point très important pourtant...
Mais revenons au plus importants, qu'est-ce qui te fais penser qu'e ce sont eux qui voulaient notre mort?

Nous approchions de la ville d'Amrill lorsque des gardes vinrent nous bloquer la route. Je venais alors de récupérer des horreures que j'avais vues.

Pouvez pas continuer.

Je m'apprêtaitt à sortir mon sabre comme le guerrier elfe lorsque la jeune prêtresse s'approcha du garde, un sourire sur les lèvres.

Ca se négocie.
Sacre non!

La prêtresse tira vers elle l'archère avant de continuer :

Vous savez, nous sommes deux jeunes elfes bien portantes et nous avons de la viande chaude... Offrez à nos deux amis le droit de passer et nous resterons avec vous jusqu'à leur retour.

Le garde hésita un moment. L'archère grimaçait mais avait prit soin de tourner le dos au garde. Lorsque l'homme posa sa main sur l'épaule de la jeune elfe en souriant, un réflexe se déclencha chez moi.
Je fermais le poing droit sur la poigné du sabre de façon à ce que la lame suive mon avant-bras, posais la main droite sur le poing, je pris de l'élan et mis un seul coup de poing au garde. Le sortillège emprionné dans le sabre se libéra. Une gerbe de foudre se déchargea dans sa chaire. Je remettais mes cheveux en arrière tandis que l'archère me traitait de cinglé uniquement capable de causer des ennuis. Je remettait mes gants noirs en place et rangeait mon sabre tandis que le guerrier prit la prêtresse par les épaules pour l'emmenner dans la ville.

Attendez! La ville est en état de guerre. rentrez dedans sans vous méfier et on parlera de vous au passé! Nous devrions passer sur les toits en cherchant où est l'armée que nous cherchont.

-S'ils ne voulaient pas notre mort, pourquoi nous auraient-ils attaqué. Nous aurions pu être des hommes voulant être recrutés. Et d'après les dires de Milona, ils sont à la recherche d'hommes.

Devais-je lui dire qu'ils m'avaient reconnu? Et bah pourquoi pas?

-En plus l'un d'eu m'as reconnu. Il m'a appelé par mon nom VInh'san. Il n'y a pas plusieurs explications plausibles. Il faut espérer qu'ils n'agissaient pas sous l'ordre de Melroth, sinon nous aurons bien des misères. Vinh'san... JE ne peux plus partir... Pas maintenant que les hommes sont près à se battre. Toi tu peux. Tu peux partir. Ammène Zertyline en sécurité, invente quelque chose pour ne pas qu'elle pense que je veux encore l'éloigner de moi. Trouve des hommes pour l'accompagner et si tu le désire, un fois en sécurité, revient m'aider. J'aurai grand besoin de soutien morale. Et maintenant ils savent comment s'introduire dans la cathédrale. Après l'assault, ils risquent de s'en prendre à nous. Dès que les hommes de Shamar seront perdus, nous partirons d'ici et laisseront la ville au dragon. Pour l'instant, les Amrilliens ont besoins de lui et de ses hommes. Et de moi.

Je n'aimais pas l'idée de laisser Zertyline à Malin. Cet homme était capable de tuer pour le plaisir. Je ne savais vraiment pas si on pouvait lui faire confiance. Mais je l'avais laissé à Sparda sans même le connaître. Et à l'air de Vinh'san, il n'était pas question de négocier.

L'attaque allait bientôt être lancé, mais je voulais que Zertyline soit partit. Je voulais que tout marche comme je l'entendais, mais pourtant je ne pouvais qu'espérer qu'on gagne cette bataille sans trop de perte et que je puisse partir par la suite. Je ne voulais plus continuer. Je voulais simplement m'installer dans une ferme à Valérian et finir ma vie là-bas... Aux côté de Zertyline. Sans personne pour me rappeler mes devoirs.

Mes hommes agissaient bien... Et avec vitesse. Les archers avaient tous été tué sans trop de perte de mon côté et la porte avait été enfoncée. Puis tout était redevenu calme. Cinq minute avaient passé. Plus que cinq avant d'entrer dans la ville. Cette option n'était pas la meilleure par contre, car se battre dans une ville incluait être pris en embuscade et endommager les bâtiment. Hors, la ville était déjà fragilisée avec la guerre entre Shamar et Amrill. Elle serait quasiment détruite si les cavaliers ennemis ne sortaient pas rapidement. Un éclaireur arriva :

-Grand seigneur, nous avons apperçut des Shamarien tentant de quitter la ville. Nous pensons que leurs ''chef'' était avec eux. Ils veulent déserter. Envoyons tout de suite des hommes en finir avec eux et nous pourrons sans doute instaurer la crainte parmis leurs hommes.
-Faites ainsi et mettez les cadavres sur des piques en avant des remparts. Ils devraient tous sortir avec un drapeau blanc en premier. Lorsqu'ils auront déposés les armes, tuez-les tous.
-Et l'honneur??
-Nous combattons le feu par le feu, notre honneur est sauf.
-Ainsi soit-il!

Malin Keshar approcha de Vinh'san. Du haut de la cathédrale on avait une bonne vue sur la ville. Hélas encore trop limité au goût de la liche. Malin le savait, il avait étudier les états d'esprits de l'ancien elfe avant de se lancer à sa poursuite. Par exemple, Malin savait que Vinh'san était généralemetn angoissé si un danger, même petit, pouvait se cacher et n'était pas dans son champ de vision. Il n'aimait pas faire couler le sang non plus...

Tu voulais me parler?

Vinh'san fit un signe à Malin lui indiquait qu'il devait s'approcher.

Oui. J'ai une mission pour toi. Certes tu n'es pas un mercenaire, juste un jeune homme qui à peine l'âge d'être nommé "homme", si ma connaissance sur votre culture est éxacte, et qui veut protéger sa mère. Honorable. Cependant moi aussi je veux protéger des gens. Mes rares amis, mon peuples, les peuples qu'il a asservit sous les ordres d'une dictatrice, la Vie en elle même...
Ca va bien avec le profil du nécromancien, dis moi.
Justement, dès que j'aurais récupéré un corps, je laisserai tomber ce talent et le reconvertirais en médecine. Fais en sorte que ce corps ne soit pas le tien. Même si tu venais à mourir, je m'arrangerais pour protéger ta mère. En échange de cette promesse, j'aimerais que tant que nous seront dans cet empire tourmenté, tu protège Dame Zertyline. Cela commence par l'ammenner en lieu sûr.
Je dois donc partir?

Vinh'san émit un faible rire sans réelle joie.

Oui et non. Tu l'ammène en sécurité et en même temps tu t'arranges pour que dès que nous en aurons terminé avec Shamar, tu lèves une armée de morts-vivants, pas avant pour éviter d'être repéré, et tu nous assure un retrait paisible.
D'accord.

Malin posa un genoux à terre devat la liche. Vinh'san l'attrappa au cou et le releva.

Refais ça et ce sera vraiment ton corps que je choisirais.
Je ne pense pas.
Pourquoi?
Tu veux te venger de Kaleh. Il t'a empêcher de porter secours à ton ami.

Vinh'san riat encore sans joie.

Bien vue. Aller, vas-y. Et débrouille toi pourqu'on ne s'en aperçoive pas.


Vinh'san redescendit et dit à l'adresse d'Ikar :

On va avoir de la visite.

L'ancien elfe s'arrêtat en voyant un petit attroupement de trois elfes et un humain devant des hommes armés. Il se figea en apercevant Vivia. Il était son parrain et c'était elle qui venait le retrouver...

-Laissez-les passer. Je ne pense pas que des elfes puissent même supporter l'idée d'une quelconque alliance avec les Shamariens.

Je me pencahi à l'oreille de Vinh'san et dis :
-Qui sont-ils?? Tu les connais?? Et si c'est le cas, doivent-ils savoir qui tu es??

Je le dis de telle sorte que seul quelqu'un d'aussi près que Vinh'san aurait SU si j'avais parlé. Je ne comprenais pas vraiment ce que des elfes venaient faire ici si ce n'était pas pour retrouver Vinh'san. Je me rappellais qu'il m'avait dit que des gens le cherchait. Probablement ceux-ci! Mais il n'avait pas fait mention d'un homme. En fait, à son allure, je doutais fort qu'il était autre chose qu'un mercenaire. Il n'était pas un colosse, mais avait l'air de savoir se battre. Je doutais même que mes cinq hommes auraient pu l'empêcher de passer s'il l'aurait voulu.

Je m'approchai du groupe doucement. Je mis une main sur l'épaule de Vinh'san. Je ne dis rien. Par ce geste et sans ces paroles je disais implicitement que Vinh'san était un homme de valeur. Et je ne le défendais pas, mais plutôt donnait l'impression qu'il valait la peine qu'on s'attarde sur lui. Toute cette guerre m'avait donné de l'expérience et je savais maintenant qu'on pouvais plus facilement convaincre quelqu'un par nos geste que par nos paroles. Et ça, ce n'était pas juste la guerre qui me l'avait appris.

Les nouveaux venus me toisèrent du regard. Ils savaient proabablement qui j'étais, mais avaient proabablement du mal à comprendre Vinh'san. C'était triste de voir la petite pleurer et le mépris de l'archère. Je voulais simplement donner l'impression à nos invités que Vinh'san n'était pas seul et que les hommes du vents l'avaient accepté. C'était le second dont j'avais besoins, mais je savais que si je lui demandais c'était comme de lui demander de renoncer à ses rêves. Et ce n'était pas ce que je voulais.

Le dénommé Malin était venu trouver Zertyline sur ordre de Vin'san ,il voulait l'ammener loin de ces hommmes mais elle ne savait ou exactement.

Lorsqu'il prit parole , elle levat vers lui de grand yeux noir de haine et de vengeance , elle voulait , autant que la plupart de ces hommes venger sa liberté perdu et son bonheur déchu.

Elle le laissat parler , essayer de la convaincre mais elle n'écoutait pas, elle avait déja entendut parler de cet hommes , malin , elle pensait qu'il était de ceux qui n'oserait avuer la défaite , sa décision était prise , elle ne partirait plus malgré la vie qui grandissait en elle , il était tant de laisser aller ses talents.

Tout d'abord ses talant de voleuse , furtive et raîde , puis au besoin ses pouvoirs démoniaque et sa toute nouvelle cruauté.

Elle se levat et se placat tout contre Malin murmurant à son oreille.

Je ne te suivrait pas .Moi aussi j'ai un devoirs de vie à accomplir.Si tu tient à ton corps .Je te conseille de suivre scrupulesement les autre ordres qu'on à bien put te donner puisque tu n'est surement pas venut me sauver pour le plaisir.

Puis elle se retournat laissant accrochée à la ceinture du jeune homme un poignard d'un blanc pur , une signe d'espoir à elle mais aussi l'assurance qu'il avait essayer d'accomplir ses ordres.

Encapuchonner,elle quittat la cathédrale avec qu'elle réserve de nourriture à la recherche d'une cachette d'ou elle pourrait assister Ikar sans se fire débusquer.

Malin se demandait que faire. Qu'était ce poignard, il n'en savait rien. Un symbole, probable, mais il n'en savait pas plus. Il avait du mal avec les symboles. Le seul symbole qu'il comprenait, s'était le sang coulant à flots.
Devait-il avertir Vinh'san? Non. Plutôt que ça,i il préféra retrouver Zertyline. Il ne devait pas mettre la liche de mauvais poil, c'était dangereux. Il partit en dehors avec l'espoir de retrouver la femme. Qu'importe qu'elle soit puissante ou autre. Même si elle avait été une déesse, seule face à un détachement elle aurait du mal à se défendre.
Le nécromancien sortit furtivement de la cathédrale et tenta de retrouver Dame Zertyline.


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Vinh'san retira doucement la main d'Ikar de son épaule.

Vivia, que t'ais-je dit avant de partir de l'île?
De ne jamais juger les gens sur leur apparence. Mais là je ne le fais pas, tu étais bel et bien un nécromancien!
Qu'importe l'art, tout est pardonnable avec une bonne raison. Ou du moins presque tout. Je ne l'ais fais que pour renverser la tyrannie d'Ehryna en causant un minimum de perte. Et le fait que je sois désormais une liche s'était pour vivre asser longtemps pour éventrer Ehryna et aider cet homme, Ikar, dans sa tâche.

La fille se cramponna à Vinh'san.

Vivia calme toi. Dis moi, tu as continuer d'étudier depuis? Tes talents de soigneuses pourraient nous être utiles dans l'immédiat.

Milona observait les fait et geste de tout se petite monde qui se trouver dans Cathédrale temps qu'ils étaient en vue et écoutait tout se qu'il se disait temps que cela reste a porté d'audition. Ca paranoïa travailler fort, avec que des inconnues autour d'elle, mais elle reçus enfin un message de Melroth qui souffla un ouf de soulagement de l'entendre.


*Milona, la première partie de la guerre est terminée. Nous n'avons pas eu à nous battre. Pas vraiment. Nous avons tué leur chef et ils se sont rendus.... Et ils sont tous mort. Demande à Ikar si nous pouvons entrer dans la ville. Je ne voudrais pas que ces hommes prennent peur. Il faut qu'il les avertisse de mon arrivée. Et il faut nous préparer aux renforts de Shamar. Nous n'avons pas plus d'un jour avant leurs arrivée. Un de mes éclaireur vien de m'en avertir. Si nous nous coordonons, nous pouvons sans doute arriver à quelque chose.*

*Je suis heureuse que tout c'est bien passé. Je vais de se pas lui demander. Je sais pas si c'est moi, mais j'ai l'impression qui se trame des complots qui pourrait nous porté préjudice. Mais c'est sens doute une appréhension envers ces humains depuis ma fâcheuse rencontre avec ces bandits qui me joue des tours... *

Milona s'approcha donc de group de personne ou se trouver Iksar et cette créature en décomposition. Elle hésita un moment et sachant que le temps est compter interrompit leur discution.

-Je vous pris de m'excuser de cette irruption dans vos retrouvaille, mais les shamariens on étaient éliminer. Melroth demande si lui et ces troupes peuvent entré dans la ville sens y effrayer vos hommes. Il aimerait préparer notre défense face au renfort de Shamar qui d'après des éclaireurs seront la dans un jours tout au plus.

Et voilà, il fallait bien que je me décide seul, je ne croyais pas Vinh'san apte à m'aider dans cette décision.

-Dites à Melroth d'entrer avec sa bannière au front de sa ligne de marche.

S'Il ne le faisait pas, il serait peut-être temps de partir d'ici. D'autre part ce n'était pas envers les Amrilliens qu'il en voulait, mais après moi et peut-être les hommes du vent.

-AMRILLIENS ET HOMMES DU VENT, NOS RENFORTS VONT ENTRER DANS LA VILLE POUR QUE NOUS PUISSIONS COORDONNER NOS ATTAQUES. LES SHAMARIENS ONT ÉTÉ REPPOUSSÉS ET TUÉ. IL VA Y AVOIR DE LEUR RENFORT D'ICI VINGT-QUATRE HEURES. NE VOUS ÉTONNEZ PAS DE L'ALLURE DE NOTRE ALLIÉ, C'EST UN DRAGON. ESSAYEZ DE RESTER CALME.

Et maintenant il ne restait plus qu'à attendre...

Mais pourquoi une telle demande ? C'est pourtant normale a une armé de se présenter et être reconnue et donc porté sa bannier au devant des rangs. Je ne sais pourquoi, mais je le sens pas très alaise dans cette situation. Pourtant elle toute en son avantage... On libère la ville et on l'aide a repoussé les renforts. Il faut que je lui parle... Je dois en avoir le coeur net.

*Melroth Ikar a prévenue ces hommes de ton entré et demande a se que la bannier soit porter au front de la ligne de marche. *

-S'il vous plais monsieur Ikar. J'aimerais m'entretenir avec vous en priver si cela ne vous dérange pas.

J'espère qu'il ne va pas croire que je veux l'éloigner de sa gardes pour attentait a sa vie... C'est se que je penserais a sa place, mais il a quelque chose qui m'échappe et je veux savoir quoi...

-Je laisse mon arme a vos hommes et prenez en une avec vous. Je vous veux aucun mal, je veux juste parler et si cela peut vous rassuré.

Joignent le geste a la parole elle tendit son arme a Ikar.

-Gardez votre arme. Je n'ai pas affaire avec. De toute façons, pour l'instant une attaque contre moi serait suicidaire. Ouvrez la marche je vous suis.

Qu'avait-elle donc de si important à me dire. Peut-être un message du dragon. Dans ce cas, il vallait mieux que ce soit positif,sinon elle en châtirait. Je la suivis jusque dans un coin éloigné quand elle commença ce qu'elle avait à dire.

-J'ai védu bien des choses dans ma vie. Aucun homme de mon âge ne doit en avoir vécu autant. Peut-être n'aurais-je pas dû m'embarquer dans cette galère de bataille. Peut-être. Mais avec tout ce qui s'est passé depuis que j'essais de faire une armée, j'ai mes raisons de me méfier...

Ça je n'aurais pas du le dire. Elle dira cela au dragon et empoisenera encore plus la relation que nous allions créer.

-Je suis un soldat et non un seigneur. Lever une armée aurait été la tâche de Vinh'san normalement. Je ne connais pas les loi des maîtres de guerre et je ne crois pas en être un. C'est pourquoi j'ai plus tendance à me méfier et comme le dit le proverbe : Vaut mieu prévenir que guérir! Ou l'équivalent dans vot' pays. Maintenant si vous vouliez m'excuser, j'ai un devoir à remplir.

Notre entré fut révélatrice. Les gens d'Amrill ne craignaient pas les Dragons. Ou du moins les dragons qui les avaient aider à libérer la ville. Ma bannière était bien en évidence en avant de la colonne : Un oeil ensanglanté. Voilà qui en ferait peut-être réagir quelques-uns. Les acclamations fusaient de partout : Longue vie au seigneur Dragon! Vive le seigneur Dragon. Longue vie au dragon noir.

Ils ne connaissaient ni mon nom, ni mon âge. Ils ne pouvaient savoir que j'avais dominé Shamar quelques siècle auparavant. Même les archives des Shamar mentionnant mon nom avaient dû être brûlée par mon traître de successeur. Aujourd'hui je me ferais appeller Dal'Melroth , qui voulait dire le nouveau Maître en langue de dragon. Mais cette langue étant encore plus vielle que celle des elfes, personne ne saurait ce que cela signifierait... Sauf Milona, qui par notre pacte, avait appris une partie de mes connaissance. Pas mes souvenirs, mais mes connaissance. Soit, elle comprenait maintenant la langue des dragon sans le savoir. Aujourd'hui elle le saurait si elle ne s'était pas questionné sur la signification de mon nom.

Melroth voulait dire Maître.