Négociation avec Vinh'san

Comme je l'avais prédit, le chemin fut rapide et au coucher du soleil, l'île était en vue. C'était entre autre, dû au fait que je pouvais aller en haute altitude, là où il faisait très froid car Milona avait un pelage qui la protégeait. Moi je tirais ma chaleur de la lumière du soleil. Chaque écaille noire attirait une énorme quantité de chaleur, ce qui réchauffait mes organes internes même dans les températures les plus froides.

Arrivé sur la plage, là ou quelques jours auparavant nous nous étions fait accueillir par un cortège d'hommes qui n'avaient pas peur des dragons, Vinh'san nous attendait. On lui avait sans doute signalé ma venue par l'intermédiaire des phares.

-Maître Vinh'san, je suis venu venger l'honneur des dragons. Les elfes de la vallée des elfes, ma propre armée, celle de Metalio ainsi que celle des Félion, qui arrivera un peu en retard, viendront attaquer cette île que nous prendrons par la force et la mort. Je choisirai moi même quelqu'un qui siègera sur le trône et vous, vous serez puni justement et publiquement.

Je ne voulais pas le faire périr car il était vrai que ç'avait été le meilleur ami d'Ikar, mais je voulais qu'on voit publiquement la honte sur son visage. La honte d'être dépossédé de son trône ainsi qu'humilié publiquement. C'était la dette que j'attendais qu'il accomplisse. Lui, croirait sans doute que je voulais sa mort et c'était ce que je voulais qu'il pense. Pour voir s'il était un fuyard ou s'il affronterait avec honneur son destin.

-Vous ne connaissez l'honneur qu'en partie Vinh'san. Vous ne savez pas qui mérite la guerre et qui ne la mérite pas. Vous n'avez pas l'âme d'un chef et vous ne l'aurez jamais. Autrement vous auriez été à la place d'Ikar aujourd'hui et avant sa mort. Vous blasphèmez en me traitant de vil lézard crapuleux alors que vous ne connaissez même pas les fondement de la guerre en général ainsi que de l'honneur. Vous serez resté fidel à vos valeurs jusqu'à la fin Vinh'san, mais vous n'êtes pas un roi, même pas près de l'être. Vous être par contre un parfait second, qui conseille, qui observe et qui prévoit. Ne pensez pas que mon acte est irréfléchie. Je vous connais assez pour savoir que l'île est vide de ses gens et que seul demeurent les prisonniers et leurs gardiens. Si nous attaquons, ce sera eux qui mourront et pas de pauvres innoncents. Et si les gardiens meurent, c'est qu'ils n'auront pas voulu que je réclame le sang de ceux qui ont injustement pris le mien. Je suis juste Vinh'san, vous ne l'êtes qu'en partie. Je ne vais pas vous tuer et votre punition sera de voir mourir vos prisonniers. Je sais que vous n'avez pas le coeur à tuer de votre race, mais ne les considérez pas des vôtres car il ne le sont plus du moment où il trahissent leur sang. Rien n'est pire que la mort Vinh'san, c'est ce qu'on m'a appris toute ma vie en tant que guerrier. Par contre mourir en traître et pendu est pire que mourir en héros sur le champ de bataille. Maintenant faites ammenez les prisonniers sur la plage pour que je puisse décider de leur sort.

Vinh'san venait de me donner une certaine leçon d'humilité et d'honneur, mais c'était dû au fait que je ne lui avais pas laissé le choix de parler ainsi. Si je m'étais mieux exprimé, il aurait mieux compris.

-Donner une leçon à un maître prouve que l'élève est prêt à devenir maître à son tour.

Je doutais que Vinh'san comprendrait ces mots, mais cela le ferait réfléchir.

Depuis l'arriver sur l'ile hexagonale la Félionne ne cesser d'être troubler pare toutes ses voix qui raisonner dans son esprit...

Que revient il faire ?...
Pourquoi se Dragon est là ?...
Et qui est cette créature avec lui ?...
Que nous veulent ils ?...
Je sens la colère...
Se Dragon...
Comme les autres...
Agressif...
Belliqueux...

Mais qu'elles sont ses voix ?... Pourquoi je les entends sur cette île ?...
Cela serait il une attaque mentale d'un puissant sorcier ?... Possible... Vinh'san a bien appris sa magie malfaisante dans ses terres...

Milona eu du mal a suivre la conversation entre Melroth et Vinh'san. Mais compris tout de même le fondement des propos de l'un et de l'autre.
Après les parole de Melroth elle décida qu'il était temps de donner son opinons et sauta d'un petit bond souple sur le coté de Melroth. La réception fut légèrement douloureuse s'étant servie pour point de chut de la jambe ou tantôt la lance d'Hérios la blessa. Une petite grimace du a la douleur, mais elle passa très vite.

Elle est blesser...
Que nous veut elle ?...
Qui elle est ?...

Milona exaspérer pare ses voix tourna la tête pour observer tout son entourage et tenter de trouver sa provenance. Elle cria dans sa tête espérant se faire entendre de ces êtres.

Que me voulez vous ?! Pourquoi vous parlez ainsi ? Dans ma tête ?

Elle nous entend...
Comment cela est possible ?...
Pourquoi elle nous comprend ?...
Qui es tu ?...
Que veux tu ?...
Tu nous comprend ?...

Toutes ses voix parler de plus en plus, elle en devait quasi incompréhensible du au nombre de voix parlant en même temps et posant sens cesse des questions. Les pensé de Milona devenait de plus en plus brouiller pare tout cette pollution de voix dans son esprit. Elle n'arrivait que très peut a contrôler son calme et se redressa pour faire face a Vinh'san.

-Vinh'san nous ne somme pas venue livré bataille dans l'heure, si cela aurait été le cas nos armées seraient prête a débarquer, donc rangez cette arme. Que l'on parle sens violence.

Une armé ?...
Qu'elle armé ?...
Pourquoi une armé ?...

L'esprit de Milona devenait de plus en plus perturber pare ses voix. Autant qui parler en même temps, sens savoir comment les réfréner, les canaliser, les contrôler en devenaient une merveilleuse arme psychique et la Félionne ne tarda pas a craquer sous ses assauts.

-CA SUFFIT ! Cria t elle saisissant son épée

Les voix se tue lors d'un instant ou Milona put prendre quelque peut ses esprit et refaire face a Vinh'san.

-Vous m'attaquez avec vos sortilège maléfique, quand nous venons pour négocier et évité un bain de sang ?!
Je vous faisais confiance ! Vous m'avez prouver que votre quête été louable et depuis que nous somme monter sur se navire, vous avez pas cesser de m'harceler avec ses voix ! Et puis vous m'avez lâchement abandonner lors de se voyage sur les flots, pour ses partisans de celle a qui vous semblez avoir donner une punition exemplaire ?...

Les voix avaient repris de plus belle. Ne voulant pas que la Félionnes face du mal a Vinh'san, elles redoublèrent dans leur actes voyant que cela perturber cette étrange créature pour eux et Milona tomba a genou les main contre ses tempe lâchent son arme.

[hrp] Vinh'san tu sais quoi être ses voix, mais tu a peut être oublier de le dire a Milona et du coup elle en fait ca propre expérience. Elles sont forte sur cette île car les druides elfes parle avec la nature et donc celle ci a l'habitude de parler avec les elfes. Milona a le don de les entendre, mais na eu personne pour lui apprendre a canalisé se don.
Et tu risque de le reprendre souvent ton paradox temporel [/hrp]

Je me penchai bien bas, mettant ma gueule très près du visage de Vinh'san et dit à voix basse :
-Aujourd'hui vous décidez que trop mourront par votre folie. Je ne suis là que pour venger ma race Vinh'san. C'est votre dernière chance de me livrer les prisonniers sinon je repars préparer la guerre sur le continent et je revient avec quatre armées derrière moi, s'unissant contre la tyrannie d'un roi qui n'en est pas un et qui décide de la mort de son peuple. C'est bien ce que vous voulez maître Vinh'san? Un seul mot de votre part et je reviens dans trois jours pour marcher sur vos terres et venger l'honneur qui me revient.

*Milona, il y a un archer caché dans les arbres, fais en sorte de la faire venir se présenter.*

-C'est votre folie qui conduit à la guerre Vinh'san pas la mienne. Et je ne veux pas plus cela que vous. Laissez-moi les prisonniers et nommez quelqu'un à votre place pour devenir roi. Vous n'êtes pas un chef!

Milona n'arrivait plus a suivre la conversation du au nombreuse voix se déchainent dans sa tête. Elle rangea laborieusement son arme dans son fourreau et sens se relever dit avec le peut de lucidité qu'elle put rassembler lors de cette attaque des Esprit.

*Je ne pourrais pas Melroth... Les esprits de cette île... Je peux les entendre et il ne cesse de noyer mes pensé de leur voix... J'ai eu énormément de mal a distingué ta voix parmi les autres... Je ne sais pas si je pourrais a nouveau le faire...*

-Roi Vinh'san ! Je suis émissaire au nom du peuple Félion ! Si vous ne pouvait obtenir de vos sujets qu'il cesse leur attaque sur ma personne immédiatement ! La discution sera close ! Et cette attaque sur un envoyer charger d'éviter une guerre sera prit pour une déclaration ouverte ! Dit laborieusement la Félionne

Les esprits cherchaient a désorienté la Félionne depuis son arriver, ayant rapidement compris qu'elle avait une certaine capacité peut commune de perception. Mais leurs attaques n'eurent pas l'effet qu'ils escomptaient, au lieu de faire fuir le Dragon en s'attaquent a sa cavalière. Celui ci aller pouvoir repartir avec se qu'il était venue chercher.
Donc leurs attaques cessèrent et Milona put reprendre peut a peut conscience de la réalité des choses. Les voix étaient toujours présente, mais plus compréhensible et sens agressivité...

Ils ne doivent pas partir...
Nous voulions simplement vous faire partir...
La mort serait une délivrance...
Tellement de souffrance...
Nous réclamons justice...
La mort serait une délivrance...
Vous le savez...
Leurs châtiments dois être exemplaire...
La mort serait une délivrance...

La Félionne se releva et vit que les prisonniers que demander Melroth était face a eux, a attendre le jugement du Seigneur Dragon. Un sourire de délivrance se lisait sur le visage de l'ancienne reine, croyant être venue le temps ou elle partirait sens même avoir payer ses méfaits. Milona se rapprocha de son ami, posa une main sur lui pour le rassuré.

*Melroth, ils doivent avoir une punition exemplaire. Les ancêtres de cette île réclame eux aussi leur vengeance, ils veulent que nous leur laissons les prisonniers.
Une vengeance ne se fait pas en tuent froidement sens en gagner le mérite, car cela leur offrirai une fin douce et ils méritent bien pire... Pour se qu'ils ont fait ici envers ton peuple et envers les ancêstrale esprit qui y habite...
Et pour Vinh'san... Même si y a un roi ou une reine sur cette île, ces les ancêtres qui la dirige et ils seront quoi faire de lui... Quoiqu'on peut y penser sa quête fut honorable, même si les moyen de la réalisé l'était moins...

Melroth... Mes principes et ceux de mon peuple porte un grand intérêt a nos ancêtres et les esprits de cette île ne sont pas si différent que ceux qui nous attend au porte des cieux...
Je ne peux m'élever contre leur souhait... Mais je ne peux pas non plus choisir ta vengeance...*

Je fus choqué de l'intervention de Milona. Très choqué. Elle savait pourquoi j'étais là. Pourquoi il y aurait eu une guerre si Vinh'san avait résisté, pourquoi Ehryna méritait de mourir plus que quiconque. Je ne lui répondis pas, mais me mis à parler au groupe de prisonniers qui avait été assemblé devant moi :
-Vous pensez peut-être que le mort va délivrer vos âmes de ce qu'aurait pu vous faire endurer les esprits de la forêt? Peut-être aussi que vous penser que vos âmes iront rejoindre un semblant de paradis? Non, l'enfer est cent fois pire, mille fois pire que la pire souffrance que vous aurez à vivre de votre vivant. Cela fait de la mort le pire des châtiments pour qui la mérite et la meilleure des fins pour qui ne la mérite pas.

On vous a enseigné à respecter les esprits. On vous a enseigné à respecter la nature ainsi que les autres créatures terrestres, volantes et même marines. Chacun des êtres vivant a droit à une certaine forme de respect. Hors, en mettant Ehryna au pouvoir et en vous mettant à dos les esprit de la forêt, vous vous êtes forgé un futur peu propice à engendrer le bonheur que vous auriez pu avoir.

Plus je parlais, moins il y avait de sourire et plus les têtes se baissaient, méditant probablement sur ce qu'il y avait après la mort.. Peut-être aussi sur leurs méfaits commis auparavant.

-Vous avez fait disparaître la race de dragon qui se trouvait sur votre île et ce, sans prendre en considération le respect que vous deviez portez à ces créatures qui autrefois, ont été vos alliés. Je suis le dernier représentant de ma race connu à ce jour. Vous avez tué mes frères et soeur. Vous avez crevé les oeufs et ainsi, tué leur progéniture. Aujourd'hui je vous conseille de craindre Dal'Melroth car il est le dernier dragon et c'est lui qui décidera de votre châtiment.

Aujourd'hui, grâce à VOTRE roi, vos vies viennent d'être sauvées. Ce ne sont pas les esprits qui me font peur et je doute qu'eux aussi me craignent. Ce n'est pas de vous tuer qui me dérange : un simple coup de griffe et le travail est fait. Ce qui porterait atteinte à mon honneur encore plus que ce que vous avez fait serait de ne pas écouter les conseil d'un AMI et de décevoir ce dernier. JE VOUS PARDONNE TOUS DE CE QUE VOUS M'AVEZ FAIT. Maintenant ce n'est plus à moi de vous juger, car pour moi, vous redevenez blanc par mon pardon.

Je tournai le tête en direction du soleil et je m'envolai vers l'horizon sans ammener Milona. J'avais besoin d'être seul pour faire passer ma peine.

Milona sentie un malaise en entendent les paroles de Melroth. Elle sentait qu'il n'avais pas apprécier son intervention. Cela était peut être juste une impression après tout...
Mais lorsque le seigneur Dragon se retourna et s'envola sens même la regarder, elle sentit un grand vide... Pendant un instant elle voulut tendre la main vers lui, lui demander pardon de son offense envers leur amitié, leur confiance... Mais elle n'en eu pas le courage et elle le regarda disparaître au loin...
Les voix des esprits n'avaient pas stoppé pour autant, ils continuaient a parler, a posé des questions, a discuter entre eux... Mais la Félionne n'y prenait pas garde, en ce moment son cœur faisait hélas plus de bruit que son esprit...
Quelque larme de tristesse perler sur son pelage pour s'écraser au sol. Elle les regarda et vit aussi l'océan, cette ennemie qui mainte et mainte fois la fit rebrousser chemin. Elle avait réussit a le surmonter grâce a son ami, mais il n'était pas a ses cotés et le vide qu'il laisse est grand. Elle resta quelque minute a observer la mers...

Dans la cacophonie de toutes ses voix, elle arrivait avec peine a entendre autre chose, mais elle reconnue le son de la voix de Vinh'san qui prononcer son nom.

-...Milona, veuillez nous accompagné. A la description qu'on m'a faite de cet homme, vous avez tout à gagner à le rencontrer. Mais je ne vous y oblige pas.

Ne sachant de tout manière quoi faire a présent, elle n'avait rien a perdre de le suivre. Ben c'est se qu'elle pensait. Elle se tourna vers Vinh'san et lui fit un signe de la tête pour dire qu'elle était d'accord. Elle ne tenait pas plus que cela a parler a se moment... Et suis donc Vinh'san vers la citadelle.

Plus elle s'enfoncer dans les terres, plus les voix étaient forte... Elle faisait quasi obstacle au voix des vivants se trouvent non loin d'elle. Et de temps a autre elle ne pouvait s'empêcher de répondre au question de ses esprits, même si cela la faisait passé pour folle a parler toute seule... De tout façon la tristesse de savoir Melroth loin d'elle et déçus de son comportement, faisait qu'elle ne s'occuper guère de se qui se passé autour d'elle. Elle suivait Vinh'san et c'est tout se qu'elle savait...

Arriver devant la citadelle Milona s'arrêta de marcher quand Vinh'san le fit. Elle le suivait sens se posé de question et de toute manière elle n'était plus apte a pouvoir le faire... Les voix étaient trop intense, elle ne pouvait plus analysé tout se qui se passé et devait se contenté de l'essentiel. D'après les esprits, elle doit le suivre et lui faire confiance. Elle eu quelque réticence a cette idée, mais les esprits insisté quitte a venir au torture mentale pour arriver a leur fin et donc n'eut d'autre choie que de suivre cette personne qui pour elle la lâchement abandonner quand elle avait besoin de lui sur le navire...
Pendant un instant Vinh'san la serra dans ses bras pour la remercier ou la rassuré ou peut être les deux. Mais la Félionne n'eut aucune réaction et ne désiré pas en avoir. Même si pendant un instant elle trouva son geste insultant du a se qu'elle avait vécu lors de l'attaque de se Kraken et de se qu'elle avait put dire a Melroth y a peut de temps de cela... Mais les esprits refusé que de telle pensé qui leur sembler peut réfléchie et erronée lui vienne en tête et ils firent tout pour qu'elle n'y pense pas...

Le groupe se mit en marche assez rapidement craignent je ne sais quoi lors de se voyage, mais a la nuit tomber ils durent se résigner a bivouaqué avant d'atteindre une température peut approprier au camping sauvage.
A des moments Vinh'san disait quelque parole qui devait surement s'adresser a la Félionne, mais n'arrivent pas a le comprendre, elle ne daigner pas l'envie de lui répondre...
Mais soudain un sentiment de froid intérieur pris place et un douloureux sentiment naissez de celui la. Le sentiment d'un chagrin immense, pareil a celui qu'elle a put ressentir jadis lors de la perte d'être chère.
Quelque larme perla sur son pelage et dans un instant de lucidité elle comprit ! Melroth ! Elle ne savait pourquoi un telle sentiment, mais une chose est sur ! Il avait un rapport avec le seigneur Dragon. Elle le sentait partir... Partir loin dans des étendus ou personne ne revient. Elle sentait qu'il partait en voyage vers les cieux retrouver les ancêtres de son peuple et prendre place a leur coté...
Mais Milona ne pouvait accepté une telle chose ! Tout comme lui elle ne pouvait concevoir l'avenir sens sa présence...
Elle avait refuser de rejoindre les ancêtres quand tous l'attendaient les bras ouvert pour rester avec son ami. Il était même bien plus que cela pour elle et il le savait surement...
Elle voulait et essaya de rentré en contact avec Melroth, mais son esprit était trop embrouiller, elle ne pouvait lui parler distinctement et donc répéta sens cesse ses quelque mots, qu'elle prononça dans sa tête, ainsi cas haut voix pour espérer que le message passe ' Reste avec moi, j'ai besoin de toi...'

Je me réveillai sur un plage qui ne m'était pas inconnu. Je n'avais pas la force de voler, mais en marchant un peu, je me rendit compte que j'était de retour sur l'Île hexagonale. Ainsi par un miracle quelconque, j'avais survécu au froid, au manque d'air et les vagues, d'aussi loins que j'étais, m'avaient apporté ici. Je ne pouvais pas vraiment croire cela. J'essayai de communiquer avec Milona, mais sans succès. Elle ne répondait pas. S'il lui était arrivé quelque chose, Vinh'san regretterait que je l'ai laissé en vie.

Je marchai rapidement jusqu'à la forteresse et demandai au garde où était Vinh'san. Ils m'ignoraient.Je grognai puis redemandai plus sévèrement si je pouvais rencontrer Vinh'san. Ils m'ignoraient encore. Leur avait-on donner l'ordre de me mettre en rogne? je donnai un coup de patte pas trop puissant sur le premier garde. Il tomba par terre brusquement. Je regardai l'autre et à peine je revenais au premier, celui-ci était déjà debout et dans la même position qu'auparavant. J'hurlai quasiment, je me retournai et incendiai un arbre au complet tellement j'étais en fureur. Je retournai mon regard vers les hommes qui ne daignait pas bouger. Je décidai donc de brûlr plusieurs arbres, mais quand je me retournai pour le faire, l'arbre que je venais d'incendier était intact. C'était vraiment étrange. Comme si tout ce que je faisait avait de l,influence que sur une minime période de temps, ou que lorsque je tournai mon regard, tout rentrais dans l'ordre instantanément. Je carbonisai les deux gardes jusqu'à l'os puis je tournai mon regard vers la lune. Quand je revint vers les gardes, il étaient toujours debout et pas même un peu brûlé. Cela voulait dire que... Que j'étais mort?

Le cœur de la Félionne se sentait meurtrie pare cette nouvelle qui se confirmé pare le temps passé sens aucune réponse du Dragon. Elle le savait, elle le sentait... Il est partie.. Partie au loin dans le pays céleste ou les ancêtres attende les âmes honorable...

Les esprits avaient beau parler sens cesse, elle ne les écoutait plus, elle ne réagissait plus, elle se foutait de se qui peut arriver a présent que Melroth n'est plus... C'est machinalement qu'elle se laissa trainer au sommet d'une montage.
L'escalade fut mouvementé ? Ou tranquille ? Elle ne le savait pas et elle n'en avait que faire...
Arrivé au sommet elle se mis a genou regardent l'océan au loin, laisse le vent caresser son visage. Elle sortie son épée, mais les esprits lui firent lâcher son arme... Le visage en pleure, elle ne pouvait que chantonner son désespoir...


[hrp] J'aime beaucoup cette chanson et je suis vraiment très content d'avoir put la placer dans un de mes rp * ' De l'adieu ' Archael... [/hrp]

Je ne pouvais pas croire que j'étais mort. Comment cela était-il possible? Pourquoi? J'avais abandonné Milona et j'en avais payé les conséquences... Et je trouvais cela bien injuste. Je venais de faire la paix avec Vinh'san. Je venais de pardonner à son peuple ; le premier pardon de toute ma vie! Pourquoi avais-je mérité un tel châtiment?

Je partis dans le chemin à la recherche de Milona et j'entendis une conversation qui m'indiquai exactement ce que je voulais savoir :
-...vers les montagnes?
-Je les ai vu partir vers la montagne des nains...

Je n'entendis pas le reste. J'étais déjà partis sans savoir si c'étais vraiment d'eux que les elfes parlaient. Il me fallait communiquer avec Milona... Lui dire que j'étais mort... Mais que je veillais sur elle.

Soudain une flêche me passa au travers et vint transpercer. Un instant je crus qu'on me voyait, mais je compris mon erreur en voyant un oiseau transpercés de part en part. Je voyais sa respiration faiblir et... Son esprit quitta son corps et l'oiseau vint se poser sur ma tête. Pourtant il respirait encore. Lorsque l'elfe qui l'avait attrapé arriva, l'oiseau cessa de respirer et son esprit qui était sur ma tête, disparu...

Je n'étais pas mort... JE NE SUIS PAS MORT... J'étais donc entre la vie et le mort et mon corps étais quelque part, je ne savais pas où. Ce qu'il fallait c'était me soigner au plus vite et pour cela, trouver mon corps.

*MILONA...MILONA JE NE SUIS PAS MORT... OÙ ES-TU??*

Milona n'avait que faire de se qui se passé, se laissant ballotée d'un coté a un autre, les laissant la tiraient et l'amenait ou ils voulaient.
Cela avait assez duré, elle ne voulait plus suivre ses deux elfes vers un lieu qu'elle connait pas. Tout se qu'elle voulait en se moment de grande peine est de rester seule et tranquille...
Elle retira son bras que tenais cette elfe brutalement la regardant avec un aire agressive et se tourna pour faire quelque mettre vers une souche d'arbre qui se tenais non loin. Épuiser mentalement, ainsi que physiquement supportent mal le manque de repos. Elle s'assit s'adossent a cette souche espérant un peut de tranquillité...
Mais hélas dans ses terre nul endroit sera assez bien pour elle... Les esprits ne se tairaient jamais et cela elle ne pouvait plus le supporté...
Telle l'organe auditif bourdonnerai et lancerai des signales de douleur face a une trop forte pression sonore, l'esprit de Milona criait son désarroi face a tout se monde parlant dans sa tête. Même si elle le voudrait elle ne pourrais reconnaître des paroles concrète dans tout se bruit. Car chaque mots, chaque phrases ne prenait plus de sens et n'était qu'un écho sonore dans sa tête. Grimaçant sous les lancement de douleur du a un trop plein de paroles, recroqueviller, elle ne voulait plus bouger, ou que les autres elfes iraient, elle s'en fiche... Elle ne les suivraient plus...

Après trop de temps à chercher, je trouvai Milona qui s'effondrait plus que s'adossait à un arbre. Elle avait l'air complètement perdue et à bout de nerf. Elle me sentait sûrement mort et avec toutes ces voix qui chantaient dans sa tête, la mienne devait être bien lointaine. Soudain un homme aux cheveux blond parut de la forêt. Il était athlétique et... et il ressemblait en tout point à Ikar. En fait c'était Ikar. En m'approchant un peu je compris que personne ne le voyait pas plus que moi.

-Ikar, est-ce bien vous?
-Maître Dragon, qu'il est bon de vous revoir!
-Ikar, le temps est grave, il faut retrouver mon corps et le soigner sinon je vais mourir.
-Je sais Melroth, je sais... Je suis ici pour cela, autrement, je ne me serais jamais montré. Je m'y vois contraint car je vous ai quitté en pleine guerre et je trouve que cela a été comme déserter.
-Ne vous en voulez pas Ikar, vous n'y pouviez rien!
-Au contraire, j'ai choisi de mourir car Zertyline ne POUVAIT plus m'aimer et moi, je l'aimais encore de toutes mes forces, de tout mon âme... Mais nous ne sommes pas ici pour parler de moi, mais plutôt de vous. Les ''voix'' se taisent quand je passe. Milona vous entendra et n'entendra aucune autre voix tant que je serai là. J'apprécierais que vous ne parliez pas de moi. et au fait, je sais où est votre corps... Mais il sera difficile à récupérer. Vous allez guider Milona jusqu'à lui.

*Milona, je suis juste à côté de toi...*

La félionne se mit à chercher du regard où j'étais, mais sans succès.

*Je suis en bien mauvais état. Mon corps est quelque part sur cet île, gravement blessé. Si on ne me soigne pas, je vais réelement mourir. Je peux t'entendre si tu parles à voix haute, mais pas par la pensé. Je suis sûr que tu m'entends, je t'ai vu me chercher du regard. Dis à Vinh'san ce qu'il en est et s'il ne veut pas venir avec toi, partons si tu tiens à moi. Le temps presse.*

Le retour fut vraiment rapide. Le vent était fort et derrière nous. Plus qu'au milieu de la nuit, nous étions au port. Je dis au frère Longsanglot de me suivre et à Xaniaphor de se rendre au château en lui indiquant la direction. Moi, j'avais à faire avec mes ''recrues''. Il était presque temps de les consacrer frère, mais je voulais leur faire passer un dernier test. Je rejoignis Lionel qui entraînaient d'autres prétendants. Quand j'arrivai à sa hauteur, Lionel s'inclina respectueusement et les autres le firent comme pour un roi. Je dis à Cecil et à son frère de m'attendre ici. Je devais parler à Lionel.

Un peu à l'écart des oreilles :
-Ceux que j'ammène sont près à devenir nos frères.
-Que dois-je faire Maître?
-Bande leur les yeux, nous les apporterons à la fontaine. Pas que l'endroit soit réelement secret, mais leur dernière épreuve se fera les yeux bandés.

Lionel s'éxécuta et lui et moi ainsi que les frères de la confrérie présents sur l'île, 8 en tout, ammenèrent les frères Longsanglot à la Fontaine dont je parlais. Là une épée avec une protection magique pour ne pas couper était dispos pour Illera, et beaucoup de mana dans l'air pour Cecil. Je leur expliquai qu'ils allaient devoir affronter chacun leur tour, un maitre dans l'art qu'ils allaient utiliser. Ce qu'ils ne savaient pas, c'était qu'ils allaient tous les deux s'affronter.

Je donnai le signal de départ du combat. Ne voyant rien, le combat serait amusant!

Les Longsanglots allaient passer leur dernière épreuve. Ils étaient silencieux.
Cecil se demandait comment il allait combattre. Il pouvait brûler toute l'énergie magique en une attaque afin d'éviter les ripostes, mais il ne pourrait plus attaquer.
Illera, de son côté, se demandait s'il ne faudrait pas mieux tenter de donner un coup en jetant l'arme puis en esquivant les attaques.

Toujours est-il que Maître Renard donna le signal. Aucun des deux frères ne fit comme ils l'avaient prévus. Cecil se prépara à lancer un sortilège de protection, tandis qu'Illera se préparait à esquiver.
Un court instant s'écoula avant qu'Illera se jette au contact. Cecil entendit quelqu'un s'approcher vivement de lui. Par pur réflexe, il fit un pas de côté. Il entendit le bruit du métal sur le sol. Ainsi son adversaire entamait par du corps à corps. Aucune intervention de la part de Maître Renard. Cecil pourrait probablement se défendre au corps à corps, quoique sans arme. La logique lui disait de récupérer l'arme de son ennemi et de la jeter au loin. Il devrait triompher par une attaque magique. Mais avant tout, il était sans arme ni armure, aussi lança-t-il son sortilège protecteur. Il brûla moins de mana qu'il ne l'aurait fait autrefois, quoiqu'il y avait toujours un important gaspillage.

Illera lui sentait qu'une magie venait d'être utilisée. Son adversaire entamait les hostilités par la magie. Aucune protestation. Bien, il faudrait amener son ennemi à gaspiller toute l'énergie magique inutilement.

Ainsi se déroulé le combat. Chacun tentait de mettre en pratique son idée jusqu'à une certaine attaque. Cecil avait esquivé un coup d'Illera. Après cela, ils s'étaient figés. Les deux portèrent leur main à leur bandeau et le retirèrent, se regardant avant même de l'avoir retiré, sachant parfaitement ce qu'ils allaient voir.

*Quel esprit tordu que ce futur maître...*
*Avec un intellect pareil, ça promet d'être drôle.*

Les deux frères eurent à peine le temps de penser ça qu'un habitant de l'île était arrivé en courant, annonçant en criant la venue de cadavres de drakes.

-Lionel, emmenez nos frères les ralentir et renvoyez moi les autres prétendants. Je dois terminer la cérémonie avant qu'ils ne nous atteignent.

C'était vrai. Je ne pouvais faire combattre personne qui n'était pas frère à mon compte. C'était une des règles que je m'étais imposé pour ne pas faire peur aux recrues. Je voulais qu'on sache que cette règle existe, ainsi certainement plus de monde voudrait se joindre à nous.

Lionel partit et les prétendants arrivés, je commençai une sorte de discours aillant pour thème le courage, la détermination, l'obéissance et le respect. Un peu comme ce qu'inculquait Melroth à son armée, mais en beaucoup moin extrémiste.

-... Vous devez répétez après moi et mettre votre nom au lieu du mien pour la fin de la liaison à la confrérie. Cela agira comme une incantation que vous ne pourrez violer à moins que je vous démettre de vos fonction moi-même par une cérémonie de rupture semblable à celle-ci :
Moi, Déors Elrys, fils de la confrérie et du maître renard, entrevois désormais mon futur dans le seul but d'aider à la prospérité de la confrérie ainsi qu'à sa sécurité. Je porterai l'honneur lorsque la confrérie le portera et le déshonneur en même temps qu'elle.

À la fin j'ajoutai : Vous êtes désormais consacrés frères et vous me devez obéissance.

J'ordonnai à chacun d'eux de prendre leurs armes et, voyant que Cecil et Illera agissaient avec incertitude, j'hochai la tête pour leur faire comprendre qu'il était temps de reprendre leur rôles respectifs.

Vinh'san et Llorna discutaient depuis un moment avec cette étrange personne et ne soucier pas trop de la Félionne pendant se temps. De tout façon elle n'avait pas envie de bouger et rester assise adossé a une souche d'arbre non loin des elfes. Les voix des esprits continuer a résonner dans sa tête, mais elle ne comprenait plus un seul mots de se qu'ils disaient, son esprit était trop meurtrie et fatiguer pour cela...

Soudain une chose éveilla l'attention de Milona... Les voix se turent... Elle ne les entendaient plus. Mais tout de même une d'entre elle lui parla, une seule...
Ne comprennent pas pourquoi, elle releva la tête cherchent du regard si une personne proche lui parler. Peut être que c'est le druide dont Vinh'san lui avait parlé qui arriver a faire taire ses voix et qui essayer de lui dire quelque chose, mais rien... Les Trois elfes étaient un peut plus loin et Milona n'arrivaient pas a entendre quoi que se soit provenant d'eux...
Son ouïe en temps normale est plus sensible que la moyenne, se qui lui permet d'entendre se que la majorité des personnes n'entendent pas, mais cela apporte aussi son lot de désavantage étant beaucoup plus vulnérable au effet néfaste des sons...

La même voix s'adressa de nouveau a elle ou peut être pas... Elle n'arrivait pas a comprendre se que cette voix disait, son esprit étant trop embrouiller. Une personne pourrais lui crier quelque chose a coté d'elle qu'elle ne le comprendrait pas...
La Félionne se recroquevilla toujours adossé a la souche et versa quelque larme en pensant a son ami qui l'avait abandonner...
Elle avait besoin de temps et de repos sens entendre ces voix pour retrouver la maitrise de son esprit...