Rencontre avec Metalio

Sa fesait des heures que j'étais dans des petits sentiers étroits et qu'on dirait que tu repasse toujours aux mêmes endroits mais en fait se n'est qu'une tactique de défence contre ceux qui ne connaissent pas la ville mais je savais que je suivais toujours le bon chemin je pouvais sentir la présence de mes semblables se raprocher de moi plus que je m'enfonçais dans les bois qui devenait de plus en plus dense et j'avais raison puisque devant moi se dressais une grande porte gardé par deux elfes. Enfin arrivé à la cité, j'ai demandé aux gardes à l'entrer de la ville s'ils pourraient me mener à un certains Metalio. Silencieusement, ils se firent un signe de tête et l'un d'eux me fit signe de le suivre.

Metalio n'était pas vraiment occupé lorsqu'on annonça la venue d'un certain Xaniaphor. La raison de son inaction résidait dans le fait que Melroth ne donnait pas signe de vie depuis déjà quelques temps et qu'il attendait pour envoyer son armée conquérir l'Île hexagonale. Les elfes eux, avaient envoyé quelques bateaux pour reconnaître le terrain.

-Je suis désolé de ne pas pouvoir vous offrir du vin messire Xaniaphor, mais je n'en ai pas les moyens. Peut-être la guerre nous rendra-t-elle riche? Je n'en sais rien. Qu voulez-vous?

-J'vois pas pourquoi je vous aiderais. voous me semblez honnête par contre. Je vais vous dire, il y a une sorcière dans la vallée des elfes. Elle est mal vue par ses compatriotes, mais elle pourrais peut-être vous aider. Moi avoir un trèfle noir je le garderais, mais peut-être serit-ce différent pour les autres. Ravis de vous avoir été utile, maintenant déguerpissez.

La brusquerie de Metalio n'était pas destiné à l'individu en question, mais était dûe au stress accumulé par le guerre ainsi que le fait que Melroth ne donne aucun signe de vie. Il était inquiet. Il avait déjà envoyé une trentaine d'homme vers les pics tordus, là où il semblait s'être dirigé, mais aller là-bas à cheval prenait beaucoup plus de temps qu'en vol. Sans l'ordre de Melroth il pouvait envoyer ses hommes, mais pas ceux du dragon. Il devait donc attendre pour une attaque massive.

En me parlant de cette vieille sorcière, je me rappela de elle, elle avait toujours été craint de tous à cause de ses talents en magie et aussi parce qu'on la disait folle.

Mais je n'avais plus vraiment le choix car si je voulais être utile encore à cette guerre, il fallait à tout prix que ma jambe soit guérit. Alors je partis vers la maison de celle que j'avais craint toute mon enfance. Elle habitait vers l'arrière de la ville et retirer des autres maison du quartier pauvre.

Quand j'arriva sur les lieux, j'eu un grand frisson comme la première fois que j'avais vu cette endroit. La place était en ruine mais elle était exactement comme avant. Je cogna à la porte jusqu'à se qu'une personne très agé qui avait quelques millénaires . À première vu c'est vrai qu'elle avait l'air un peu cinglé et on aurait dis qu'après des année de solitude l'ai fait vieillir comme un homme, mais elle m'invita à rentrer gentiment et m'expliqua que sa fesait des siècles que personne n'était venu la voir. Une fois confortablement assis, elle me demanda se qui vallait m'a visite. Je lui expliqua ma blessure infecté par le poison et se que je savais à propos du poison quand elle m'interrompis. Elle me regarda dans les yeux et me dis:
- Je peux te guérir sans le trèfle et de toute façon ce trèfle n'a toujours été qu'une légende car personne n'en a jamais trouvé.
- Mais cette technique n'est pas fatale 9 fois sur 10?
Elle me regarda dans les yeux je voyais sont sourire s'agrandir et elle se mit à rire.
- Cela est vrai seulement quand quelqu'un essaye de faire cela pour la première fois, ne t'inquiète pas j'ai pratiqué à plusieurs reprises sans jamais la raté et cela est je m'en rapelle comme si s'était hier. Étant toi sur cette paillasse et je t'avertie tu risque d'être assomer.

Nerveux, j'exécuta ce qu'elle me dit de faire. Pouvais-je vraiment lui faire confiance? Je n'avais pas le choix. Je l'entendis murmurer quelque chose au dessus de m'a jambe et soudain le noir totale...

Quand je me réveilla, dehors, il fesait noir. Je regardais ma blessure et il n'y avait qu'une cicatrice, j'étais stupéfait de voir que seulement en enlevant le poison ma blessure est cicatrisé aussi vite. La vieille dame se retourna vers moi et m'offrit à souper, que je ne pu refuser avec l'aide qu'elle m'avait apporter.

Quand je vins pour sortir en la remercia, elle me retenu et me dit :
- Tu crois que mes services sont gratuits. N'essaye pas de te sauver ainsi.
- Je suis désolé madame mais je n'ai pas une seule pièce.

Voyant que j'étais sincère elle me pointa le cheval.

- Et bien je vais prendre votre cheval en retour.

Je n'eu pas le choix d'acepter cette offre plus que généreuse pour ces soins.

Je retourna ensuite vers où j'avais rencontré Metalio

À l'arrivé de l'elfe, Metalio fut plus accueillant. Il avait pu se reposer un peu durant son absence et cela lui avait fait du bien. Certes ses soucis restaient, mais il était plus lucide.

-Eh bien Xaniaphor, vous venez pour être recruté?

Ce n'était jamais la personne qui entrait dans une armée, mais l'armée qui décidait du recrutement. Certes peu de gens étaient refusés, surtout en cas de guerre, mais il arrivait parfois que le général ait un différent avec la recrue.

-Et bien à vrai dire, je venais pour pouvoir parler à Melroth.

Metalio me regardant d'un air soucieux, et me répondit d'un ton accusateur :
-Qu'est-ce qu'il vaut cet honneur de parler à sir Melroth? Je n'ai jamais entendu parler de vous auprès de lui et vous m'aviez dit que vous étiez un espion alors qui me dit que vous ne venez pas nous volez des informations...

Avant même que je puisse répondre, il reprit son air sérieux et me dit:
-De toute façon sir Melroth est partit pour quelques temps et nous n'attendons que lui donc aller à l'auberge et ne vous inquiété pas des qu'il sera arrivé toute la ville le saura. Vous reviendrez le voir à cet instant pour le voir et il décidera de votre sort. Alors pour le moment partez et je ne veux plus vous voir.

Il fit signe au garde et ceux-ci me reconduisient à la sortie. Je n'avais autre choix que d'attendre son retour donc je partit en direction de l'auberge.