Préparation d'une embuscade

-Je ne passerai pas comme un fardeau Maître Vinh'san... (D'autant plus que j'étais déjà recherché par la moitié de Ramandrek.) Pour ce qui est de votre question très chère dame zertyline, je crains que vous fassiez fausse route. Ikar ÉTAIT maître Renard avant moi. Cela dit, après avoir fait un geste grandiose pour la confrérie et avoir trouvé un remplaçant nous reprenons un corps humain pour finir nos jours. Je ne crois pas qu'Ikar se rappelait qui il était, mais son nom était autrefois Varsen et il était un meurtrier. Ce n,est pas par les bonnes actions que nous devenons Maître Renard, mais par les mauvaises.

Désolé, je ne puis vous en dire plus pour le moment, surtout que vous, dame Zertyline, étiez la seule en droit de savoir et maintenant mes hommes et les vôtre savent la vérité.

Je me tournai lentement vers ce que je jugeais l'endroit où était posté Vinh'san : '' La confrérie agit en tant que juge de la paix. Nous oeuvrons dans une certaine neutralité, mais nous chérissons le bien. C'est la seule chose que je peux vous dire pour que vous m'accordiez votre confiance Maître Vinh'san.''

Milona perdu dans ses pensé n'avait pas réagi depuis la fin du combat. Elle entendait tout de même les dire de Vinh'san et les dernier parole de cette étranger.

Voilà le secret que cacher Ikar... Mais Melroth m'en a déjà parler. La confrérie du renard prône l'équilibre, la neutralité... Des notions qui on fait tomber dans le déclin tant de civilisation. On ne peut jamais faire confiance à des personnes agissent dans la neutralité. Pour refaire basculer la balance ils seraient prêt à tout.
Bon je sens que je Vinh'san est épuisé. Le combat est terminer. Il faut rejoindre le bateau au plus vite. Je dois récupérer son sac, il est importent pour lui et Cristo s'occupera de Jin.

Milona rangea enfin son arme. Fit un salut respectueux a Maître renard et dit :

-Je suis Boréa Milona du peuple Félion. Je déclin également votre offre de rejoindre vos rangs. La neutralité ne siée pas a mes convictions. Mais je vous remercie tout de même de votre aide lors de se combat.

Elle se tourna en suite vers Cristo.

-Pourrais tu t'occuper de Jin.

Puis vers Zertyline

-Vous pourriez marcher ? Il faudrait pas trop traîner ici. Un bateau nous attend.

Elle regarda ou se trouver le sac et le vit cher le barbare, ainsi que Sparda a terre non loin d'elle. Elle avança vers lui tout en récupérant quelque flèche au passage.

[ Vais pas faire trop d'action maître renard a peut être quelque chose a ajouté, mais je voudrais recupérer le sac de vinh'san avant de me mettre en route :p ]

Zertyline lacha la blessure qu'elle portait à la hanche pour laisser l'ancien paladin la soigner à sa guise.

Elle choisit de répondre d'abord à Milona, marquant ainsi un certain dédain à l'égard du Maitre Renard.

Je pourrai marcher oui, mais pas trés loin et à une allure réduite.

Puis elle releva les yeux vers le Maitre Renard.

Si Ikar était vraiment un Maitre Renard alors il est possible qu'un jour je rejoigne la confrérie.
Mais l'homme que j'ai connu faisait passer ma vie et celle de mon enfant avant un tel destin et ainsi je refuse pour le moment cette offre et ceci tant que mon bébé aura besoin de moi.

Elle vint se pencher près de Sparda.

Nous allons y aller. Tu peux te relever?

Sparda tourna lentement la tete vers Zertyline, les yeux vides. Il mit un temps avant de repondre ces quelques mots :

"Je.....vais..essayer , Dame... Zertyline."

Puis il essaya une premiere tentative pour se relever. Il commencea un mouvement lent et lourds, en roulant sur le coté. Il tourna legerement, et toussa un coup, ou la bave se mela au sang. Il retomba ensuite dans sa position initiale. Il tenta une seconde fois de se lever, et, avant d'atteindre le piouint sensible, s'appuya sur les epaules de Zertyline, dont les jambe tremblerent sur le coup. Il pouvait marcher, mais boitait fortement et avait du mal a tenir son poids. Il marcherent lentement, et, ne sachant pourquoi, Sparda laissa tomber son regard vers....le posterieur de la dame qui lui portait secours. Il resta un moment le regard là, puis releva la tête et ragrda le groupe, comme si c'était la derniere fois qu'il allait les voirs. Tous fesaient leurs petites affaires dans leur coin, et Sparda, pour que tous l'entende, parla d'une voix forte :

"Bon, on se rassemble et on part tous vers le port, tout de suite !!!"

Je ne répondis point à toutes ces remarques accablantes pour la confrérie. En fait avec un peu plus d'expérience en tant que maître Renard, j'aurais sans doute été plus indifférent face aux remarques et plus blessé de leur décision de ne pas avoir affaire directement avec la confrérie. Mais dans le cas présent, je ne pouvais que les comprendre et essayer de garder Zertyline en vie pour Maître Varsen, pour Ikar...

Je donnai quelques ordres discrètes à mes hommes pour qu'ils surveillent Zertyline et qu'ils la protègent en cas de besoin ainsi qu'un effort de soutien au reste du groupe en cas d'attaque.

(LOL POUR LES DÉS, et désolé Vinh'san pour le lol)

Le groupe s'en alla donc sans porter plus d'attention au Maître Renard, celui-ci pouvait les suivre s'il le souhaitait, mais personne ne serait là pour le lui rappeler.

La jeune démone n'avait pas remarquer les regards quelques peu décalés de Sparda et continuait à l'aider à marcher comme elle le pouvait.Elle espérait juste que le bateau n'était pas trop loin.

Mais on sentait l'odeur du ciel et la douceur du ciel en ce tout début de matinée.Tout le monde était exténué mais l'on dormirait sur le navire.

Milona récupéra plusieurs de ses flèches peuvent encore servir pendant que les autres commencèrent a avancer. Elle pressa un peut le pas pour marcher a coté du barbare. Arriver a sa hauteur elle jeta un oeil sur le sac qu'il portait celui de Vinh'san et tourna quelque peut son regard pour voir ou était Cristo qui porté Jin non loin de Zertyline.

-Fait attention avec se sac Vinh'san y tien. Si tu veux je peux le porté cela te laissera plus de mouvement lors des combats avenir.

J'étais quelque peu outré par le manque d'intérêt de ces êtres envers moi. Je n'étais pas qu'un simple homme, mais j'étais maître renard. Le maître Renard de toute les légendes. Pourquoi est-ce que j'avais l'impression que personne ne voulait de moi?? Pourquoi moi je devais faire mes preuves et non le contraire??

Quoiqu'il en soit le temps passait et le rivage approchait. En milieu d'après-midi nous y serions. Et moi, j'aiderais des hommes à tromper des elfes. Comme l'aurait sûrement constaté n'importe quel être qui voyait la scène de l'extérieur, c'était comme un monde à l'envers. De plus j'avais révlé un secret qui était resté secret depuis des millénaires. Quel maître Renard j'étais??

-Veuillez m'excusez si je vous déshonore de ma présence, mais je fais ce qui dois être fait et si vous ne pensez pas ainsi, il serait sage de me le faire savoir maintenant!

Sparda écouta malgré son état les paroles du pretendu Maitre renard. Il attendi quelques secondes, puis lacha l'épaule de Zertyline et boita vers cet étranger. Il se dressa de toute sa hauteurs, et l'etranger lui arivait au niveau du torse. Il le eregarda de haut et dit :

"Qu'est ce que tu veux exactement, nous avons deja une quete, pour Vinh'san. Nous allons tous y aller et soit tu nous suit et tu nous aide, soit tu degage c'est compris ?!"

Puis le démon se tourna, en lancant un dernier regard méprisant à l'homme encapuchonné. Il senti rapidement se genoux flechir, et trebucha en avant. Par reflexe, Zertyline le rattrapa et Sparda se retrouva le nez dans...la poitrine de la dame. Il sorti vite sa tête de là et se mit a rougir. Il repri un appui descent sur les epaules de la dame, et ils continuerent leur chemin.

(Sacré Sparda, toujours à jouer les ''machos''.)

-Je crois déjà avoir fait savoir mes intentions mon cher ami. Je sais qui vous êtes et qui est votre pire ennemi, je sais que vous avez oublié une dame près d'ici et qu'elle ne sera pas enchanté de vous voir rougir pour une autre. De plus si vous tenez à savoir, j'ai assez de force pour faire tomber un démon, sauf peut-être, bien sûr le fils des enfers et quelques autres. Dans votre état et dans ce corps vous ne pouvez rien contre moi. Et je ne dis pas cela pour me vanter, mais pour préserver votre vie dans le cas ou vous tenteriez de me tuer...

J'ajoutai en hâte : ''Je ne vais rien tenter contre vous ou contre qui que ce soit ici sauf s'il se révèle hostile à moi. Et la confrérie ne trahïs JAMAIS ses paroles. Je ne suis pas venu pour faire du recrutement... Ou du moins ce n'était pas ma raison première. Apprenez à connaître avant de juger messire Sparda, car la connaissance est la clé qui ouvre bien des portes. Il ne suffit pas de savoir se battre pour survivre.''

Sparda ecarquilla les yeux et se retourna brusquement vers le representant de la confrerie. Il l'attrappa par le col et le souleva assez haut dans les airs. Il se mit a lui beugler au visage.

"NE PARLE PAS D'AMERIA !!! ET NE PARLE PAS DE MON PASSE !!!! TU N'as PAS VECU MES MALHEURS ET TU NE SAIS RIEN SUR MOI !!! MAINTENANT JE TE PRIE DE ME DIRE CE QUE TU VEUX SIMPLEMENT ET CLAIREMENT. ET UNE DERNIERE CHOSE, SI TU TE RETROUVE DANS UNE ARENE, ENTOURE D'ABOMINATIONS , ET QUE TU DOIS LES TUER, COMMENT TU FAIS SI TU NE SAIT PAS TE BATTRE?!"

Puis il cligna des yeux et ils devinrent faiblement rouges brillant. Zertyline l'attrapa par le bras, lui signifiant qu'il vallait mieu se calmer.

Cesse de te chamailler comme un enfant.Tu ne le trouble même pas et de plus il semble avoir trouver ton point faible;

Elle se tut uelque seconde laissant le démon ce calmer avant d'entamer une qestion délicate.

Mais il à raison sur un points.Qu'a tu fait d'Améria?

Elle le tenait toujours par le bras en esperant qu'il ne colererait pas contre elle.

Cet homme était fou à lier. Il était fou en plus d'être un démon illégitime. Non, il fallait que je me reprenne. J'avais vu venir le coup, mais je n'avais rien fait. Peut-être pour lui prouver qu'on pouvait survivre sans se battre, ou peut-être pour lui faire croire qu'il était puissant. Ça il l'était, mais pas aussi puissant que son ennemi juré.

-Sparda Deathammer! Tu as une quête bien plus importante que celle de Vinh'san. Je ne comprends pas pourquoi tu t'obstine à rester ici alors que ton rival prends du terrain et de la puisance. Quand il aura prit possession des lymbes, il ne restera que le VRAI premier niveau des enfers et si tu n'as pas réussi à tous les détruire, je ne pourrai rien de plus qu'un enfant. Tu auras un allié. Pars tout de suite vers les pics tordus et tu trouveras un enfant du nom de Mikä. Ce sera lui qui t'aidera dans ta mission... Mais fais attention, il ne se laissera pas impressionner par ta force. Il faut quelqu'un d'intélligent pour le comprendre.

Et il y a déjà quelqu'un. Il a un mentor. Quelqu'un qui guide ses pas jusqu'à ce qu'ilarrive à choisir sa propre voix.. Fais-t-en allié et tu réussiras là ou nul n'aura réussi jusqu'à toi!


(Mikä va revenir si vous l'incluer dans l'histoire.)

Faisant partie d'un peuple ayant besoin d'un grand repos pour une fonction optimale de leur capacité. Milona s'endormait pratiquement debout en marchent tellement la fatigue se fit sentir. Essayant de se concentré sur la conversation qui se faisait entre maître renard et les deux démons pour se maintenir éveiller. Elle ne vue pas cette racine et trébucha. Puis tomba a terre. Le bon coté de la chose est que cette maladresse la réveilla et se releva avec une certaine fatigue. Elle fit signe au quelque personne qui la regarder pour leur dire que sa aller.

Pppfff... Je suis pas une démon moi ! Je suis pas tout puissant et je peux pas quitter mon corps fatiguer pour en prendre un autre comme ils le font si facilement...
J'espère que ce n'est plus trop loin...
Et se maître renard, comment il fait pour connaître autant de chose ? Il c'est bien renseigner ou c'est encore un de ces démons avec des pouvoir phénoménale ?...
Je me demande pourquoi je suis avec eux ? Pourquoi je voyage vers des terres inconnue pour et avec des êtres que je ne connaissais qu'en cauchemars, il a si peut de temps...
Je veux savoir si c'est également un démon...

Elle se rapprocha de maître renard et lui adressa la parole arriver a sa hauteur.

-Je ne voudrais pas vous dérangez dans vos prédiction maître renard. Mais une question me démange depuis que j'ai remarquer votre omniscience face aux événements qui se sont passé et qui se passera. Êtes vous également une de ces créatures maléfique ? Et que savez vous de moi chère Maître ?

-Je ne suis pas un démon mademoiselle. Je suis un des groupes d'homme-animaux dont vous faites partie... Mais en plus compliqué. Je sais que tu es une Félionne et que ton peuple habite par delà les frontière de Ramandrek plus loins que les pic Tordus... Je ne sais pas plus sur toi et j,en suis désolé. Je peux comprendre vos inquiétude mademoiselle, mais je me porte garant de votre protection si vous le désirez.

Je me tournai vers Sparda une fois de plus :
-Sparda, il serait temps de s'arrêter... Je commence à faiblir bien que vous me pensiez invincible.

Ça c'était faux. J'aurais pu continuer quelques jours sans repos, mais j'avais vu que la femme-chatte avait la respiration saccadé et les paupières lourdes. Sans arrêt maintenant, elle tomberait aussi inconsciente que Jin.

-Au fait Mademoiselle, quel est votre nom?

En disant cela à Milonaje constatai de l'effarement général. J'en savais trop sur tout le monde on dirait.

Milona mit un petit moment a répondre a Maître renard du fait de la fatigue qui assaillir la Félonne. Le temps qu'il fallut pour attendre une réponse de Sparda et le voir saluer la foule pour partir vers son destin.

Tien voilà un démon en moins dans notre voyage. Je dois avoué que cela me chagrine un peut... Ça force nous auraient été profitable. Et que veut savoir Maître renard sur moi ? Je lui ai déjà dit mon nom ou c'est la fatigue qui me joue des tours ?...

-Milona, Boréa Milona. Dit elle en trébuchant du a la fatigue du voyage, se rattrapent de justesse au bras de Maître renard l'ayant tendu pour cette effet.
-Désoler... Si j'aurais su que le voyage aurait été si long. Je me serais reposé la nuit dernière au lieu de contempler les cieux...

-Eh bien Mademoiselle Boréa, je suis ravi de vous connaître.

Le temps de repos fut bref pour moi. Je n,avais pas besoins de beaucoup de sommeil par nuit et je passai le reste de la nuit à garder le camp, écouter le silence et observer la nuit. Je me trouvais bien seul dans cet endroit... Même entouré de dormeur.

Zertyline fut la première à se réveiller.Elle s'assit sur ces couvertures toujours vétu de son kimono rouge les bras croisée autour de son ventre.

Elle avait bien froid et dormait peu, les nuits seule ne lui était que peu agréable, les femmes ne sont t'elle pas faite pour dormir avec un homme au final?

Elle le pensait mais ne pouvait se résigner à cherchr un nouvel compagnon.

Elle frissonait.

Lorsque Cecil eut finit avec la blessure de la femme, il s'était un peu éloigné et avait suivit les événements. Il en apprenait un peu sur les personnes qui l'entouraient. Plus il en savait, plus il se disait qu'il avait bien fait de les approcher. Peut-être que lorsque plus aucune raison pour qu'ils suivent la même route ne soit présente, il tenterait de les tuer. Le meilleur gagnera. S'il perd, c'est qu'il n'avait aps sa place ici. Les faibles n'ont pas de raison de vivre.

Lorsqu'un temps de pose se présenta, Cecil partit directement se coucher sans poser de question. Porter tout son attirail l'épuisait. Il décida de dormir un peu éloigné du groupe. Si quelqu'un venait les attaquer, il serait assez loin pour ne pas être capturer avec eux et leur venir en aide. si s'était lui qui était attaqué, il espérait que les autres l'aiderait.
Lorsqu'il se réveilla, il revint au campement et vit la femme qu'il avait soignée réveillée. Il s'approcha d'elle.

Madame, laissez moi voir votre blessure, je vous prie.

Avant même de connaitre la réponse de la dame, il regarda la plaie qui se portait plutôt bien en retirant son casque pour mieux voir.

Je me disais que peut-être désireriez vous savoir pourquoi je ne suis plus un paladin. Normalent, lorsqu'on désire devenir paladin, c'est pour la vie. Seulement certains sont des personnes qui ont choisis de le devenir après en avoir vu quelques-un passer dans leur village et qui ont été éblouis par leurs armure reluisante et l'affection que leur porte les gens. Seulement ceux là ne s'attendent pas à une éternelle vie de servitude envers leur dieu. Ils sortent donc du droit chemin et partent de leur temple. Ce sont des paladins déchus. Je fais parti d'eux. Comme nous avons trahis notre dieu, nous sommes pourchassés par les paladins et autre guerriers de ce dieu et quand ils nous trouvent, soit ils nous obligent à faire pénitence, soit ils nous tue. Nous allons donc généralement prendre refuge chez un dieu noir mais même là, les gens se méfient de nous.
Mais je ne vous dit cela que pour vous prouver que malgré mon passé, je reste une personne de confiance. J'ai juste été un sot qui parlait trop vite.

Cecil s'assura que la blessure ne pouvait plus s'agraver et remit son casque avant de retourner là où il avait dormit pour replier ses affaires.

Druedan accéléra l'allure bien qu'il fut déjà devant le groupe grâce à ses mouvements rapides et puissants. Il était las des confrontations entre le nouveau venu et les démons, confrontations qu'il jugeait stériles, stupides et puériles. Lorsque Milona lui avait recommandé de prendre garde au sac qu'il portait à l'épaule, il avait répondu par un léger grognement, non pas qu'il fut irrité, mais plutôt qu'il se concentrait. Il portait ses sens auditifs sur-développés à l'attention de la nature qui les entourait tous.

Ceci constituait aussi une des raisons de son irritation : les créatures telles que les démons avaient une très haute opinion d'eux-mêmes (peut-être à raison d'ailleurs), mais ils se considéraint tellement importants qu'ils ne jugeaient jamais bon d'être à l'écoute de la nature qui nous entoure, pleine de dangers, mais aussi de signes et d'espoir. La nature était persevérante, tenace, capable de se venger , puissante et destructrice à l'instar des créatures qui avaient l'habitude d'y vivre, à l'instar du barbare. Sans doute les démons avaient-ils leur lot de dangers quotidiens, mais ils vivaient totalement hors de la réalité basique, pourtant capable de les écraser...

Pourtant, Druedan ne fit aucun commentaire, après tout, si la discussion s'envenimait entre cet ordre de créatures méprisables, cela ne concernait pas le barbare, et il était de plus d'une impartialité à toute éépreuve, d'une neutralité extraordinaire ainsi que d'un effrayant je-m'en-foutisme...
Or donc, il continua d'avancer en ralentissant quelque peu en gage de bonne volonté.

Vinh'san n'avait plus besoin de dormir depuis longtemps. Il put donc profiter de la nuit pour s'ennuyer copieusement. Il en profita pour étudier le corps de Milona pour voir jusqu'ou il pouvait le pousser en combat sans grand danger pour la félionne. Finalement, le lendemain, elle se réveilla :

*Désolé dame Milona mais je vous emprunte votre corps un moment avant de vous en rendre l'usage total.*

Vinh'san fit se lever le corps de la félionne et se déplaça vers le centre du campement. Il avait besoin de réveiller les quelques perosnne qui dormait encore. Vinh'san réfléchit un moment puis se souvint du cri qu'avait poussé la seule liche qu'il avait tuée. Il fit donc le même cri. Un cri sur-aigu. Le campement avait été réveillé.

*Désolé de vous gêner si tôt mais il faut partir maintenant et arriver le plus tôt possible au port. Un bâteau de troupes au service d'Ehryna y est retenu, ça m'a été confirmé cette nuit par un ami nécromancien, et si nous arrivons à le prendre, nous devrions faire un gain de quelques mois de voyage.*

Sur ce vinh'san ramena Milona là où elle avait dormit et lui rendit le contrôle de son corps.

*Merci.*

Malgré la grande fatigue de la Félonne le sommeil fut léger et les quelques bruits des premières personnes s'étant réveiller sur le campement lui fit ouvrir les yeux. L'esprit encore brumeux dans les rêve étrange d'une bataille livré pare Melroth dans la ville ou elle l'avait quitter, une voix lui parla.

*Désolé dame Milona mais je vous emprunte votre corps un moment avant de vous en rendre l'usage total.*

Sur le coup elle ne réagissait pas, mais la surprise ramena son esprit au choix fait la veille lorsqu'elle se leva sens l'avoir voulu, marchent vers le centre du campement sens le demander a son corps et poussa un cri dont elle ne s'en savait pas capable.

C'est plutôt étrange comme sensation... Être spectateur dans son propre corps...
Et Melroth ? J'ai rêver de lui cette nuit... Il combattait les troupes Shamarienne dans cette ville possèdent cette magnifique cathédrale. J'espère que tout va bien...

*Désolé de vous gêner si tôt mais il faut partir maintenant et arriver le plus tôt possible au port. Un bâteau de troupes au service d'Ehryna y est retenu, ça m'a été confirmé cette nuit par un ami nécromancien, et si nous arrivons à le prendre, nous devrions faire un gain de quelques mois de voyage.*

Des mois ?...

Sens en faire attention perturber pare les dire de vinh'san, il ramena son corps la ou il était avant de se lever.

*Merci.*

-Des mois?... Des mois sur un bateau... Murmura t elle a elle même

Il m'avait parler de prendre le large... Mais pas aussi longtemps ! Prisonnière sur planche de bois entouré pare la mers. Me guétent, me narguent et attendent le moment ou pare une vague elle m'emportera dans les tréfonds de son être pour me faire périr dans la suffocation de la noyade...

La perspective de passé plusieurs mois dans un bateau voguent sur l'océan la paralysé de peur. Une peur qui envahit son être telle l'éclaires traversent le ciel pour s'abattre sur la terre.

Vinh'sa ressentit une grande peur en Milona. Et il l'entendit marmonner. Assurément, elle n'aimait pas les voyages maritimes. Il lui dit :

*Dame Milona, rassurez-vous. Nous ne devrions pas y passer des mois. Et pui, j'ai déja fait le voyage. Plusieurs mois en mer et je suis encore... J'allais dire vivant... Enfin, je n'ai pas perdu ma vie dans ce voyage mais en servant Ikar.*

Vinh'san ressentit une vague de tristesse en lui. Evquer le nom de son maître et ami ne l'aidait pas.

*Rassurez-vous. Sinon tentez la vie au jour le jour, ne pensez pas au lendemain. Ca vous aidera... peut-être...*

-Maître Vinh'san a raison. Ne tardons pas pendant que la route est belle.

Ne tardons pas pendant que la route est belle,
Car quand vient le néant du soir,
Il n'est plus temps de se mettre en selle,
Mais de fêter et boire.

C'était une chanson de teverne que j'avais entendu à Valérian. Mais plus j'y songeais, plus je me rendais compte qu'elle n'allais pas avec la nature austère des habitants.