Le retour de bahmérion

Les hommes se rassemblaient tranquillement autour d'un viel homme. Un homme qui avait une expérience de vie bien supérieur à tout homme présent. Il n'avait pas l'air d'un orateur expérimenté, ni d'ailleurs d'un homme influent ou d'un rassembleur d'homme, mais ce qu'il disait interressait tous et chacun. Un homme parmis eu pris la parole :

-Comment ferez-vous pour nous libérer de l'emprise qu'ont les nobles sur nous. Il ne voudront surement pas quitter la sécurité que leur offre Shamar. D'Autre part, la capitale enverra sans doute des hommes pour clamer la rébellion. Ils en ont l'habitude... Je crois.

L'homme se tut, attendant la réponse que tous attendait. Il était vrai qu'une rébellion attirerait sur eux l'oiel de Shamar, mais ce que personne ne savait, c'était que Shamar avait déjà du fil à retordre en préparant son armée pour une guerre qui aurait trois fronts. L'un dirigé par Ranec, le roi tyrannique, le deuxième par un dragon noir, réclamant des terres et le dernier, un héros accompagné de ceux qu'on appelait les seigneurs de guerre qui voulait la sécurité de ceux qui ne pouvait pas se deffendre. D'ailleur ce héros était en plein combat à quelques lieux de là...

Bahmérion toisa l'homme qui avait dit sa du regard, L'air nullement confus par ce que l'homme avait dit, Il regarda l'homme de la tête au pied et répondit:

-Vous êtes dans la vingtaine, vous avez une bonne musculature, soit, tout à fait normal pour un homme de votre âge, travaillant les métier manuel.On dit d'ailleurs qu'às l'intérieur de chaque être réside un courage innée et une force de caractère hors norme lorsque le mal atteint son apogée.Peuple d'Amrill, il est temp de terminé la tyrannie qui acable votre peuple depuis trop longtemp!Regardez-vous!Vous êtes fort, vous avez la force a vous seul de vaincre une telle armée, pas besoin de l'autorisation d'un quelconque noble qui ma foi, n'as absolument rien à faire dans cet histoire!

Écouter la voix de Dyr!!!Le dieux Dyr vous sauvera lui!Il est beaucoup plus puissant que vos petits noble de pacotille, qui serait sans doute écrasé par la foie inébranlable que j'ai en Dyr.Oui...le plus grand des nobles ne pourrait rien contre les dieux ou leur plus grand prêtre!

Moi, Bahmérion Langeloys, vous propose aujourd'hui de devenir un peuple libre, d'être béni par le dieux Dyr et de revendiquer vos droits.

Vous avez vos choix a faire peuple d'Amrill, voulez vous être libéré en vous battant ou mourir de vieillesse toujours sous ces noble qui vous empêchent dagir comme bon vous semble?

Ses paroles avait résonné d'ampleurs, et il ne serait pas étonnant qu'elle aillent au oreille des nobles mis ici en question même s'il se trouvait à des lieux de là.Dans la patience infinie d'un homme aux périple de sa vie qui achevait une oeuvre qu'il commençait à peine à réussir, le vieil homem attendait la réponse de la ville d'Amrill.

Plusieurs des paysans s'en allèrent en attendant prononcer le nom d'un dieu. Ils pensaient probablement que ce vieil homme était un prophète venu pour convertir les gens. Une dizaine seulement restèrent en comptant l'homme qui avait posé la question. Il était motivé à combattre pour sa liberté. Il se convertirais s'il le fallais, mais il allait rester avec ce prètre de Dyr.

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Il fallait que Bamhérion s'y prenne autrement avec ce peuple si peu encouragé à entrer dans une lutte qu'il pensait perdre. Ce n'était pas un peuple de combattant, même si la plupart aurais été bien bon comme soldat. Peut-être une forte source de motivation allait-elle convaincre le peuple d'Amrill... Mais cette ''réunion'' avait ameuté la milice. 15 gardes se postèrent devant Bahmérion et l'un d'eux proclama : ''Bahmérion, prètre, prophète ou quoi que vous soyez, vous êtes convoqué devant un tribunal pour haute trahison aux dirigeant de la ville. Veuillez s'il vous plait nous accompagner.'' Tout s'était passé tellement vite. La rumeur avait déjà probablement fait le tour d'Amrill et les environ à l'heure qu'il était.

Quoi qu'il en soit l'arrivé des gardes démotiva 9 des 10 hommes restant et le seul qui restait était le poseur de question qui se posta entre le vieil homme et la milice et dit : '' Si vous devez l'ammener, ammener moi aussi...'' et ce fut tout. On s'empara de l'homme et on attendit la réponse du prètre.

Nous avions trouvé trois berger en chemin qui s'étaient joins à nous. Il ne remplaceraient jamais les autre, mais pourraient peut-être les équivaloir. La motivation était là. Daryn avait bien fait son travail. Je l'en féliciterais plus tard. Nous étions 15, mais cela était loins d'être assez. Il fallait que je me rappelle de demander à Vinh'san quelques tactiques sur la guerre avant qu'on soient embarqué dans une.

Amrill était silencieuse pour cette heure avancée. À peine, y avait-il des hommes qui travaillaient et encore, il y en avait très peu. Une impression étrange m'étreignit. Quelqu'un était passé avant nous dans le même but, mais avait échoué. Je tentai de me renseigner, mais les hommes fuyaient lorsque je les approchait. Peut-être pensaient-ils que j'était dépéché d'une autre ville pour aider à faire régner l'ordre. C'était bien possible, car une troupe de 15 guerriers ne débarquaient pas comme ça, sans raison.

Je réussis finalement à trouver un gaillard qui avait l'air au courant et qui ne fuyait pas.
-Que s'est-il passé ici?? demandais-je calmement pour ne pas effrayer l'homme...


(À toi de jouer Bamhérion!!)

C'était la deuxième fois que Bahmérion rencontrait Ikar mais celui-ci ne semblait pas le reconnaitre.IL le dévisagea quelques peu, puis finalement, décida de parler:

-Ikar...Réunissez-moi ces poltrons et partez vite vers shamar, moi j'ai d'autre chose à faire!Et vous les miliciens, cesser de me regarder comme ça en disant que vous allez m'arrêter!!!!Moi je défend l'équilibre, et cette contré est déséquilibré par le mal, il est temp que la lumière vienne!!!!!

Passez-moi les menotes, torturez moi, tuez-moi, mais rien ne m'arrêtera, j'aimes mieux mourir plutot que de magenouiller devant shamar!!!

Il regarda Ikar:

-...Vous arrivez trop tard pour moi, mon temp est venu, dit-il à Ikar

-Désolé viellard, mais je ne vais surement pas vous laisser enfermer ou encore mourir. Miliciens, si vous tenez à la vie, partez immédiatement, vos vies dépendent de votre choix.

Les miliciens partis, probablement étant partit chercher de l'aide. C'était maintenant le temps d'user de diplomatie. J'avait toujours été diplomate, mais comme Bahmérion m'avait demandé de réunir ces paysans, c'est probablement parcequ'il avait échoué. Et j'ignorais bien si je pouvais être plus diplomate que ce sage...

-En avez vous assez de ces gens qui vous pointent du doigt sans raison et qui vous méprise autant les uns que les autres?? Jetons ces mécréants dehors et prenons le contrôle de la ville qui vous appartient à tous.

Plus je parlais, plus les gens m'entourais. Et quand la milice revint en renfort, ils abandonnèrent l'idée de nous arrêter et écoutèrent mon discours avec intérêt. Plus je parlais, plus le foule grandissais. Et quand je parlai d'honneur tout le monde acclama en une grande ovation.

-...Faisons la rébellion, maintenant. Aller dans vos maison, prenez les armes et prenons le contrôle de la ville. Nous n'aurons probablement pas à nous battre...

Le prêtre de Dyr ria aux éclat.Ikar était très charismatique pour réussir aussi rapidement à convaincre le peuple.I fit un salut discret à celui-ci avant de partir:

-Nous nous reverrons mon cher, je vous rejoindre à Shamar, j'ai fort à faire là-bas!!!

À la surprise générale, il dit une formule magique et une cheval trasnlucide apparut, prenant tranquillement une couleur blanche.

-Droit vers Shamar Sieur destrier opaque!!!

Je regardai partir le prètre avec respect et admiration. Certe, je ne croyais pas en son dieu, mais sa foi inébranlable lui faisait paraître tout aussi inébranlable. Le prètre partit, il me fallait m'organiser avec Daryn et Vinh'san. Faire une rébellion n'était certainement pas comme faire une guerre ou un simple combat.

-Alors Vinh'san, que fait-on?? dis-je en me tournant vers lui.

Les gens revenaient peu à peu, armée de hache, de fourche et parfois d'épée et d'arc et il fallait faire vite avant que les soldat arrive. J'avais eu l'intention de barrer la route avec des chariot renversés et de placer des archer derrière, puis quand les soldats seraient presque sur eux, les attaquer par derrière avec NOTRE armée. Je dit tout cela à Vinh'san, lui demandant si c'était un bon plan et comment on pouvait l'améliorer. Je ne voulais pas échouer... Et j'ignorais combien d'individus allaient venir nous contrer.

Vinh'san réfléchit rapidement sur la question se souvenant de quelques tactiques qui avaient été utilisées lors de la rébellion de son île.

C'est faisable. Mais le principal défaut d'une barricade est qu'elle ne protège qu'un côté. Les archers pourraient être prit en crabe et là...
Sinon on fuit en lanssant en plein milieu de la foule de l'or. J'ai entendu dire que les humains sont très avares parfoit. Ou alors on fuit et on profite de la vitesse des chevaux, si on en manque on en emprunte en route, pour distancer les ennemis sans qu'ils ne nous perdent de vu et quand ils sont fatiguer on vient les cueillir.
Si rien ne te convient dans ces méthodes, on fait un baricade et on l'enflamme. Mai c'est encore une fois dangeraux car là on sera surement pris en crabe.
Dernière solution que je vois c'est de tenter une percée dans laquelle mourriraient des gens, chose qui me répugne, et on massacre leur chef, si toutes fois ils en ont un.
Je peux aussi tenter, je dis bien tenter, d'invoquer une succube. Elles charment aisément et quand elles embrassent, elles volent l'âme de leur victime.
Une chose est sûr, choisit vite. Moi je vais tenter de les refroidir.

Vinh'san approcha de la milice. Il sortit un couteau, dégagea bien son visage tous ces cheveux, tandit sa main libre en avant, leva l'autre et abattit son couteau sur sa main. Son visage ne bronchat pas. En vérité, il souffrait, mais il se devait d'inquiéter l'ennemi.

Notre troupe, bien que petite, est tout aussi déterminée que moi. Nous somme prêt à tout, nous avons perdu ce qui nous était cher. Nous n'avons plus rien a craindre. Nous somme tous prêt à faire ce sacrifice encore une fois. Rien n'est plus dangereux qu'un ennemi qui n'a plus rien à perdre et qui est déterminé. Je suis un maréchal elfe, entrainer à commander d'importantes troupes pour instorer MA loie. Osez nous attaquez, vous, obligés de vous regrouper à quinze pour abbatre un elfe encore nourisson.
Messieurs, même si je doute que vous soyez à la hauteur de cette appellation, je vous souhaite la bienvenue dans MON monde, où les choses se passent comme JE le veux.

Vinh'san partit un peu plus loins je donnai des ordre à Daryn. Ça m'étonnait que les gardes ne soient pas encore arrivés. Cela pouvait soit signifier qu'ils n'étaient pas au courant, j'en doutais fort, soit ils étaient partit au galop pour fuir ou soit qu'ils préparaient quelque chose que ne nous enchanterait pas. J'optai pour la dernière tactique. Je vit un bâtiment de pierre et eu une idée. Le pierre ne brulait pas...

J'envoyai quelques archers qui m'avait l'air bon au deuxième étage de la maison, puis je fit préparer une barricade près de la maison et je demandai à ce qu'on entoure le tout d'huile à lampe. Comme la barricade était faite pour contrer les attaques provenant de tout côtés, les ennemis ne verraient que trop tard qu'il n'y avait personne posté dans la barricade. J'aurais mit quelques personnes dedans, mais l'idée de faire périr quelque'un inutilement ne m'enchantait pas.

Quand les gardes arriverait les archers enflameraient l'huile et les soldat seraient pris pendant un petit bout de temps au milieu des flammes. De quoi faire paniquer les chevaux, mais pas assez d'huile pour les faire cuire. Ils seraient ensuite criblés de flêches. Lorsqu'ils sortiraient des flammes, des hommes armés les attenderaient.

Tous avaient prient leur positions. Vinh'san lui, s'était absenter un moment. Il avait essayer d'invoquer une succube. Seulement il ne s'apperçut que plus tard qu'il s'était trompé de formule. Pour être plus exact, il s'en apperçut lorsquil vit une chose qui ressemblait à un tas de viande broyée avec des tomates.

Oh non... Un lémure...

*Entracte instructive : Le lémure n'a rien avoir avec le mammifère dont je sait rien. Le lémure est un monstre de la famille des diables et ne sait pas prendre d'initiative. Il reçoit des ordres pas moyen psychique de ses supérieurs auxquels il obéit aveuglément. Son "visage" prend toujours un air implorant.*

Vinh'san sortit de ses pensés.

Petit, à l'attaque!

Le lémure ne bougeat pas.
Vinh'san se concentrat et tentat de le contacter mentalement.
Le lémure ne bougea pas.
Vinh'san commençat à perdre patience. Il empoigna le lémure, si toutes fois on peut vraiment l'empoigner, et le jeta dans la mélée.

AU BOULOT!

L'elfe sortit de la maison d'où il avait fait l'invocation(soit dit en passant, mais cela n'aura pas de grandes répercussions, le couple de vieillards qui y habitait eurent pendant longtemps une mauvaise odeur dans leur maison). Seulement il avait choisit le moment où une flèche perdues volait dans les airs. Il l'esquiva avant de comprendre grâce à quelques autres flèches qu'il avait été repéré. Puis trois guerriers arrivèrent. Vinh'san se jeta sur eux et les massacra sans trop de problème lorsqu'il s'aperçut que décidemment, les archers avaient un bon nombre de flèches.
Quelques une tombèrent sur son plastron, mais d'autres le touchèrent. Peut profondément, mais il souffrait. Et il ne pouvvait pas les atteindre, aussi décidat-il de retourner au combat. La mélée se terminait presque.
Ils avaient subient peu de eprtes, mais des ennemis restaient debout.
Vinh'san ne réfléchissait plus. Il se jeta sur eux et prit un coup d'épée dans le bas-ventre. Il savait ce que cela voulait dire. Personne ne survivait à un coup d'épée dans le bas-ventre. Personne sauf les héros et les nécromanciens.
L'elfe commençat un e formule, après avoir charcuté son adversaire. Lorsqu'il l'a finit, il s'effondra parterre. Sa peau commençait à se putréfier. Très peu, presque invisiblement et Ikar ne comprendrait probablement pas ce qu'il avait fait. Mais il l'avait fait. Il n'avait plus grand-chose à perdre. tout ce qu'il lui restait avant, c'était l'amitié de la fille d'un ancien camarade. Maintenant, c'était l'amitié d'une personne qu'il considérait comme un fou qui tentait de survivre en organisant une armée. vinh'san ne se relevrait pas avant un bon bout de temps, et il aurat eu le loisir d'inquiéter les rares personnes qui tenaient à lui, mais ce qui est fait, est fait.

Zertyline se reveillat...elle était rester lomptemg dan cette état de transe qui lui donnait de plus en plus de pouvoir...mais la liait de plus en plus a Ikar.

Comme a son habitude elle ne pensait qu'a lui... Toute les deceptions du jeune homme la brisait de l'intérieur...

Sans son corp et son coeur elle percevait avec plus d'effet les tortures de l'être.Elle ne voulait que le bien des autres...le bien d'Ikar...elle l'aimait d'un amour profond...un amour pur non souiller par les bassesse des hommes.

C'est la présence d'un lémure qui la réveillat...elle avait assez dormi (juste quelque jours) et le danger qui pesait sur Ikar glaçait son être.Elle ne refléchissait plus...guider par son instonct elle prit en main l'épée d'Ikar( En quelque sorte elle guidait la main d'Ikar vers son épée) et la plaçat dans une garde protectrice...prete a embrocher le monstre qui pourrait aprocher.

Lorsque que vin'san utilisat une magie...ou quelque chose d'autre inconnu a Zertyline.Cela lui parraissait étrange...comme si...il tenait ses pouvoirs de source non conventionnel.

Mais elle ne dis rien...chacun avait ces secret...et si un jours Ikar avait a cacher sa présence il vaudrait mieux que vin'san ne pose pas trop de question.

Ellle chuchotat a l'oreille de son bien-aimé: Laisse le avec sa magie... a mon avis son coeur est bien plus pur que ces maléfices...et il si connait mieux que nous...et eu...excuse moi pour l'épée....

L'épée en question était retomber par terre...Ikar la tenait encore mais sa pointe reposait ....dans une matiere molle d'un vert marron pas trés ragoutant d'autant que des mouches tournait autour....je dirais..une bouse de vaches...il y avait des paysans pas trés loin surement...

Zertyline avait sentie la une fissure dans l'ame d'Ikar...il était faible...incroyablement faible en se moment;

Il s'acrochait trop au personne qui l'aidait et cela ne pouvait que le détruire, mais elle l'aimait...elle l'aimait et souhaitait sa mort...

Que faire? Son ame était retenu sur terre par le détermination d'Ikar...si celle si faiblissait elle pourrait partir en paix...mais leur amour les unissait toujours et cela serai un miracle si elle pouvait partir de ce monde sans lui.

Neamoins elle ne pouvait le tuer , elle ne le voulait pas vraiment...rien que le regarder se mouvoir le sentir prés d'elle suffisait a lui faire suporter ses journée passer entre deux monde.

Une larme coulait sur la joue d'Ikar... elle diparut par magie..happé par ma conscience de Zertyline

Sois fort...tu est le seul qui le puisse encore...

Mes barrières s'affaiblissaient tranquillement. Par moment j'appercevait des ombres. Des fantômes pris dans ce monde et qui continuaient d'errer cherchant à atteindre le but qu'ils s'étaient fixé quand ils étaient vivants. J'ignorais si Zertyline le savait, mais je la voyais de plus en plus souvent. Et je doutais fort que se soit elle qui le veuille car cela lui demandait extrèmement d'énergie. Je sombrais peu à peu.

Il fallait au moins que je tiennes jusqu'après la guerre. Je devait aider Vinh'san et je devais gagner cette guerre. Je fermai les yeux et la larmes qui coula disparut. J'ouvrai les yeux et j'entraperçus Zerty puis je sombrai dans un coma hérétique...

Je quitta Melroth et entra dans la ville. Je fouilla tout les recoins de la ville jusqu'à ce que j'arrive au milieu de la ville où je vis deux hommes. L'un venant de s'évanouir et l'autre se décomposait à vue d'oeil. À la vue de ce dernier je fis un pas de recul mais voyant qu'il ne bougeait pas je m'approcha quand même.

Quelques minutes, ou je ne sais plus, peut-être quelques heures plus tard, je revint parmis les vivants. Un elfe se tenait debout devant moi. Je ne savait pas ce qu'il voulait, mais je m'empressai de me lever pour constater que la libération des Amrilliens avait fonctionné. Les derniers seigneurs allaient certainement être emprisonnés ou pendu dans l'heure. Sinon il me fallait faire une sorte de discours et rapatrier mes hommes. Et faire transporter le corps inerte de Vinh'san jusqu'à un abris temporaire.

Debout, j'observai l'elfe, me demandant ce qu'il voulait puis je lui posai la question : ''Que viens-tu faire ici??''

La chair de Vinh'san commençait à lâcher les os. Lorsqu'il leva la main pour toucher celle d'Ikar, la plupart de la chair resta au sol. Les mouches commençaient à s'attrouper. Il tenta de se relever et finit par y parvenir. Tout ce qui lui aait servit de protection ou de vêtement tomba, laissant à nu les os encore couverts de rares lambeaux de chair. Vinh'san ramassa la robe rouge qu'il avait sortit et l'enfila. Il ramassa sceptre des miracles qu'il rangea dans son sac. Il releva enfin les yeux, où plutôt les lueurs rouges dans les orbites et tenta de sourir à Ikar. Peine perdue. Il n'avait plus de chair ni de muscles pour sourir. Il ne reposait plus que sur la force de la magie.
L'ancien elfe demanda à Ikar son cimeterre et lui murmura dans l'oreille :

Je l'ai utilisé comme phylactère. Mon âme est enfermée dedans. S'il se brise, je devrais la récupérer. C'est difficile et pénible mais faisable.

Puis Vinh'san regarda le nouveau venu, même s'il se considérait comme étant largement plus "nouveau venu" que cet elfe.

Aurais-je raté quelque chose?

Le fait de revoir Vinh'san vivant me redonna un peu d'espoir... Et aussi la nouvelle qu'il pourrait peut-être retrouver une forme ''normale''. Je lui serrai la main et lui dit que je ne savais pas ce que l'elfe voulait, mais que j'était content qu'il soit vivant. J'entraperçut Zerty l'espace d'un instant et je me retournai en invitant les deux hommes à m'accompagner dans le camp que j'avais fait monté un peu plus loins à l'extérieur de la ville. Ce n'était pas juste pour dormir, mais aussi pour le recrutement. Les effectif allaient sans doute doubler d'ici demain. et dans moins d'une semaine nous serions loins d'ici à la recherche d'autres hommes prêts à se battre...

Je resta là pendant environs d'un heure quand l'homme commença à bouger je m'aprocha et il se réveilla enfin. Mais l'homme en lambeau aussi se réveilla et je ne savais plus quoi faire. L'homme l'invita a venir mais j'ésita un moment puisqu'il avait invité le '' mort vivant'' à venir aussi. Mais en même temps ça me décida puisque je voyais qu'ils se connaissaient. Je répondis enfin à sa question: -Je suis Xaniaphor, et je suis à la recherche d'un certain Ikar pour rejoindre son armé. Le connaissez-vous?

Quand j'entrai dans la tente, Daryn y était déjà et une carte était étalée sur une table. Celui-ci jeta un regard horifié lorsqu'il apperçut Vinh'san, mais le regard que je lui jetai lui fit comprendre qu'il ne devait pas en parler. De toute façon il ne parlais jamais de ce qui se passait ici. Le dénommé Xaniaphor comprit que j'était Ikar sans que je lui en glisse un mot. Probablement à cause du regard que j'avais jeté à Daryn. Quoi qu'il en soit il fallait que je sache ce qui poussait un elfe à venir jusqu'ici pour s'enrôler dans mon armée. Je regardai Vinh'san et il comprit tout de suite que je voulais qu'il observe le nouveau venu... Ou du moins je le pensais.
-Je suis Ikar. Bienvenue parmis nous Xaniaphor. J'aimerais toutefois savoir ce qui pousse un elfe à venir dans mes rang et faire autant de chemin. J'imagine que vous venez de la vallée des elfes??

J'attendais sa réponse et j'envoyai Daryn chercher du vin. Ce n'était pas sa tâche, mais il acceptait néammoins.

Quand il me dit son nom je n'étais même pas surpris car depuis que je l'ai vu pour la première fois, j'avais eu l'impression que c'étais lui que je cherchais. Je répondis à sa question: - Premièrement, je viens bien de la vallée des elfes . Je suis venu pour vous aider à combattre durant la grande guerre. Je pensais que mes talents vous seraient bien utile mais si vous ne voulez pas de moi je peux partir.

Quand je vins pour me retourner, Ikar me répondit.