Une arrivée

Ameria avait finalement réussi à se débarrasser des gardes et à quitter la ville. Elle n'avait pas trop aimer la désertion de Sparda, et s'en retrouva à faire marche seule vers Shamar. Elle y était venu une fois. Lorsqu'elle avait vu Zertyline MORTE et qu'une autre fille de joie lui tenait compagnie lui avait crié dessu. Elle n'avait pas trop aimé et avait quitté la ville.

Cette fois elle était de retour pour faire fortune et prendre du pouvoir. Ameria espérait seulement que Sparda la rejoigne, ce qu'il ferait sans doute. La guerrière était persuadé qu'il était tombé sous le charme. Autrefois il ne lui suffisait que de claquer des doigts que tous les homme étaient à ses pieds. Aujourd'hui elle se désinterressait totalement ou presque de l'amour. Probablement même que si elle n'avait pas eu ce poignard, elle serait amoureuse de Sparda, mais ce n'était pas le cas. Elle ne voulait plus que le pouvoir!

Sparda vit Ameria et se mit a marcher vers elle doucement.

"Ameria, enfin !" (Ouai ! Elle s'est debarassé des gardes.)

Puis il laissa tomber son marteau au sol, et repensa a comment il avait laissser la jeune fille sur place pendant le combat. Là, il s'arreta, la lueur dans ses yeux revint et il dit :

"Excuse moi..."

Puis il attendi que Ameria vint à lui.

-T'excuser?? Pourquoi?? Je ne suis pas Zertyline moi. Je n'ai besoins de personne pour m'aider à me déffendre.

Elle disait cela avec une certaine colère, juste assez pour qu'il se sente coupable sans la laisser. Ce soir quand il dormirait... Elle lui transpercerait la coeur. Et son pouvoir serait maintenant à elle. Elle serait beaucoup plus forte. Elle pourrait ensuite contraindre Vinh'san à sa volonté. Et avec ces deux pouvoirs réunis elle serait presque invincible. Presque. Elle pourrait aussi tuer Zertyline. Cela serait son déssert. Et là, elle serait aussi puissante que le fils des enfers et peut-être plus si elle trouvait quelqu'un d'autre...

-Cherchons un endroit pour dormir et demain nous iront à l'arène s'inscrire. Et moi, je te trouverai une équipe.

Sparda fut choqué par la reaction de Ameria.

"Mais...je ne voulait pas que tu me voit en Démon...Je t'ai laisser tomber..."

Puis il arriva enfin au niveau D'ameria. Là, il lui tendi une main tremblante avant de dire :

"Je veut me battre en solo. C'est un tournoi de combats a mort en solo. Tu restera dans les gradins et je me battrai pour toi. Suis moi, Je connai un ami qui tien une auberge clandestine, nous logerons là-bas."

Puis il tendi une main tremblante vers la jeune fille.

Ameria redevint normale, toutes fausse colère chassée. Elle prit la main de Sparda et le suivit jusqu'à l'auberge. Il fallait connaître l'endroit pour le trouver. Mais Ameria pensait que même si les gardes connaissaient cet endroit, ils n'oseraient jamais venir s'interposer. C'était un quartier mal entretenu. Des pauvres y mendiaient à toutes heures du jour et de la nuit.

-Bon, j'imagine que ce sera pas très luxueux, mais je m'en contenterai. Nous pourrons trouver mieux quand nous aurons gagné quelques combats.

Elle y croyait presque. Elle croyait presque qu'elle laisserait Sparda vivant... Mais ce n'était pas ainsi qu'elle prévoyait l'avenir. Bien autrement. BIEN AUTREMENT!!!

Sparda et Ameria marchaient dans une rue peuplée de mendiants et out genres et d'ivrognes somnolents sur le bords de la rue. Malgré tout cela restait quelques hommes en bonne santé, qui semblait être habitués a ce lieu. Visiblement, Sparda était connu ici, et même craint. Un mendiant qui dormait par terre se leva et toisa la jeune fille, puis se mit a la.....palper. Sparda lacha la main de Ameria et se jeta sur l'homme. Il lui decrocha un coup de poings tellement enorme que les veines des tyeux de l'homme cederent sous la pression du sang. les yeux de l'homme etait donc comletements rouges. Sparda attrapa le coup du clochard d'une main et le souleva a deux mètres du sol avant de le jeter violement vers le sol, le dos vers le bas. Le dos de l'homme s'ecrasa au sol [Pour les connaisseurs de catch, Chokeslam]. Le mendiant pervers eu quelques convulsions et revint a lui. Sparda se mit au dessus de lui, lui attrapa une main. Il lui brisa le petit doigt et dit :

"A chaque seconde, je te casserai un doigt. Excuse toi ou meurs..."

L'homme hurla de douleur et cria :

"Pitié pitié..." Crackkkk

"Aüie vous me faites trop mal !!!" Crackkkk

"Arretez !!!!!!" Crackkkk

"Plus qu'un doigt..."dit Sparda.

Puis, voyant que l'homme tombait dans les pommes, Sparda prit son marteau, et lui broya l'entre jambe.

"T'en aura pas besoin au paradis..."

Puis l'homme mourut.
Sparda s'avancea, et ouvri une petite porte. Une legere musique en sorti. Il tendi une main vers l'interieur et regarda Ameria.

"Votre demeure et ouverte Madame..."

-Tu aurais pu le tuer avant...

Il devrait penser qu'Ameria voulait qu'il ait abréger les souffrance de l'homme, mais elle avait dis cela car ça leur aurait évité de perdre du temps. Elle détestait perdre du temps. Mais cet homme n'avait pas le droit de faire cela... Et il avait eu ce qu'il méritait. Sauf que s'il était dans une guilde de voleur ou de mendiants, on chercherait à le venger. Ce qui arrivait souvent dans de telles villes.

Ameria entra devant Sparda et alla s'asseoir à une table. Ils n'allaient certainement pas aller ce coucher maintenant. Juste réserver une chambre et boire un peu.

"Ameria, t'as soif? sinon on va direct à l'arène sa ne me derange pas...AUBERGISTE, UNE CHAMBRE POUR UNE SEMAINE !!!!!"

Puis Sparda vit toute une bande de "racailles" entrer dans l'auberge. Il devait être une dizaine en arme. Ces gens ne semblaient pas vouloir du bien des gens presents dans l'auberge. Leur chef prit la parole :

"Qui a tué Kroktar devant la porte ?!"

Sparda ne repondi pas et l'homme qui venait de parler vit la jolie fille a ses cotés. Il l'attrapa d'un geste brusque et lui mit un couteau sous la gorge avant de s'approcher de la sortie. Sparda se leva et eu un moment d'hesitation. Devait il se laisser prendre par la colere et "detroncher" ces hommes ou devait il laisser faire Ameria comme elle lui avait fait remarquer à leur arrivé ? Il prit donc la parole pour gagner du temps.

"Ne la touchez pas...elle n'y est pour rien dans cette histoire, c'est moi qui ai fait cela. Il a comment dire......il s'est un peu trop approcher de Madame. Il en a payer le prix."

"Alors c'est toi qui l'a tuer?"

Les yeux de Sparda devinrent rouge, très rapidement de Grandes ailes pousserent sur son dos, sa peau devint rouges et des cornes pousserent sur sa tête. Sparda etait sous sa forme démoniaque.

"Oui."

A ce moment, les hommes se jeterent sur Sparda, lachant Ameria.

Ameria ne dit rien. Elle dégaina son arme et le planta dans la nuque de l'homme le plus proche d'elle. Elle n'avait pas à être traitée ainsi, que ce soit par ces hommes ou par Sparda. L'âme de l'homme fut volée et Ameria prit de la puissance. En fait, c'était celui qui la contrôlait qui prenait de la puissance et bientôt, il pourrait renaître en elle et d'Ameria ne resterait rien.

Il lui fallait l'aide d'un nécromancien avancé ou encore d'une liche pour qu'elle puisse reprendre son corps. Et si elle se rendait jusqu'à Sparda somme elle l'entendait, et le tuait, il n''y aurait pas de retour pour elle. Seulement un aller simple pour l'enfer.

Dans ces boir, quelques mois auparavant, la liche qui l'avait confronté était au bord de la mort. Elle avait vue le groupe d'aventurier se diriger vers Valérian et avait pris Ameria à part. La liche, autrefois un seigneur, avait lancé un sort à son arme et avait enfermé son âme dedans. Ainsi, lorsque quelqu'un prendrair possession du poignard, il pourrait revivre à travers cette personne. Mais s'il advenait que la personne était séparé du poignard trop longtemps (cette dernière mourrait également) ou qu'un sort la libère, la liche se verrait réduite à néant.

Ameria évoluait rapidement. Au fur et à mesure qu,elle tuait, elle pourrissait. L'odeur de charogne fit fuire tout le monde et elle se retrouva face à Sparda, les yeux mauvais et à moitié cadavérique.

La tête d'Ameria arrivait a la poitrine de Sparda, mais il vit largement les "yeux" de la "fille". Il ecarquilla les yeux au maximum, choqué. Le marteau tomba des mains de Sparda au sol. Le demon redevint normal, toute colere laissant place a de la tristesse et de la peur. De la peur...un sentiment rarement éprouvé par Sparda.

"Non Ameria...ne fais pas ça...Arrete toi en ici..."

Voyant que la fille le regardait d'un air de chien de garde, Sparda se baissa, attrapa son marteau, et se mit plus proche d'Ameria. Des larmes coulerent sur le visage de Sparda. Il les designa du doigt.

"Regarde Ameria, je ne pleure presque jamais, ça doit être la seconde fois de ma vie.....Je t'en suplie, ne fait pas ça..."

Mais la fille lui foncea dessus devant tout les gens present dans la taverne. Sparda contra le coup avec son marteau et le combat s'engagea. Une lutte acharnée. A chaque assaut que donnait Ameria, Sparda repondait. Mais la vitesse du poignard de la jeune fille eu raison de la force du marteau du demon. Il se retrouva rapidement le coutea sous la gorge. Sparda ne s'était pas battu, il s'était contenté de parer les coup d'Ameria, il ne voulait pas la blesser. Il se retrouva au sol, la jeune fille sur lui et le poignard sur la gorge.

"Ameria...Je ne pensait plus jamais eprouver ce sentiment, et je sais qu'il n'est pas réciproque, mais je contais te le dire a l'issu de la victoire de notre équipe au tournoi...Je....je....Je t'aime..."

Mais Sparda ne se débati pas, il resta en place, couteau sous la gorge, esperant un geste clément de la part de la "chose" qui le menaçait.

"Lache se poignard, lache-le...Il te possede..."

Ameria releva les bras derrière la tête pour donner le coup de grâce à Sparda. Puis la dame s'affaisa sur le corps du guerrier, yeux clos. On l'avait assommé.

********************

L'aubergiste aillant vu la scène se dérouler avait voulu aller chercher la garde civile, mais se rappelant qu'elle était corrumpu revint dans la salle principale de son auberge. Il regarda le combat se dérouler et décida de prendre partit pour le démon. Pas qu'il aimait la magie noire ou autre trucs du genre, mais à en juger par les évènements, il était le plus sain d'esprit et celui qui valait la peine d'être sauvé. L'aubergiste empoigna alors une masse et voyant que tous avaient déserté sauf la dame qui semblait avoir pris le dessu sur le démon, il l'assoma, croyant avoir mis par la même occasion le démon de son côté. Quand vint le temps de donner le coup de grâce à la dame, Sparda attrappa la main de l'aubergiste pour stopper son geste.... Il ne pouvait pas savoir.

Sparda lacha la main de l'aubergiste et attrappa la mace avant le briser le bois du manche. Les yeux de Sparda devinrent rouges.

"Merci quand même...tu me prête une des maisons que t'as en ville et dont tu ne te sert pas? Je conte remporter le tournoi de combats à mort..."

"Ok Sparda et on fait quoi d'elle ?"

"Elle s'appelle Ameria, c'est une fille géniale mais.....elle est possédée par un esprit a cause de ce poignards qu'elle a toujours...tu sais Blacklaw...je dois gagner ce tournoi et trouver absolument un moyen de la sauver..."

"Jte comprend mec...Toute mes maisons te sont ouvertes, prends ceci."

Puis l'aubergiste tendi un gros trousseau de clefs à Sparda.

"Merci...."

Sparda attrapa délicatement Ameria, sortit dans la rue malfamée et pleine de brouillard. En cette soirée , le brouillard reignait et le froid gelait les âmes. Les gens s'écarterent autour de Sparda, qui marchait doucement, l'air grave, les yeux rouges et encore des restes de corne et des ailes, qui n'ont pas disparues. Il arriva près d'un manoir inhabité et sorti le trousseau de clefs. Il tenta quelques clefs avant de s'enerver et de defoncer la porte d'un seul coup d'épaule.
Il monta a l'etage, portant toujours ameria, et trouva une piece sans fenetre et avec une porte de chaine massif. Même Sparda aurait du mal à la defoncer. Il deposa délicatement la jeune fille sur une couche propre et peu poussiereuse avant de se mettre a son tour sur une petite chaise. Il ferma donc la porte a clefs et resta pres d'Ameria, assomée.

"Ameria....."

Le corps de la jeune fille était glacé. Même si Sparda l’avait recouverte d’une couverture, sa température continuait de descendre. Elle errait entre la vie et la mort. Pas du corps, mais de l’âme. Son corps survivrait quoi qu’il arrive. Il deviendrait liche ou reviendrait normal. Elle rêvait. Ou plutôt cauchemardait. Elle voyait son corps de où elle était. Et Sparda qui la veillait. Elle savait qu’il ne dormirait pas avant que tout soit fini. Ameria l’aimait. Et si elle s’en sortait elle ne le quitterait plus. Qu’il soit le pire des démons et le plus meurtrier de tous elle l’aimait. Il savait ce qu’elle était et pourtant n’avait pas cessé de prendre soins d’elle. Pourquoi? Peut-être un rêve enfouit au plus profond de lui.



Il avait l’air triste. Triste de la voir ainsi. Aussi faible. Au moins de là où elle était elle ne souffrait pas et elle avait le contrôle de ses geste. S’il lui avait dit avant qu’il l’aimait, elle aurait été plus en mesure de combattre ce mal. C’était ce qu’elle pensait. Il fallait qu’elle lui communique un message. Si elle mourrait il ne saurait jamais qu’elle l’aimait autant que lui, l’aimait. Elle rassembla son courage et son âme se mit à s’approcher du jeune démon. Il était sûrement beaucoup plus vieux qu’elle mais il était aussi jeune pour un démon.



-Sparda… je… JE T’AIME…



Et ce fut le néant à nouveau.

La jeune fille tomba dans les bras du démon qui sourit. Il la reposa doucement sur la couche et lui remis les cheveus derriere les oreilles. Il ferma la porte a clefs, en laissant un mot et une rose derriere lui :

"Ne sors pas d'ici je t'en supplis. Dors un maximum je m'inscrit au tournoi je suis à l'arène. Je te rapporterai la victoire et la gloire (bien que ce ne soit pas la chose que je desire le plus)."

Dans la rue, Sparda marchait silencieusement, pensant. Il arriva à l'arene et entra dans le grand colisé. Un homme derriere un gros coffre (qui lui servait de comptoire) s'adressa à lui :

"Questu veut pecno ?"

"-Je souhaite m'inscrire pour le tournoi de combats à mort."

"-Votre nom?"

"-Sparda Death-Hammer..."

"-Ca marche, j'inscrit votre nom sur la liste et rendez vous dans trois jours. 9 heure du mat'. Et pour l'épitaphe ?"

"-Baaa j'en aurais pas besoin mais au cas ou : Sparda Death-Hammer, sois heureuse Ameria...Oublie moi...""

Puis Sparda sortit aussi silencieusement qu'il était entré. Il retourna dans le manoir et se coucha aux cotés d'Ameria, extenué. Depuis le depart d'Amrill, Sparda n'avait jamais dormi et il prit enfin un peu de repos au cotés d'Ameria.

(Pitié qu'elle claque pas...)

Mais, avant même que le démon eu le temps de s'endormir, un hommpe tapa à la porte. Sparda descendi les escaliers et ouvri la porte rapidement. Un petit mercenaire ce trouvait là.

"Vous êtes bien Sparda Death-Hammer?"

"Oui et toi, qui es-tu ?"

"Jin motenaii, envoyé par Vinh'san pour te ramener a genoux."

"Rêve pas petit...et c'est quoi ce gros sac que tu tiens?"

"Un sceptre que Vinh'san m'a demandé de vous donner"

Sparda prit le sceptre et claqua la porte au nez de Jin. Il courut dans la chambre et ouvrit le paquet contenant le sceptre. Il le prit dans sa grosse main et l'approcha du corps inerte de Ameria. La premiere chose qu'il fit, penser a ceci :

(Je veux que cette merde sorte du poignards et du corps d'Ameria !!!!!! Je vux que cette Je veux que cette merde sorte du poignards et du corps d'Ameria !!!!!!)

Mais rien ne se passa.

"JE VEUX QUE CETTE C*ONNE DE LICHE SORTE DU CORPS D'AMERIAAA !!!!!"

Le baton se mit à briller fortement et une sorte de fumée s'éléva au dessus de la jeune fille et du poignards. Les deux fumée se rencontrèrent, et se mirent elles aussi à briller d'un lumiere verte petards. Elles tournerent l'une autour de l'autre un petit moment avant de produire une sorte de petite "explosion", et de se disperser afin de disparaitre. Tout était fini, la liche était vaincu. Sparda couru en bas, rouvrit la porte. Jin était toujours la, et Sparda lui rendi le batton.

"Merci tu peut t'en aller"

Puis le demon claqua la porte et remonta dans la chambre. Il vit la pourriture sur le corps de la fille disparaitre. Mais ce fut ces dernieres images. Il tomba au sol, vidé de toutes forces. Il eu juste le temps de voir Ameria bouger légerement, et ouvrir les yeux...

Ameria ouvrit les yeux tranquillement. Elle se sentait comme si elle revenait d'un long voyage maladif. Des images s'infiltrait dans don esprit. Elle tuait une liche...Elle prenait son arme et puis...Et puis rien. Tout était flou. Elle vit Sparda par terre. Elle se leva et tomba. Elle était aussi vidé de toutes ses forces. Elle voulut prendre le mercenaire pour le mettre sur le lit, mais tomba à nouveau. C'est à ce moment qu'un homme entra dans la pièce.
-Mon nom est Jin Motenaii. Je viens rammener cet homme à Vinh'san.
-Je suis Ameria et vous n'irez nul part avec Sparda.
-J'ai bien peur qu'il n'ait pas le choix et que vous soyez trop faible pour vous interposer.

Ameria ne sut ce qui se passait, elle tomba dans un sommeil magique et à son réveil ni l'homme ni Sparda n'était plus là. Elle mit son armure laissant le poignard où il était et sortit à la course, espérant que ça ne faisait pas longtemps qu'elle dormait...

Sparda se reveilla dans la rue, trainé par le col. Il se debati pour faire lacher la prise de Jin. Il se releva et attrapa d'un geste rapide la gorge du petit mercenaire.

"Je pensait t'en avoir dissuader...Vas-t'en, Chacal. Tu n'avait pas à attaquer un homme au sol. Vas-t'en..."

Puis il le souleva par le cou et le jeta au sol, dos vers le bas.
Le dos heurta le sol, laissant Jin inherte. Il n'allait pas mourrir...
Sparda avait froid, torse nu, dans les rues de Shamar, presque neigeuses. Il titubait dans les rues quand il aperçut une silhouette familiere au loin. Il s'en approcha et reconnu la personne rapidement. Ameria. Il sourit en voyant qu'elle était en pleine santé.

"Ameria, enfin nous sommes tout deux en bonne état...enfin...vivants on vas dire...Rentrons, nous devons aller au tournoi dans 3 jours...reposons nous..."

Puis il du s'accouder au mur pour tenir debout.

-Sparda, tu ne sera pas en état de te battre dans trois jours. J'aimerais seulement que nous puissions rester ensemble au moins une semaine?

Ameria prit la main du démon quand il s'accrocha au mur. Elle ne pensait pas être capable de le traîner si jamais il tombait et ne se relevait pas. Elle voulait simplement être avec lui. Elle se sentait si bien. Surtout depuis qu'elle était redevenu elle-même.

-Je crois qu'après les combats nous devrions partir pour Valérian. Pas que je veuille m'établir, mais il y a un livre que je dois détruire avant que d'autre ne tombe dessu. Le fils des enfers. Je ne sais pas si la guilde noire existe encore et je ne voudrais que quelqu'un l'utilise à tort.

Sparda tourna legerement la tête.

"Je ne me battrai pas dans 3 jours, ta presence m'est beaucoup plus plaisante et doucve que le sang e les combats...

Puis ils arriverent dans le manoir, et Sparda ouvrit la porte d'un coup de coude.

"Ameria, tu as faim, soif, je peu te preparer quelque chose?"

Malgré son état pitoyable, Sparda s'activait dans la cuisine. Il semblait blessé, il ne bougeait plus son bras gauche. Quand il s'en rendi compte lui même, il se rappela la hache de lancé dans la forêt...pour sauver Ameria. La blessure n'était pas entirement soignée, et limitait les mouvements du démon. De temps à autre, des gouttes de sang coulaient de la plaie.

Ameria voyait Sparda travailler faiblement. Son chandail était moite et il y avait du sang frais dessu.

-Faut-il vraiment que tous les hommes soient aussi têtus Sparda??

Elle lui retira son armure et son chandail. La plaie était infectée. Il faudrait l'aide d'un médecin ou d'un herboriste. Elle n'avait pas les talents de guérisseuse.

-Je vais aller chercher un médecin, il saura quoi faire. As-tu donner ton nom à l'arène?

Il répondit affirmativement.

-Alors je vais aller les avertir, ils veulent rarement perdre des combattants, même quand il n'ont pas bataillé. Ils ont sans doute noté ta carrure sur une plaquette ou un parchemin, il penseront que tu sera un excellent combattants et enverront un médecin très rapidement.

Avant que Sparda rétorque qu'il n'en avait pas besoins elle ajouta :
-Je le sais, j'ai déjà vécu ici.

ce qui était un mensonge, mais elle savait tout de même que c'était la vérité.

Deux heure plus tard, un médecin examinait Sparda...

"Le diagnostic n'est pas très joyeux...La hache de mauvaise qualitée et les muscles ont fragmentés la lame, laissant des bouts dans la plaie....je vais les retirer mais un repos prolonger doit être observé."

Le medecin sorti de petites pinces et commencea à trifouiller dans la plaie. Le demon assi sur une chaise grimacait mais trouva le temps d'articuler ses mots.

"Si tu parle tétu pour le petit mercenaire, tu as raison, mais s'ajoute a ceci une grande part de folie! Si tu parlais de moi, je ne suis pas tétu, je veux juste ton plus grand bien."

Le docteur tira un coup sec et mit la pince pleine de sang devant les yeux de Sparda et celui-ci y vit la moitiée de la lame de la hache ! Il avait cela dans l'épaule ! Le docteur lui fit un bandage et recomanda très peu d'efforts, et beaucoup de repos. Il tendi une main tremblante vers le demon qui y laissa tomber une petite bourse. Puis le petit vieux medecin sorti de la maison. Sparda se leva à son tour et se tourna vers Ameria.

"Je prefere subir ça que de te voir le subir ! Tu veut que nous allions nous reposé ou que nous allions quelque part?"

-Repose toi Sparda. Je vais m'occupper d'entretenir un peu cette maison. et quand tu seras rétablit on iras à Valérian.

Il pensait peu-être qu'Ameria était folle. Elle avait compris son petit jeu de l'attirer dans la chambre. Elle ne s'en serait pas plaint un autre jour, mais la blessure de Sparda la préocupait. Elle ne voulait pas qu'il lui arrive quelque chose et que ce soit sa faute. C'était un peu bizzare de penser comme ça, mais c'était un fait.

Elle ammena Sparda au lit puis redescendit laver la vaisselle et ranger la table. Elle haïssait les corvées ménagère et elle n'avait pas assez d'argent pour payer une femme de ménage. De toute façon, la plupart de femmes de ménage de cette ville était aussi des filles de joie. Et elle n'aimerait pas qu'il y en ait une dans la même maison qu,elle.

Deux heures passèrent et la nuit tombait quand Ameria alla se blotir près de son compagnon...

La nuit avait été très calme pour Sparda. Le jour ce leva et le guerrier se leva sans reveiller Ameria. La blessure était moins douloureuse mais la difficulté de mouvement était toujours la même. Il enfila sa grosse armure noire a bords cuivrés. Le demon attrapa son marteau, et alla dans la petite cour derriere le manoir. Le demon defonça deux petits arbres. Il récupera le bois en esperant construire une arme pour Ameria. Quand il ne trouva pas de metal, il laissa tomber cette idée et commencea à fabriquer un bijou, un pendentif plus precisement. Il sorti pour chercher un diamant et trouva un cadavre de troll. Dans de très anciennes légende, les trolls avaient des dents en diamant. Le démon en trouva effectivement une. Il retourna dans la maison, Et attrapa dans une main le bois taillé en pendentif et le diamant rouge dans l'autre. Le diamant se mit à fondre, mais l'espece de liquide transparent issu de la fonte du diamant resta dans les airs au dessus de la main de Sparda. Il fit apparaitre une minuscule rose noire, et la fleur s'envellopa du diamant fondu pour devenir à son tour un diamant. Le démon incrusta le diamant delicatement dans le bois, et le pendentif était terminé. Une petite ficelle d'argent avec, comme diamant, une rose noire incrustée dans de l'if taillé. Sparda monta dans la chambre, et mit le collier autour du coup de la jeune fille. Il alla s'assoir sur le bureau et regarda la fille dormir.

Quand Ameria ouvrit les yeux, Sparda était déjà debout. Déjà, il avait l'air de mieux aller. Cela réconforta la jeune fille. Quand elle sortit du lit, elle remarqua le collier que Sparda lui avait mis. Elle s'avança près de lui et l'embrassa. C'était magnifique. Comme elle l'avait espéré de l'homme qu'elle aimait.

Après ce doux réveil, elle mis son armure et alla préparer le déjeuner. Il n'y avait pas grand chose, mais des oeufs et du jambon fumé ferait l'affaire. C'était moins bon qu'un repas complet avec du lait et du pain, mais quand même acceptable. Sparda avait l'air heureux!

Sparda descendi les ecaliers derriere Ameria et commença à l'aider à faire le petit dejeuner.

"Tu pense qu'on partira quand pour Valérian? Ta mission a l'air importante donc....moi c'est quand tu veut chui toujours prêt!"

Ameria allait lui parler de sa blessure mais il la coupa:

"En plus, malgré ma blessure, je peux me servir de mon bras donc..."

Puis il attrapa les mains de la jeune fille et la guida jusque sur une chaise de la cuisine.

"Assis toi, je prepare."

Et fut servi à Ameria des oeufs au bacon. Le demon alla s'assoir en face de la jeune fille et ils commencerent a dejeuner...

-Nous partirons quand tu seras guéris pas avant.

Ameria n'avait pas envie que son état empire et qu'il tombe avant d'avoir atteint Valérian. Elle ne serait jamais capable de le traîner jusque là-bas et peu de gens sur la route embarqueraient un démon.

-Ma quête n'est pas si pressante que ça. Au fait, as-tu déjà entendu parler du fils des enfers? Là d'où tu viens? se risqua-t-elle.

Avant que Sparda ne réponde, elle lui resservit à manger. Il avait besoins de récupérer des forces le plus rapidement possible.. Même si elle avait dit que sa quête n'était pas pressante.