Les jeux vont commencer!!!

Le nouvel arrivant, ou plutôt les nouveaux arrivants, car il y en avait trois étaient des gardes de Karl. Quand ils nous virent il nous demandèrent de retourner dans nos dortoir jusqu'au début des prochains combats. Je levai ma lame à leurs adresse et Vinh'san en fit de même juste avant qu'ils se jettent sur nous.

Nous les embrochâmes un par un puis nous partîmes de la ville... Il en était plus que temps...

Vinh'san avait agit machinalement. Tuer avait été son travail, plus maintenant. Il répugnait a tuer. Mais autre chose le tracassait :

Dis moi coeur-tendre, où comptes tu aller? M'est avis que la nouvelle de la disparition de quelques esclaves et la mort du Seigneur Karl va vite se propager. Je ne connais rien au pays, mais je doute que quiconque nous hébergera sans nous livrer aux gardes le lendemain.

Vinh'san commençait à se demander s'il n'avait pas agit bêtement. Qu'importe, ce qui est fait est fait. Il avait juré à Ikar qu'il le suivrait, il le suivrait.

-Tu ne connais donc pas cette ville?? Seul les nobles font la loi ici... Et les gardes quelconques. En faite si on se cachait dans la ville, on aurait des chances de se faire dénoncer, mais les agriculteurs hors de la citée ne le diront pas, mais il sont contre l'autorité Shamarienne. Par contre si nous restons plus longtemps ici, on va se faire pendre. Et moi avoir une corde autour du cou, j'essai d'arrêter...

J'avais dit ça à la blague, mais un souvenir presque réel m'ensevelit :
Je montais sur la scène, les mains attachées dans le dos... Il y avait des gens qui criait un nom que je ne connaissais pas, mais qui avait l'air de m'appartenir. Tout le monde voulait ma mort. Une vague sensation me disait que j'était un tueur... Ma guilde était parmis ces gens, mais il n'agiraient que sur mon ordre.

Je revint à la réalité et je me mit à courir. Passé la porte extérieure, j'entreprit de prendre des ruelles sombres, comme si je les connaissaient. Nous arrivâmes à un cul de sac et mon sixi;eme sens me dit d'entrer dans la petite porte qui était sur le côté, cachée derriere un planche de bois.

Nous entrâmes dans une pièce infâme, laissé a l'abandon et nous marchâmes jusqu'à la sortie de la ville, débouchant dans un champs voisin...

tout ce que Ralisto se souvenais était qu'il avait réussis à avoir le soutien pour sa guilde d'un petit village et qu'après avoir resté là quelques jours, il s'était dirigé vers Shamar pour tenté d'aider ses amis. Il ne connaissait pas leur situation mais rien ne peut arriver de bien à des inconnus dans cette ville. Puis, en chemin vers la ville, plus rien. Il ne se souvient de plus rien. Ralisto s'était réveiller dans une chambre, où il reconnut la fille du maire du village maintenant allié à sa cause. Elle apportais un bol de soupe et lui raconta qu'il était resté endormi dans cette état pendant quelques jours. Un fermier l'avait retrouvé sans conscience près de la route qui mène vers Shamar et l'aillant reconnu, il l'avait apporté chez le maire. Ralisto trouvait cela bien étrange. Mais pour l'instant il n'avait pas assez de force pour faire quoi que ce soit. Donc il se résigna à resté dans ce petit village agricole pendant quelques temps.

Sortit de là, nous partîmes dans la direction du vilage le plus proche. Nous étions encore sur les propriétés des seigneurs. La route fut brève et rendu là-bas, une vague sensation de réconfort m'envahit. Comme si je rentrais chez moi depuis des mois de route. Mais je me détrompai, j'était nul part chez moi.

J'entrai dans le petit village, suivit de mon ami et je sentit la présence plus accrue de zertyline. Comme si elle avait sentit ma tristesse. elle l'avait surement sentit, mais je n'en savait rien. J'esperais qu'elle me reparle la nuit suivante, car le matin arrivait.

Je prit une chambre à deux lit dans une auberge (avec l,argent que j,avais gagné en tuant mon premier adversaire lors des jeux) et je m'endormit rapidement, laissant Vinh'san éveillé...

Vinh'san laissa tomber son cimeterre sur le lit. Il passa sa main dans son dos, sous sa cape. Il avait toujours été d'une grande agilité, il arrivait sans problème à s'atrapper les poignés dans le dos. Mais là, son but était de déloger le Sceptre des Miracles des lanières de cuirs qui se croiséient dans son dos. L'elfe réussit a atrapper le crâne qui était au bout. Il tira dessus et le crâne partit. Vinh'san n'avait jamais entendu parler de ceci. Comme quoi, quand on pense bien connaitre quelque chose, cette chose s'empressera de vous étonner. Il réussit à déloger le sceptre et vit pour la première fois une opale là où il croyait le crâne solidement enfoncé.

Ceci nessecitait une petite expérience afin de savoir si le retrait du crâne avait servit à quoi que ce soit.

Vinh'san reprit son cimeterre et sortit dehors. Il regarda vers un l'endroit le plus désert. Pour autant qu'il se souvienne, la maison au loin était hors de portée du sceptre. L'elfe raqua le bâton à l'horizontale. L'opale brilla faiblement et une silhouette se dessina devant le nécromancien.

Bons dieux, j'ai convoqué un écerveleur... Hum... Monsieur, il me semble qu'il y a eu une erreur, désolé de vous avoir dérangé, si vous pouviez retourner chez genre... maintenant?

L'écerveleur fixait Vinh'san. Le maréchal savait que le monstre ne le fixait pas lui, mais fixait un point légèrement derrière son front, et celà ne lui plaisait pas. Il adressa une brève prière a sa déesse et utilisa à nouveau le Sceptre des Miracles. La chose disparue. Du moins c'est ce que pensa l'elfe, en fait il l'avait transformé en une bactérie.

*Cet objet est vraiment bien trop dangereux. Je pense que je vais tenir ma vieille promesse, je n'y toucherai plus.*

J'eu un réveil brutal. J'avais en ef tombé sur le sol durde la chambre pendant mn smmeil... Sans même rencontrer Zertyine. Ou du moins, si je l'avais recontré je ne m'en souvenais plus.

Vinh'san n'était pas dans la chambre, probablement partit se promener,découvrir le terrain. Je prit mes armes et sortit torse nu. J'allais faire un tour moi aussi. Une jeune femme attira alors mon attention. Elle avait une démarche sec, elle était stressée. Je la suivit un moment pour finalement me retrouver devant la maison du dirigeant de la ville.

Je n'entrai pas à sa suite, c'était inaproprié, mais j'attendis que quelqu'un ressorte. Quelque chose me disait que j'y trouverais quelque chose d'interressant.

Vinh'san avait commencé à établir une liste des différents effets su sceptre qu'il avait constaté lorsqu'il entendit un bruit derrière lui. Il se retourna et vit un homme, asser jeune, en robe noir. Ses cheveux blonds, mi-longs lui tombait en mèches devant les yeux. Entre les mèches, on devinait un regard dément. Le sourire emplifiait l'impression.

Que me veux-tu, apprentit?
Le Sceptre des Miracles. Immédiatement.
Pauvre apprentit, tu risque de te tuer avec.
Ne m'appelle pas "apprentit"! J'étudit la nécromancie depuis bien lpus longtemps que toi!
Et tu l'as étudié bien plus mal que moi...
Donne le moi où je devrais faire usage de la force.
Allons Malin, on se connait depuis... un moment. Tu sais que je peux contrôler tout ce que tu invoques. Dernière preuve : ta banshee. Où est-elle d'ailleur? tu ne l'as tout de même pas renvoyée? C'était ta première invocation de presque-haut niveau réussie.

L'elfe leva l'avant-bras à la vertical pour parer le coup d'épée que Malin lui avait donné. Non pas qu'il avait prit la lame, mais il l'avait arrêté au poigné. Vinh'san profita du cour temps de réflexion de l'humain pour croisé ses doigts derrière le crâne de son ennemi et le fit s'incliner en avant en même temps qu'il levait son genou. La collision entre le genou de l'elfe et le nez de Malin fut douloureuse.

Relève toi Malin Keshar. Apprends que dans un duel, savoir ressuciter les morts ne set à rien. Si tu ne sais pas manier ton arme, tu ne réussiras jamais dans la voie que nous avons choisie. Devenir une liche ne t'aurais pas aidé. Je t'en ai d'ailleur empêché. Je ne te laisserais pas faire une telle erreur. Et jamais tu n'utiliseras ce sceptre comme phylactère!

Vinh'san avait lancé un regard glacial à Malin Keshar. Tandis que l'humain se relevait, l'elfe lui plaça un coup dans le menton. Le jeune nécromancien gigota sur le sol sans réussir à se relever.

Dans la nécromancie on ne se contente pas de déranger les morts. On étudit le corps pour pouvoir "réparer" ses créatures. Ainsi, je t'apprend que nous avons un nerf au menton. S'il est touché, tout le système nervex est pertubé. Ca me laisse aussi une bonne dizaine de secondes pour partrir.

Vinh'san courut sans savoir où il allait. quand il jugea que Malin avait pu se relever, il regarda en arrière. Puis il percutat quelque chose. Ou du moins, quelqu'un. L'elfe releva la tête et dit :

Samlut Ikar, drôle de façon de se revoir, hein?

-Mhmm oui, dis-je pensif...J'ai l'impression que dans cette maison, il y a quelque chose d'important... Ou quelqu'un. Mais il serait très innaproprié d'y entrer. Qu'en penses-tu??

Je ne me rendit compte de la stupidité de mes dires qu'après les avoir prononcé. Certe il pouvait y avoir quelque chose d'utile, mais c'était un peu exagéré de dire qu'il fallait le trouver. Autre chose qui me tracassait, je sentait de moins en moins la présence de Zertyline. S'il fallait que je la perde...

Je prit une grande respiration en attendant la réponse de mon compatriote.

Vinh'san réfléchit un moment sur la question puis annonça :

Personellement, sur mon île, on m'a jamais interdit d'entrer n'importe où sauf dans la chambre de Dame Eryhna et une fois on m'a interdit l'accès à la salle du trône, sûrement parceque j'avais dégainé mon cimeterre. Bref, nous avons deux choix : soit on patiente et on attend mon vieil ami Malin Keshar, dont je t'ai sûrement parlé, qui m'a retrouvé, soit on rentre dans une maison, tant qu'à faire celle là, rapidement et on prie pour qu'il ne nous trouve pas.

Vinh'san tenta un sourir amical. Non. Il n'y arrivait décidemment pas...

-Alors on entre.


J'ouvrit la porte à la volée et tombai sur la fille du maire de cette ville. Elle était un mélange de surprise et d'exaspération... Mais pas de peur. Je me rendit au hasard dans une chambre ou je trouvai Ralisto, allité...

-Comme on se retrouve...

Vinh'san se tenait derrière moi et quand il vit Ralisto, une expression que je ne su interpréter illumina son visage l'espace d'un instant. Je ne savais pas quoi dire dans cette situation. C'était donc Ralisto que je sentais de l'extérieur. Un grognement se fit entendre de l'entrée puis un cri. Quelque chose venait vraisemblablement d'attaquer a fille...

La fille était morte. Je ne pouvais plus rien pour elle. Par contre je pouvais encore aider Vinh'san. J'ignorais si on pouvais tuer une bête de ce genre d'un coup d'épée, mais à l'allure de mon arme, je pressentait qu'elle n'était pas ordinaire.

J'effleurai la patte de l'animal et une goutte de sang ou deux perlèrent sur l'animal. Si je ne pouvais pas le tuer, je pouvais néammoins lui faire mal et l'affaiblirent. Il me fallait encore libérer mon ami de son emprise. J,ignorais ce que faisait Ralisto, mais son aide aurait été fort oportune. J'entrai profondémment ma lame dans la cuisse de la bête puis elle se retourna vers moi, laisant choir sa proie.

Je me retrouvai face à l'animal, mais je n'avait pas dit mon dernier mot. Je sentait plus que jamais la présence de Zertyline. Cela me donna un regain de confiance quand j'attaquai la bête de front. Mais un simple coup de patte me poussa à reculer de nouveau. Il me fallait de l'aide car je n'en viendrais pas à bout tout seul. Certe j'avais un talent inné pour les combats mais je ne pourrais pas venir à bout d'une telle bête.

-N'aurais-tu pas une incantation à faire?? dis-je à l'adresse de Vinh'san. Sinon il ne nous restait qu'à espéré pouoir prendre le dessus.

Vinh'san se releva, l'épaule ensanglantée.

Evites de l'énerver, il me semble que certains cerbères ont un acide gastrique asser corrosif. Mon épaule me le confirme. Si jamais la situation te parait désepérée, j'ai le Sceptre des Miracles coincé dans le dos par des lanières de cuir, sous ma cape. Mais dis toi bien qu'ave tu peux empirer la situation.

Vinh'san avait prononcé ces mots d'une voix pateuse, à moitié absent lorsqu'une patte de l'animale lui arriva en plein visage. L'elfe retira l'abatre qui scellait le creuxde son cimeterre et en retira le parchemin et une petite fiole. Il la considéra un instant avant de la remettre dans le manche de l'arme puis il déroula le parchemin et chercha quelque chose. Il finit par trouver une incantation interressante. seulmet il manquait de place.

Je te souhaite bonne chance, je dois sortir un instant. J'espère que tu ne viens pas du même coin que ce caniche, sinon il va falloir que tu partes avant la fin de l'incantation. Je te préviendrais.

Vinh'san sortit après avoir posé le sceptre à porté d'Ikar et prit son cimeterre dans la main gauche. Il entreprit de tracer un grand symbole sur la terre autour de la maison comme décrit sur le plan. Lorsqu'il eut finit, il appella Ikar en lui disant de maintenir la bête à l'intérieur du bâtiment et commençat le sortillège... pour s'évanouir peu après.

Je tint tant bien que mal la bête à l'intérieur du bâtiment, mais ma seule épée ne la retiendrais pas longtemps. Après tout, le nécromancien, ce n'était pas moi. J'évitai un coup de patte et je décidai de ne pas attendre l'aide de mon ami. Je ne savais pas ce qui lui arrivait, mais cela faisait longtemps qu'il était sortit.

Je m'élançai sous la bête, lui écorchant le ventre par la même occasion, mais quand il décida de se coucher subitement, j'eu à peine le temps de m'élancer. Un coup de queue que j'évitai également, puis ma lame lui transperça le flanc. Un hurlement sourd et grave... Puis la bête s'élança à l'extérieur. Je la poursuivis au dehors, mais le corps inerte de mon ami arrêta ma poursuite. Heureusement il n'était qu'évanouit, mais il me fallait m'en occupper. S'il y avait un cerbère dans la ville, ce n'était pas mon problème, du moins pas pour l'instant.

Je prit le corps de mon ami, laissant le sceptre la ou il était. Pas par vouloir, mais par oubli. Je transportai mon ami jusqu'à l'auberge et l'y couchai dans son lit, puis je retournai dans la maison du maire... Découvrant vraisemblablement celui qui se nommait Malin Keshar ou quelque chose du genre. Il avait le sceptre entre ses mains. Je ne savais pas ce qu'il pouvait faire avec, mais il avait l'air content... Même lorsqu'il me vit. Ce qui était mauvais signe pour moi.

Je fonçai sur lui, le percutant de plein fouet. Il ne s'attendait certe pas à cela, sinon il m'aurait facilement évité. Il échapa l'objet fétiche et je me retrouvai sur lui le rouant de coups. C'est quand il commença à prononcer des mots que je ne comprenais pas que je l'assomai du pommeau de mon épée. Je prit le sceptre et retournai à l'auberge pour veiller Vinh'san...

Vinh'san se réveilla. Ce n'est pas pour autant qu'il émergea de son état de somnolence. Il avait juste ouvert les yeux. Il commençat senir de nouveau la douleur de son épaule, moins prononcée tout de même. Il tourna la tête et décida d'oublier ça, le sol avait probablement été dur là où il était tombé. a condition qu'il soit tombé. Cela l'importait peu, le fait était qu'il ne comptait pas tourné sa tête tant qu'elle le ferait souffrir ainsi. Il demanda, sans savoir qi qui que ce soit était là, ce qu'il s'était passé. Une fois qu'il le sut, il dit :

Evite de tuer Malin, il est un peu naïf, mais il peut être utile, quitte à devoir l'utiliser. Amène le moi évanouit si tu peux. Je t'aurais bien donné quelque chose et demandé par la suite d'aller l'utiliser pour massacrer le cerbère mais à quoi bon, je n'ait rien. Où presque. Je suppose que je ne t'ais jamais dit que je j'avais aucun réel talent magique.

L'elfe sourit. Il réussit cette fois.

En fait, je tire tout, soit du sceptre, soit des albatres de mon cimeterre. S'il te plait, trouve ce cerbère et fais en ce que tu veux, tant qu'il ne cause plus aucune souffrance. N'hésite pas à faire comme moi. Si tu as récupéré mon parchemin, tu trouveras la formule pour renvoyer un monstre là d'où il vient. C'est celle qui suit le dessin qui indique quel marque il faut faire au sol.

*Et dès que tu es parti, je te suis en douce. Ca n'a jamais été mon genre d'envoyer les autres mourir.*

-Désolé, mais j'essai de ne pas user de nécromancie... J'essais de tenir une promesse. Si je doit tuer cette bête, eh bien elle aura à faire avec moi.

Je n'était pas certain de la validité des ses dires, mais c'était mon ami et il me fallait lui faire confiance. Je prit mon épée à la main et je sortit en acquiessant de la tête. Je doutais fort que Malin soit encore évanouit. Je lui avait donné un coup puissant, mais surement pas assez pour le retenir plusieurs minutes.

Arrivé dans la maison du maire, le corps de Malin avait disparu, ainsi que celui de la fille du maire. Le maire en question se tenait dans l'entrée les bras croisé, comme attendant des explications. Je ne pouvait rien lui dire. De toute façons, je savait bien qu'il ne me croirais pas si je lui disait la vérité. Je rengainai mon épée sachant que Malin ne reviendrait pas de sitôt. De plus, il était surement partit avec son chien de compagnie car ce devait être un sort puissant pour une bête si indomptable et forte.

Je me retournai appercevant Vinh'san qui pensait probablement à la même chose que moi. Le maire m'interpella...
-Mon nom est Ikar.
-Votre Malin a laissé un mot, dit le maire d'une voix triste. Retrouvez le et arrêtez le, dit-il en me tendant le message.

Cher Vinh'san,

Je ne sais pas qui est ton compagnon, mais j'ai décelé en lui une puissante force. Il ne cherche pas le pouvoir du mal, mais en lui réside quelque chose de sombre. Je l'ai vu dans ses yeux. Je ne sais pas si tu as eu vent des rumeurs, mais une guerre se prépare et trois fronts s'affronterons. À toi de choisir ton camp.

Malin Keshar

J'en restai héberlué. Une force sombre en moi... Je tendis le mot à Vinh'san pour qu'il lise à son tour...

Vinh'san lut la lettre. Il la posa parterre.

Vois-tu Ikar, la magie ce n'est pas que la nécromancie. Je pense que tu le savais déja mais il m'a semblé que te rafraichir la mémoire te ferais du bien.

L'elfe tendit son bras, paume ouverte vers le bas, cimeterre dans l'autre main. Il fixa sa main tendue, les albatres du cimeterre scintillèrent faiblement et quelques gouttes de ce qui pourrait faire penser à du feu liquide tomba de la main de l'elfe sur le parchemin qui brula sans laisser de trâces.

La magie me parait bien étrange. Je n'y ai jamais rien compris d'ailleur. Cetains prêtres font, soit-disant, appelle à leur dieu mais sinon... Bref, Malin disait-il vérité ou a-t-il encore forcé sur l'alcool? Qu'elles sont ces trois puissances dont parle ce demeuré? Laquelle à le plus de chance de vaincre? Quelles sont leurs idées?
Oh, aussi, ne fait pas trop attention aux dires de Malin, peut-être tentait-il de te pertuber. Peut-être qu'il l'a senti.

Vinh'san avait fait allusion à celle qui entourait Ikar.

*Je ne peux pas ter ce fou, mais il faut bien le calmer...*

-Crois-tu que Zertyline soit une sombre force?? Je ne me résignerai pas à pens cela... Et dis-toi bien une chose, si j'ai l'occasion de tuer ce Malin, je le ferai alors sois-là quand on le rencontrera.

Vraiment, Zerty, une force sombre... Ou alors était-ce moi?? Quoi qu'il en soit, je ne travaillerais pour personne... Je ferais ce qu'il me chantait de faire quand cela me tentait. Je ne savais pas quoi ajouter aussi dis-je : ''Alors ton Malin, on le chasse??''

J'en oubliais quasiment la guerre annoncée. Vinh'san n'en avait pas parlé, peut-être savait-il ce qui allait se passer?? Peut-être que non...
-Et la guerre sur trois fronts qu'en pense-tu??

Je n'ai pas dit que ... Zerty, c'est ça? était une force sombre. Malin ne connait pas le sens du mot restriction. Il boit comme rien au monde. Sauf peut-être... Oui, je connaissais un démon très jeune, pour un démon, qui avait réussit à calmer ses ardeurs qui buvait pas mal. Il disait que quand on ne le reconnaissait pas, c'est qu'il était sobre. Bref, Malin a pu aussi se tromper de terme, n'a pas su exprimer ce qu'il avait ressentit... Qu'importe, tu es ce que tu es. Ne te laisse pas influencer par ce que disent les autres. Tu peux devenir ce que tu veux être, ce démon me l'a démontré.
Pour Malin, n'y fait pas attention, je compte bien m'en charger, mais pour l'instant j'ai besoin de repos. Ensuite mis en oeuvre d'un des talents du nécromancien : sentir les esprits. Là où sera la plus grande concentration d'âmes se trouveras sûrement ce petit pédant. Sinon ce sera un autre nécromancien ou un rassemblement d'âmes planifiantes un sombre projet. dans ces deux derniers cas, je me fairais un plaisir de mettre fin a leur demi-vie.
Quand à cette damnée guerre, ma question reste, quels sont ceux qui se battront, quels seront leurs buts, rejoigneras-tu un de ces trois fronts. Lesquels auront accepteraient l'aide dun nécromancien?

Vinh'san, ayant posé ses questions, laissa son regard voleter. Finalement il dit :

Combien tu paris que Ralisto est encore en vie.

-Je ne rejoindrai aucun des fronts... J'aurai le mien!!!

Je ne savais pas pourquoi j'avais dit cela. Préparer une armée est quelque chose de presque impossible quand on n'a pas l'allure d'un héros. Je ne pensait pas en être un et je ne pensais pas non plus que Vinh'san en était un.

-Il y aura 4 fronts... Bien que j'ignore qui seront les autres.

4 fronts?? C'était impensable.

S'il y a une guerre a trois fronts, tous les gens de Ramandrak seront touhés. Si nous faisons un quatrième front, ce sera pour protéger ceux qui n'ont pas d'armée ni de deffense. Nous recruterons tous ceux qui veulent se joindre à nous. Les paysans comme les nobles...

J'était embêté. Pouvais-je vraiment élever une armée?? Moi Ikar?? Je n'en savait rien, mais si je ne pouvais pas, au moins j'aurai des fidèles derrière moi qui voudront faire la deffense de certains villages. Mon idée était là plus qu'ailleurs. La plupart des villages du continent n'avait pas de deffense et si une simple cinquantaine d'homme armé passait par là, les villages seraient rasés.

Vinh'san sourit. Le bon vieux sourire de celui qui allait partir en guerre. Le sourire qui avait arboré son visage la veille de sa première victoire éclatante. Mais il était aussi fatigué.

Tu as déja un fidéle, "chef de guerre". Aller, je m'en vais dormir. Après je tenterais de rouver Malin.

L'elfe repartit vers l'auberge, les yeux mi-clos.

De mon côté, je décidai de commencer le recrutement. Certainement dans ce village sans deffense, il y aurait des recrues. Je trouvai un jeune homme à qui je demandai d'aller annoncer la nouvelle dans le village. Après quelques heures, il y avait déjà une vingtaine d'hommes. Mais 4 étaient trops vieux pour combattre et trois, à peine capable de lever une épée tant ils étaient jeunes. Je les renvoyai. Il m'en restait treize. Je leurs donnai rendez-vous le lendemain à la première heure à la sortie du village. Puis, j'allai dormir. J'était fatigué et un héros se devait d'être en forme. Même si je n'avait pas l'apparence d'un héros, ou du moins je ne le pensais pas.