Séjour chez les nains

Je l'embrassai... C'était la seule chose que je trouvai à faire. Mais je ne répondit pas à sa dernière phrase, laissant cette promesse en suspend. Si je voulais la garder en vie, je ne la laisserais surement pas crever à mes côtés.

Je la regardai tendrement et m'étendit sur son lit. Je respirais calmement... Sans un mot nous nous comprenions, comme deux âmes qui aurait vécu plus d'une existence côte à côte.

-Je ne peu pas te garantir la liberté, mais je peux te dire ceci : si tu ne respecte pas ton sang, celui-ci non plus ne te montrera pas de respect.

En lui disant cela, Bahmérion voulait la faire marcher sur la voix de l'équilibre. Il savait que cette elfe jouerait un rôle important un peu plus tard et avant de sortir, on entendit le tintement d'une clé qu'on laissait tomber. Accompagné d'un message :

Retrouve Ikar. Il est ton seul salut dans ces lieux sombres.

Respecter son sang? C’était quoi ça encore?! Argh! Elle était une elfe… mais ça voulait pas dire pour autant qu’elle n’avait pas le droit d’être libre, il lui semblait, et de faire ce qu’elle voulait! Quoiqu’il en soit, la jeune demoiselle laissa ses yeux dirent se qu’elle pensait alors que suivant les gestes du vieux, elle aperçut clairement à la lumière un scintillement suivit d’un tintement. On venait de faire tomber quelque chose. Ses sourcils se froncèrent. Aurait quand même put… la libéré de ses chaînes, comme elle ferait elle, pour atteindre ce foutu bout de métal! C’est alors que la vision d’un rat lui fit ouvrir grand les yeux, alors que la porte de sa prison maintenant close, le manque de lumière ne nuisait plus à sa visibilité. La bête reniflait le bout de parchemin… Les lèvres pincés, la nouvelle dame fraîchement métamorphosé tenta d’étirer les pieds pour atteindre l’objet qu’elle convoitait… et qui était le même que ce maudit rat!

En tout cas! Elle avait eut le temps de lire ce que le bout de parchemin lui dictait! Retrouver le blondinet pour son avenir! Et quoi encore, à ce qu’elle savait, elle savait cuisiner, trouver de la nourriture (à condition d’être en mer ou proche d’un court d’eau) et parfaitement apte à vivre dans les milieux les plus dégoûtants sur cette terre et en mer! Alors assuré son avenir… quoiqu’il en soit, elle était curieuse! Et puis elle ne connaissait pas grand monde, maintenant, à part ce vieux mage, Ikar, l’autre fille là… et ce… ce barbare donc elle n’entendait plus parler depuis leurs emprisonnements respectif. Elle se demandait où tous ces gens étaient, maintenant. -_- Au moins lui donner une direction n’aurait pas été stupide. Mais na. Hum! Vive l’instinct, il n’avait que ça d’vrait!
Mais pour l’instant, il avait se rat qui lui entravait la route, encore un peu plus… Nia!!! Bien fait pour toi, espèce de sale bête! L’animal partie en couinant, venant de recevoir un coup de botte plutôt mauvais dans son petit (gros!) corps.
Rrrrrrr…

Comment faire pour détacher ses chaînes? Par la jambe de bois! Il n’y avait rien à faire! Elle n’avait pas de pouvoir sur humain, elle! Sowilo ferma à demi les yeux. Et respira calmement. Que pourrait-elle faire?... Voyons voir. Elle était une elfe, (cette constatation la fit frissonner) et d’habitude ses êtres là avaient un dont avec les animaux non? Sauf que la seule chose qu’il y avait ici c’était de la vermine. Et puis elle venait d’en kicker un… Rah MERDE! Elle tenta tout de même. Quoi? Elle ne sait pas vraiment. Elle venait de perdre sa voix, elle ne connaissait pas la langue de sa race. Mais bon! Miss Mannaz ferma les yeux un instant…

*Réfléchis, réfléchis… Il y a sûrement une solution!*

Ce faire mourir de faim pour attirer l’attention, jamais. Pendant qu’elle cherchait une solution quelconque à son mal, elle ne sentie même pas les poids qui circulait sur ses chaînes, n’y n’entendait le cliquetis suspect d’une clé dans sa serrure. Hmpf. Elle n’eut pas le temps non plus de ramener ses bras devant elle alors que subitement, elle tombait face contre terre! Pouf! Héhé. Paf! Hoho…

« Eurg… »

Seul bruit qui sortie de sa bouche. Le sol était frooooiiiid! Si froid! La remettant à la réalité, elle se retourna, utilisant ses dernières forces pour voir une tonne de petites bêtes descendrent sur les chaînes… Cette vision la jeta dans un sommeil pour le moins bienvenu… et soudain. Pendant ce temps les Rats couinaient un peu. Ce qui attira l’attention des geôliers. Qu’était-ce donc se raffut soudain. Dans son sommeil. La jeune elfe refaisait le même rêve, quoique, cette fois ci. Héhé. Ça gognait! Quoiqu’il en soit. Pendant son sommeil, on la sortie de sa cellule, et l’un des geôliers s’énerva en voyant ses oreilles. On envoya un message au roi, de toute urgence… Les rats avaient disparut, pendant ce temps... On transporta le corps de l'elfe dans un autre endroit. La clé, ainsi que le message, semblaient eux aussi, volatiliser...

Zertyline s'allongat a ses coté la tête sur son torse a l'emplacment du coeur

boom boom boom boom

Le son calme et regulier la calmait quelque peut , il l'avait embrasser mais cela ne celait pas a promesse elle le voulait a ses coté mais il la fuyait constament

boom boom boom boom

S'il te plait Ikar...pourquoi me repousse tu constament pour me faire envie peu aprés.

boom boom boom boom

Elle laissat ses larmes couler sur sa poitrine comme une douloureuse rédemption.

Je...

J'acceptai finalement de lui faire sa promesse. Je lui devait bien cela.

Je te promet de ne plus jamais te repousser... Même si par cette acte je te met en danger. Mais si tu meurs avant moi et que je suis responsable, je m'en voudrai éternellement. Alors fait en sorte que ça n'arrive pas.

La vie reprenait son cours chez les nains. La femme du roi se remettait de sa maladie et le roi retrouvait le sourire peu à peu. Il allait même organiser un festin, en esperant que la guerre ne reprendrait pas pendant celui-ci. Il inviterais Ikar, Bahmérion et relacherais les prisonniers qui étaient arrivé avec eux.

Il repensait encore à tout cela quand un garde entra dans la pièce.

-Mon roi, la meurtrière est une elfe.
-COmment cela est-ce possible?? Une elfe ici... Nous l'aurions su dès son arrivée...
-Mon roi, si c,est le cas, nous risquon d'avoir des elfes sur le dos...Nous devrions peut-être la relacher...
-Ammenez-la moi dans l'heure...J'ai des question ;a lui poser.

L'elfe fut emmené dans l'heure et le roi la ralacha à son grand désarrois. Il ne pouvait pas se permettre d'avoir les orcs et les elfes sur le dos en même temps... La seule question qu'il s'était résigné à lui posé était si elle viendrais à son banquet.

Zertyline se redresat quelque peu et l'embrassat tendrement comme pour le remercier.Un splendide sourire entrouvrait ses lèvres et son coeur battait la chamade.Elle lui prit les main et le retournat sur elle , joyeuse elle voulait faire passer se sentiment comme pour effacer la peur dans les yeux d'Ikar.

Ne craint pas pour moi je n'ai aucune intention de mettre ma vie en danger... mais il me semble que tu sois en danger dans cette confrérie dont tu ne peut te détacher.Ainsi j'ai bien l'intention de profiter de toi avant que tu ne te mette en danger.

Elle lui arrachat un baiser langoureux et lui sourit...zertyline était au anges

Pendant tout ce temps, Ralisto avait évité l'emprisonnement en disant tout simplement son nom. Le roi connaissait la légende qu'un être vivant portant se nom était désigné par les anges pour accomplir de grande chose, ils le laissairent alors partirent. Mais Ralisto avait tout de même perdu la trace de Miya, sa douce. Il ne la trouvait nullepart, elle n'était pas au cachot, il en était sûr. Ne pouvant plus attendre encore, il eu une vision, dans son sommeil, de la part de l'ange qui lui avit conféré ses pouvoirs, de se diriger vers l'est, de passer la mer. Là, il serait sensé trouver un village avec de bonnes recrues potentiels pour la confrérie. Mais sans personnes pour l'accompagner, sans argents, mais surtout sans navire, sa tâche était d'autant plus difficile. Mais il devait trouver un moyen.

(si tu reviens faire du rp pour de bon ralisto, j'espère que tu vas essayer de recruter un peu de monde pour partir à l'aventure ici et n'oublis pas que j'ai une lettre pour toi.)

Elle était couché sur moi. Bien étendu prête à dormir. Je ne savais pas vraiment comment réagir étant donné le fait que mes seule conquêtes, eh bien je ne les aimait pas vraiment. Je savais qu'il fallait la plupart du temps que l'homme fasse le premier pas, mais si je le faisais et que c'était un territoire hostile, je risquais ma peau.

Je m'endormis donc avec la ravissante Zertyline à mes côtés. Il faisait chaud et avant de m'endormir j'enlevai mes vêtements. Ils étaient sales. Je m'en achèterait de nouveau une fois sortit d'ici, car on ne trouvait rien d,autre que des vêtements de nains et c'était trop petit pour moi.

J'essayai de ne pas la réveiller, mais quand je fut torse nu, elle ouvrit les yeux...

On lui avait fait prendre un bain. On l’avait coiffé, on y avait même donné des vêtements… Dans la mesure du possible. Ses cimeterres étaient revenus à leurs places habituelles. Nouvellement sortie des souterrains elle ne pensait même plus au fait que son véritablement nom avait fini par être dévoiler par sa propre personne. Assise sur un rocher, non loin de l’entrer des êtres barbus, touchant ses oreilles comme si un autre bras venait de lui pousser sur la tête. Elles étaient plus sensibles, en tout cas. Sowilo se sentait véloce, mais plutôt bien. Elle n’avait été dans les cachots que trois jours. Mais ça avait été assez pour signer l’arrêt de mort d’un certain nombre de rat et quelques pensées d’une fabuleuse gentille étaient nées dans sa tête, ainsi qu’un plan pour le moins diabolique. Mais passons!

Elle leva les bras et s’étira. Humant l’air avec satisfaction! Qu’il faisait bon de pouvoir sentir autre chose que les lieux humides de ses cachots mal famés! Tien d’ailleurs. Parlant de ses cachots. Elle y avait déposé une partie de ses vives… En guise de remerciement. Certes, elle s’était assurée que personne ne voyait. Autant pour sa fierté que par réelle intention de cacher quelque chose, mais bon! Celle qu’on surnommait anciennement dans certains ports douteux sale sorcière se frotta les mains l’une contre l’autre. Il fallait qu’elle retrouve le blond et l’autre là. Hm. Par où commencer? La ville la plus proche, non, le premier bâtiment qu’elle verrait vers…

Elle se leva et tendit un bras en avant, index pointant le paysage, et tourna sur elle-même.

Là bas! Quel magnifique sens de l’orientation. Elle n’avait aucune idée où se trouvait le nord et le sud ici, alors pour les deux autres direction, c’était foutue, et puis il ne faisait pas nuit, donc oublions le repérage par les étoiles! Laissant parcourir ses doigts sur les manches de ses cimeterres, elle respira encore une fois avec force et, sourire aux lèvres, se mis en marche. Elle commençait à ne plus avoir un certain mal l’aise à marcher sur un sol qui ne tanguait pas. Qu’importe! Elle avait hâte que sa petite aventure se termine. Entre un peuple de nain grincheux et une grande quête pleine de sacrifice et de monstre étrange, elle préférait encore les krakens et les petits navires marchands…

Baluchons contre l’épaule et bonne humeur contagieuse, quand bien même y avait-il une flamme dans le fond de son regard, la demoiselle avança sur le chemin fait de terre et de petits cailloux… avec parfois quelque touffe d’herbe de ci de là. Elle avait l’intention de savoir pourquoi son salut se trouvait en présence de ce cher blondinet. Et puis si ça l’ennuyait, elle n’avait cas … s’insurger. Et pour dire la vérité, elle réussissait énormément ce genre de chose. Et puis pour la peine, elle se vengerait sur quelque chose… Genre. La fille qui traînait proche du blondinet, à croire qu’elle voulait rentrer dans sa tunique. Cette pensée la fit rire énormément. Elle s’imaginait aisément mettre la merde dans cette petite réunion du cœur. Peut importe!

Pour un peu, elle aurait gambadé, mais sans une choppe de bière à la main, c’était impensable! Quoiqu’il en soit… Héhé. La nuit commençait tomber, et la jeune elfe continuait d’avancer Mouahahaha héhéhé !!!

Zertyline s'était endormi sur Ikar et ne s'était reveiller que quand celui-ci s'était dégager de son étreinte pour se déshabiller quelque peut pour la nuit.

Elle ouvrit ces grand yeux et admirat l'homme allonger a son coté.A vrai dire elle n'avait jamais eu le temps de regarder un homme ainsi d'admirer les courbes de son corps et d'écouter son souffle.

Elle tendit un doigt et se mit a carresser doucement le corps de son compagnon gravant en lettre de feu chaque parcelle de sa peau dans son esprit.Par de petite carresse circulaire sa main descendait peu a peu et leur souffle s'accelerait peu a peu...

Mais les question reprirent dans la tête de la petite voleuse...Qui était-il?Que lui voulait-il?Et l'aimait-il?L'aimait-elle d'ailleurs.

Assez se cria t'elle mentalement...elle se refugia avec empressement dans ces bras collat son bassin contre le sien alors que son kimono rouge deja lui denudait outreusement les epaules et la base des seins.

Mes souvenirs s'estompaient. Un lointain sentiment que j'avais déjà été un renard m'envahit, puis je repoussai cette idée stupide. Voir si quelqu'un aurait pu être un renard et devenir un humain par la suite. C'était impossible!!! Je regardais Zertyline tout en me disant qu'elle était plus belle qu'avant. C'est quand elle se colla sur mon corps presque nu, que je sentit qu'elle était celle que j'avais cherché toute ma vie... Ou avais-je déjà aimé?? Non je ne pensais pas avoir déjà aimé.

Puis sans même me rendre compte de ce que je faisais nos âmes ne faisaient plus qu'un et celle qui était devant moi était plus belle que jamais... J'aurais bien voulu lui réciter un poème à l'oreille, mais ce que j'aurais pu lui dire sonnais faux.

Puis un frisson me traversa le dos et je me décidai à lui dire ce qui un instant plus tôt n'était pas de la poésie :

Tel un oiseau de feu, Tu flamblois,
Tel une étoile, Tu m'éblouis.
Comme la rosée du matin, Tu me nois,
Dans une mer infinie,
De douceurs, De nostalgie.

Tu m'ennivre de joie,
Devant toi je suis sans voix...

Je ne savais pas comment y donner suite, mais ma belle avait l'air heureuse. Pour moi c'était magnifique...

Le poême d'Ikar mit fin a toute ces incertitudes.. oui il s'aimait ... elle put enfin aprécier le plaisir de ces sens méler au sien elle sentait les moindre désir d'ikar et l'ennivrait de caresse cherchant une difficile réponse au poême qu'il lui avait murmuré mais les vers ne lui venait pas.

Pour moi tu est la lumiere de la redemption si belle et douce et a la fois si violente et cruelle,
Tu m'est essentiel et pourtant il me serais plus doux de pouvoir me separer de toi.
Que dis-je maintenant tu est ma vie mes yeux et mon coeur ne pourrai battre sans le rythme du tien (kenza fara je présume^^ je suis vraiment nul pour les mot d'amour)

Elle se tut consciente que ces mot était infiniment moins beau que la parfaite tirade de son amant.Elle lui carressat les lèvres et lui sourit tendrement oui elle l'aimait.

Puis vint le moment ou tous les deux, nous nous endormirent. C'est bien tard dans la matinée que je me réveillé, Zertyline encore endormis à mes côtés. Je m'habillai et prenant grand soin de ne pas la réveiller, j'allai chercher le petit déjeuner.

À mon retour elle était réveillé. Sans doute m'avait-elle cherché quelque peu car la couvertur était tassé dans un coin du lit. Je lui sourit et lui apportai le cabaret remplis de victuailles. Des fruits, des gauffres, des croissant et du beurre et même du bacon.

Je pris mes allures de poète et je dis ces mots :

Ma belle est éveillée,
Pour elle j'apporte à manger...

Elle me sourit... Si j'avais quelques souvenirs de ma vie de renard, je me serais rappelé de la lettre, mais tel n'était pas le cas. Je ne me souvenait de rien.

Aussi mangeais-je avec Zertyline et me recouchai par la suite. La nuit avait été courte pour nous deux...

Zertyline venait de se reveiler quand elle s'aperçut qu'Ikar avait encore déserter... rageuse elle fouillat la chambre de fond en comble sans rien trouver d'intérréssant et elle se rassit sur le lit plus énerve que jamais...il avait failli a sa promesse.

A se moment là , la porte de la chambre s'oouvrit laissant place à Ikar portant un immense plateau de nourriture qu'elle posat devant sa belle.

Zertyline sourit mais ne fit pas de reflexion , elle s'était fait un sang d'encre pour rien , elle n'avait pas a le blamer vut que s'était de sa seule faute.

Il mangèrent en silence les mots , n'ayant pas leur place dans ce petit bout de paradis et Ikar se rendormit.

Zertyline elle n'avait plus besoin de sommeil et se mit a masser tendrement le dos de son amant.Elle ne ferait aucun effort pour sortir de cette chambre ce qui reviendrait surement a se séparé une nouvelle fois de lui , elle le savait trés bien.

-Je crois que nous devrions partir d'ici. Cet endroit n'est pas une place pour nous...

Je ne dormais pas vraiment. J'écoutais le silence. Une autre de mes métaphore stupide... Et non, le sommeil ne vint pas malgrés ma fatigue.

Il me semblait que j'oubliais quelque chose d'important. Une lettre ou quelque chose comme ça. Tant pis. De toute façon, tout ce qui comptais maintenant pour moic'était Zertyline. L'amour de ma vie.

Zertyline sursauta de surprise quand Ikar lui parla... il avait un belle voix, une voix de jeune homme , par encore aggravie par le temps.

Il fallait partir elle l'avait préssentit,elle avait peur de le perdre mais en même temps elle ne pouvait resister a partir avec lui loin de cette chambre d'auberge miteuse.

Elle se relevat effleurant son epaule muscler et commençat à s'habiller..elle était encore nu.

Ses sous vétement passé elle se retournat vers ikar assit sur le lit.

Oui il nous faut partir...autrement je ne pourai te montrer se que je vaut au combat...

Et elle lui sourit légèrement moqueuse..elle savait qu'il avait peur pour elle.

-Il vaut mieux pour toi être bonne au combat, autrement je devrai te surveiller jour et nuit, rétorquais-je en souriant.

Je préparai mes affaires et tombai sur une lettre ouverte. C'était question de messagers, de terre...

-Qu'est-ce que c'est que ça, demandais-je surpris de trouver une telle lettre ici.

Ma belle avait l'air déconcerté. Comme si je devais savoir qu'est-ce que c'était. C'était étrange...

Zertyline se retournat d'un coup lorsque Ikar se demandat tout haut ce qu'était la lettre du messager qui lui était apparut come primordial quelque heure auparavant.

Tu ne va pas me dire que tu ne sais pas se que c'est ? Tu te moque de moi , ou alors il va falloir que je pense a arreter de t'embrasser sinon tu va oublier qui je suis.

Elle lui prit la lettre des mains et la regardat.

Non c'est bien celle la.... tu ne te souviens vraiment pas?

-Devrais-je me souvenir d'une telle lettre, dis-je très sérieusement. Je ne comprend pas ce que tu veux dire Zertyline. T'appartient-elle?? Si ce n'est pas le cas jettons la. une telle lettre pourrait nous mettre en danger.

J'approchai la lettre d'une chandelle et attendit qu'elle prenne feu. J'avais le sentiment de connaître l'écriture, mais ce n'était pas les cas. Ce Denardo devrait aller s'amuser sans moi.

-Ou devrais-je la garder??

Arrette sa tout de suite...cette lettre est de toute premiere importance...enfin elle le semblait pour toi hier du moins.

Elle lui prit la lettre des mains et resistais a l'envie de la déchirer , sortant ainsi Ikar de ces obligations envers la guilde.

Il fut un temps pas si lointain que sa ou elle laurai surement fait la loyauté d'Ikar avait quelque peut déteint sur elle et la noble cause de la guise touchait se qui restait au fond d'elle de bonté.

Nous devont remettre cette lettre a un certain dimitri pour qu'il devienne un messager ou quelque chose du genre de la confrérie du renard.Nous devons le trouver rapidement car il est vrai que le port de cette lettre est pour nous un danger.Le probleme s'est que je ne sais qui est ce Dimitri.Tu t'en souviens?

Elle restat muette par la suite , une coté angélique avait triompher en elle et sa nature même sans retrouvait quelque peu changer.

-Je sais qui est Dimitri... Je crois que c,est l'elfe qui nous accompagnait l'autre jour... J'ai une meilleur idée que de lui remettre en main propre.

Je fermer la lettre et fit couler un peu de cire pour bien la refermer. Je sortit de la chambre suivit de Zertyline et alla trouver l'aubergiste.

-Pouvez-vous remettre cette lettre à un certain Dimitri. Je crois qu'il passera ici un jour ou l'autre.

tout en disant cela je sortit quelques pièce d'argent et de cuivre de ma poche et lui tendit en même temps que la lettre. Il y avait plus d'argent la-dedans que pour la nuit passé et les repas.

-Mais bien sur jeune seigneur, il me fera plaisir de lui livrer cette lettre en main propre s'il le faut, dit-il en voyant la couleur de l,argent.

Maintenant il nous fallait partir. Je fonçai vers la porte de sortie et moins de deux heure plus tard nous fûmes à l'extérieur des mines. Il y avait un chemin plus court que celui emprunté récemment. Ce chemin-ci par contre ammenais au montagnes infinies et non à Valérian.

Zertyline suivait Ikar qui s'était débarrasser assez dangereusement de la tache dont il dvait s'aquiter elle n'était pas tout a fait sur qu'il se rapellais de l'importance de la lettre.

Mais elle le laissat faire sans savoir ou il voulait l'amener...se souvenais t'il de la confrérie et même de la topographie de la vile naine.

Elle le suivit deux heures durant alors qu'il l'amenait vers les montagnes , même s'il allait assez vite elle n'était pas essouflée, ces montagnes , le lieux de son enfances lui était familières et elle reperat d'un coup d'oeil le glacier qui lui permettait de se reperer lorsque elle était gamine.

Elle priait en elle qu'il ne passerait pas par les ruine de l'auberge familial...de trop mauvais souvenir y était rattaché.

Ralisto ne trouvait pas un seul capitaine de navire, les nains n'avait jamais été réputé pour des navires, se dit-il. Alors il se dirigea vers le seul endroit ou un étranger de cette ville qui pour avoir un bateau être; l'auberge. Il fut frapper de voir qu'il n'y avait que des nains, décidément, cette ville n'était pas très touristique, il n'avait même pas vut d'elf dans le coin. Quand l'aubergiste vit qu'il était un elf, il vint à sa rencontre et demanda si il se nommait Dimitri. Ralisto rétorqua que oui et reçu une lettre. La lettre disait qu'il était officielement maintenant, le messager de la guilde du renard. C'est alors qu'il réalisa la tâche importante qu'il avait dans ce monde. Il se dit ensuite que s'il ne pouvait traverser le lac, il devrait le contourner. Il partit alors à la marche.