Séjour chez les nains

Je voulu protester quand j'apperçut Zertyline se faire ammener mais je ne pouvait rien sans mes armes. Je promettais par contre de venger tout sévisme qui sera comis envers elle.

On nous emmena dans la prison et nous fûme séparé. Le vieux fut mit dans ma cellule et le barbare et l'autre femme dans une autre.

-Il faut trouver un moyen de partir ou de faire valoir notre liberté.Avez-vous quelque chose à proposer??

tout le monde dans les montagne infinies pour la continuation de l'histoire

Bahmérion n'avait tenté aucune résistance lors de sa capture mais il aurait pu aisément partir, mais il lui fallait absolument aidé ses nouveaux compagnons. alors qu'il était accoté au fond de la grotte d'ikar et que celui-ci lui disait qu'il fallait trouver un moyen de sortir le prêtre de dyr répliquas:

-Il te faut pour cela découvrir le point faible des barreaux, maitre renard, cela est la clé qui te permettras de sortir des entrailles des donjon des monts infinies

Il resta debout et attendit de voir ce qu'allait faire le jeune de la confrérie du renard.

**Nous verrons bien ce qu'il vaut*
il sourias mystérieusement.

Je sourit. La réponse était simple, mais ce n'était sans doute pas ce que le mage espérait. Une sorte de chaîne mal accroché à une couchette servirait. Je l'enroulai sur ma poitrine et alertai les garde sans prévenir mon compagnons de mes plans.

-Garde, Garde... Le prètre est malade, si vous le laisser ici il va tous nous contaminer. Sortez le vite!!!

Trois gardes arrivèrent aussi vite que possible. Ils n'étaient que trois de gardes... Lorsque les garde débarènt la porte deux entrèrent.

-Heu... Désolé, je parlais dans mon sommeil...

Quand les nains furent partie rouge de colère, je savais qu'il n'y avais que trois soldat de garde dans le cachot. S'il me fallait m'enfuir se serait facile.

-Désolé, mais il fallait que je vois combien ils étaient si le pire arrivait et qu'il nous fallait nous enfuir. Je ne veux pas m'enfuir tout de suite. Il faut que je sois jugé non-coupable lorsque nous parraîtrons devant les magistrat. Je n'ai pas d'autre choix si je veux les aider à combattre au prochain assaut. avez-vous vu les cadavre qu'ils jetaient dans les fosses??
Il y avait des centaines d'orque et de Goblins et cela sans parler des humains. Je suis sur qu'il y aura un prochain assaut et je veut faire partie de la déffense...

J'allais m'asseoir quand je repensai à ce que le mage venait de dire. Il m'avait appelé maître Renard...

-Com...Comment savez-vous qui je suis??

Le prêtre s'approcha de lui et fit mine de s'assoir:

-Lorsque je vous ai vu pour la première fois, je ne vous ai pas reconnue mais à mesure que je voyais plus clair en vous, j'ai finis par découvrir que vous étiez en fait celui que je cherchais.Il est écris dans les astres que nous devons faire route ensemble, Saarn...

Il s'avanças vers l'emplacement des barreaux:

-...Ma magie s'arrête malheureusement là, je ne peux pas savoir combien de temp encore devrai-je faire route avec vous...

Il se tut à ce moment.À près quelques secondes de silence qu'il avait installé dans la place, le haut prêtre de Dyr reprit, en se retournant vers Ikar, le regardant cette fois droit dans les yeux:

-Savez-vous que je prend beaucoup de risques en faisant route avec vous?

Un commis arriva devant les deux premier prisonnier et dit d'un voix grave :
Dites vos nom et âge. Ensuite vous serez ammenez chacun votre tour devant les magistrats qui décideront de votre sort. Si vous connaissez quelqu'un dans cette ville ou qui y a déjà habité vous devez le signaler maintenant. Le reste des question vous sera poser devant les magistrats. Si vous êtes jugé coupable, vous serez emprisonné à vie ou pendu dans la place publique. Essayer d'être cohérent.

Le commis attendit les réponses puis partit demander les même chose aux deux autres.

Saarn n'est plus...

Je n'eut pas le temps de rajouter quelques chose qu'un commis vint nous parler. Je répondis que mon nom était Ikar et que j'avais 21ans. Je ne pouvait pas faire mieux.

Le prêtre s'avança, il sembalit calme, mais se fut d'une vois très grave, signe que quelque chose ne faisait pas son affaire, il sembla tout à coup grandir comem si une force l,avait soudain prise:

-Je suis Bahmérion, le prêtre blanc de ses terres et mon âge est tellement vénérable que même les plus agé d'entre vous se rappele de moi comme d'un vieillard!!!Au nom de la patrie, je vous ordonne de me libérez, ou je le ferais par moi-même!

Le prêtre redevint alors le même vieillard courbé.Mais on voyait très bien a la lueur de ses yeux qu'il allait invoquer quelque chose pour se libéré si la situation continuait ainsi.

Un autre soupir de la part de la pirate vint foutre un autre raser de frustration au nain qui gardait sa cellule. Ayant été plutôt récalcitrante à rentrer dans celle-ci, on lui avait coltiner deux gardes. Résultat. Elle ne pouvait même pas user de ses talents pour ce sortir de la cage. Après tout. Tout bon pirate qui se respecte connaît la majorité des trucs qu’il faut savoir pour se sortir de ce genre de situation. Évitant ainsi la potence une bonne dizaine de fois. Sa puait… Le nain. Elle renifla de dégoût. Un bon gros renfilage bien gras. Qui fini de les mettre en rogne pour de bon. Aux derniers signes de provocations. Il viendrait probablement la battre. C’est sûr cela qu’elle comptait pour l’instant. En attendait. Elle repensait à tout ce qui avait bien put se passer alors qu’ils étaient encore dans les grottes. Sérieusement, la terre ferme, sa craignait. Même pas une semaine qu’elle y avait posé les pieds et déjà elle se retrouvait dans un peuple de nain renfrogner et passablement frustrer pour une raison qu’elle ne connaissait pas. Elle souleva un sourcil. Trois ou quatre nouveaux, elle ne savait plus, c’était joint au groupe. Et pour finir où? Dans une cellule. Une bonne vieille cellule crasseuse. Elle hésita à s’enfuir toute seule et les laissés se faire noyer dans une marre d’odeur bien répugnantes, mais en y pensant bien. Ça n’aurait pas été assez amusant et de deux elle avait besoin de gens qui connaissaient la terre et au seigneur, l’endroit où il y aurait un port!!! Oui! Un port! Qu’elle remette les pieds sur un bon vieux bateau bien propre avec les autres mécréants de la mer…

M’enfin. On lui avait enlevé ses cimeterres… Mais elle avait encore ses dagues. Si elle réussissait à enlever l‘home des nains. Possible qu’elle pourrait les égorgés sans problème. Au pire… crever les yeux. Elle ne savait pas trop quoi choisir. Elle se gratta la nuque un instant et fini par se lever. Après tout. Elle était femme. Elle ce savait pas trop moche… Peut être qu’elle pourrait user de ses charmes. M’enfin…

« Hey… les enfants... »

Elle avait les mains dans le dos. Deux dagues attendent gentiment le moment opportun pour faire couler du sang de nain. Sales petits être poilus et trapus… Elle ravala son sourire en voyant les deux gardes se tourner, l’air énerver, vers elle… Ils ne s’attendaient quand même pas à la vision que leurs offrait la pirate. Après tout. Étant une elfe, chose qu’elle ne savait pas mais bon, elle n’avait pas échappé à certaine règle…d’envoûtement naturel. Et puis, elle savait quand même faire appelle à son charme, requin!

Ses yeux verts semblaient prendre un réel plaisir à regarder les deux êtres quels trouvaient dégoûtants ouvrir la porte de sa prison. Hésitant entre frapper ou violer. M’enfin… De toute manière. Ce fut futile. Une fois la porte ouverte, la pirate recula dans le fonde de sa cellule. Et les deux personnages en firent de même… La chose qu’ils ne s’attendaient pas, en enlevant leurs leur home, ce fut de ce faire transpercer la peau aussi rapidement. Créer des conflits entre pays? PFff! Elle n’en avait rien à faire! Elle n’appartenait à rien! Rien de rien… Pourtant elle entendait des pas s’approcher. Rapidement, et avec difficultés faut le dire. Elle mit les deux gardes dans l’ombre de la prison. Invisible. Et ferma la porte.

Le nom et son âge qu’on lui demandait… Eh… eh… que dire que dire? La vérité? Non. Trop facile!

« Marine. 20 ans. »

La personne repartie… Sauf qu’elle avait bien lut, en tout cas dans la mesure où elle savait un peu lire. Le nom de ses compagnons du moment… ils étaient donc sur sa gauche. Intéressant. Calmement. Constatant qu’il n’y avait plus d’Activité dans le secteur. Elle prit les clés des nains et sortie de sa cellule, rangeant ses dagues encore tacher de sang. Et barra à clé…Alors… où était toute cette joyeuse bande… Elle partie à marcher. Aux aguets…

Les garde étaient éberlué de la grandeur du mage. Il avait l'air du bon côté, mais que décider??? Une des gardes s'approcha de la cellule et la débarras rapidement.

-Nous... Nous pouvons vous faire rencontrer le roi, mais votre ami doit rester. Si vous essayer de fuir vous serez vite ratrapper et tuer alors je vous conseille de convaincre le roi que vous êtes de amis.
-Oui, oui comme il dit, c,est bien vrai ça!!!

Il ne restait plus qu'èa attendre la réaction des prisonniers, ou du moins celle du mage.

Vous devez m'emmener voir le roi. Si vous connaissez la confrérie du renard vous devez le faire èa tout prix.

Les nains étaient ébranlé. Un mage qui se fait grand et un homme connaissant la confrérie du renard. C'était un peu trop pour eux. Ils acceptèrent finalement de m'emmener avec eux mais poings liés.

Je trouvais le château bien vaste pour un palais de nains. Probablement qu'il y avait des nobles humains qui y venaient à l'occasion...

Trois garde entrèrent dans la salle du trône avec deux prisonniers. Le roi se leva furieusement, mais sa colèere s'appaisa comme par enchantement. Les prisonniers avaient dans doute quelque chose d'important èa lui dire sinon les gardes ne les aurait pas emmenés ici.

-Parlez au nom de dieux.
-Les sires que voilà voulaient vous parler à tout prix mon roi...
-Ça c'est bien vrai, mon roi, ils voulaient vous parler...

Le roi les fit avancer d'un geste de la mains puis leur donna la parole.

Pendant qu'une partie de ses comagnons se préparait a être juger et que l'autre partie allait endr une importune visite au roi des nain zertyline elle s'était vu enfermer dans une sombre pièce cotoyante la chambre de son enleveur.

Elle savait trés bien se qui allais se passer.Elle en connaissait déja tout les détail.Elle allais être trés bien nourri... bien habillé mais les naines allais la regarder de travers et lui faire subir mille tortures cachées.Elle était bien plus belle et attirante qu'elles et c(était pour cela que le nain l'avait prit avec elle.

Elle savait aussi que quand le soleil se coucherait elle se retrouverait forcée à exciter les désir de cette être informe et à se soumettre a ces perverses volontées.

Mais cette créatures la protegerait tant qu'elle jouerait son role... ce qui , toutefois, ne l'empecherait nullment d'exercer sur elle de multiple violence.

On avait déposée pour elle des vétements nain.Mais elle ne les mettrait pas.les naines l'espionait continuelement et elle cacahit encore dans ses vétement qu'elle dague et une fiole d'acide.

Elle ne pouvait s'échapper pour le moment...Il lui fallait attendre.. se soir.

Gurdil arrive enfin chez le rois des nain, après plusieurs heurs de marche de Valérians jusqu'a ici. Les retrouvaille avec son vieille amis fur belle a voir, en effet, Gurdil connaissait personnellement le roi des nains, il était vraiment de bon amis tout les deux. Mais le rois n'avait pas vraiment le temps de parler, il était préoccuper par cette citée qui tombait en ruine, et il avait une affaire a régler avec un prisonnier qui voulait lui parler.

Un prisonnier veut te parler dit-tu ?? Ce n'est pas grave, je t'accompagne, comme ça quand tu aura terminer on pourras discuter...

Le roi acceptât volontiers, Gurdil,attendait donc a ses coté, le prisonnier.Quand celui-ci arriva, le rois fut assez autoritaire, Gurdil laissa faire...

le prêtre riait sous cape.Il avait peut être menti, mais c'était pour une bonne cause.On les amneas tout les deux au roi.Le prêtre utilisa les révérence traditionnelle dédié au gens de la haute cour et laissa ensuite Saarn parlé, c'était a son tour de se montré a la hauteur de la situation.

Je faisais presque les même gestes que le mage sans toutefois l'imiter car je les connaissait...

-La confrérie du renard est en perdition, mon roi. Nous avons besoins de votre aide. Faites venir Dimitri sans toutefois lui dire que c'est moi qui l,ai fait venir. Il vous expliquera le tout. Pour ce qui est de la guerre, personnelement je peux être très utile, j'ai servit dans l'armée pendant longtemps et il est clair que je serais presque roi à l'heure qu'il est si je ne serais pas partit.

Je remarquai le nain à côté du roi. Celui-ci était le nain qui avait voulu me voler quelques semaines auparavant. Je lui pardonnais ce geste. je lui avait pardonné avant même que j,ai quitté l'auberge!!!

Depuis bien cinq minute, ses yeux en forment de cœur pulsaient sous la vision d’une salle d’arme. Parfaitement. Mais une salle d’arme… confisquer! Que de bonheur! À voir tout ce qu’il y avait là dedans, elle aurait put ce faire une fortune. Il y avait même des armes qui à cette époque, n’existaient mêmes plus. De vieilles épées comme on en trouvait avec les trésors. De vieilles arbalètes. Des espèces de boules avec des pics, retenus par une chaîne... La force et la précision devaient sans doute être des points marquant pour la magner! Un frisson la parcouru des pieds à la tête quand elle aperçu enfin ce qu’elle cherchait. Ses cimeterres. Ah!!! Ces joyeux cimeterres. Nombreuses étaient les vies qui avaient succombé à ceux-ci ! Hum! Elle sortie le trousseau de clé qu’elle avait voler au nain, espérant avoir au moins celle de ce merveilleux endroit. Il fallait qu’un jour, elle débarque avec toute la cargaison de pirate, ici! Ses mains essayaient les clés pendant se temps, Frénétiquement. Pas de nain en vue. Étrange. Ils devaient avoir trop confiance de leurs systèmes! Ha! Bande de vieille botte!

Hooo… était-ce un déclic qu’y se faisait entendre, agréable, signe de victoire, doux son! Rarr! Un rire ne put s’empêcher de sortir de sa gorge. Ressemblant vaguement à celui d’une vieille sorcière toute défraîchis. Étrange comme contraste avec l’allure de la pirate, mais bon! Aucune importance! La jeune elfe rentra dans la salle… enfin, la tête. Personne… vraiment? Elle doutait que l’endroit fut si simplement abandonné de la sorte. C’était impossible. Soit les nains étaient plus niais que le disait les croyances populaires, soit il y avait des pièges… Ah ben vi! Des pièges. Elle regarda au sol… Ehhhhhhh. Encore heureuse qu’elle n’y est pas poser le pied, hein! Il y avait bien de joli pic bien droit qui attendait que quelqu’un s’empale. Y devait donc avait un système pour qu’elle y tombe… Une corde? Un fil? Elle s’accroupie et sortie l’une de ses dagues encre tacher de sang. Passant tranquillement tout le sol de l’entrer à partir de la « porte ». Rien. Ah si… Le plancher semblait plus luisant. De l’eau? De l’huile? De la poix? Ho… Hum. Elle ne voulait pas savoir. En y réfléchissant bien….

Sauf que ces armes étaient dans le fond. -_-… Quand il fallait il fallait… Elle prit une grande respiration et effectua l’une des seules acrobaties qu’elle avait dans son répertoire. Elle s’élança en avant, son corps passant au dessus des pics, elle atterrit sur les mains, mais retourna dans les airs un instant. Ouf! Enfin sur ses pieds. Pas de mal. Elle n’avait rien sentie… Pas d’égratignure. Pas de brûlure. Pas de coupure et tout ce qui tu voudras, et en plus, elle n’avait fait aucun bruit. Vive la nature elfique qu’elle ne se connaissait pas.

Ayant ranger sa dague. Elle s’approcha de ses cimeterres adorés. Sa ceinture y était encore. Elle ne se fit pas prier pour remettre tout ça en place. Retrouver la lourdeur contre ses hanches à cause de ses armes lui donnaient un léger sentiment de supériorité tout à coup… Mouahahaha héhéhéhé!

Elle tapa dans ses mains. Sowilo sortie de la salle d’arme avec une certaine joie… Directement vers les cellules maintenant. Elle était peut être pirate, mais savait reconnaître des alliés parfois! En marche donc… Libérons les gens! Plus sa marche avançait, plus il y avait de nain à l’horizon. Malheur… pas tant que ça! Elle se mit à courir dans le premier couloir. Les nains la voyaient passer mais prenaient un temps fou à se mettre en marche, il lui semblait. Ce n’était pas des nains de combat, qui plus est. Il était garde et l’endroit, prospère habituellement. Ne demandait pas tant de travail… Les couloirs suivants furent plus difficiles à traverser. Plus le niveau montait, plus les gardes étaient expérimentés. Elle fini par reconnaître sa propre cellule. L’une des seules vides… Malheureusement. On fini par l’attraper, elle eut juste le temps de lancer les clés dans une cage toute proche sans ce faire voir. Elle se débattait. Mais les nains étaient plus fort qu’elle. Ça c’était prévisible. Ce qu’il n’avait sans doute pas prévus. C’était l’énergie qu’elle y mettait! Na! Et puis sans doute pas non plus le fait qu’un trousseau de clés parcourait maintenant les prisons, le chahut qu’elle provoquait attirant l’attention de tous les gardes alentours… Les prisonniers allaient pouvoir s’évader… Mais elle, qu’est-ce que son avenir lui réservait?! Les jambes dans les airs, les nains ne semblaient pourtant pas avoir le moindre mal à la faire revenir à la terre ferme.

« Ah Tait-toi Sale sorcière! »

Sowilo hurlait et riait en même temps. Spectacle assez suspect puisque personne ne comprenait vraiment, parmi les nains, ce qui provoquait une telle réaction. On lui envoya un poing armé de gang métallique à la gueule. La pirate cracha du sang, mais n’arrêta pas son manège… D’après ce qu’elle entendait du baratin autour. Des nains étaient partie avertir le roi que l’un des prisonniers d’aujourd’hui avait réussit par le plus grand es hasard à s’échapper… On lui envoya une gauche. Une droite. Un bourdonnement envahie ses oreilles. Faut dire, les gants n’aidaient pas vraiment. N’étant sans doute plus très belle à voir pour l’instant. Comme pour les narguer, elle ce mit à hurler… mais hurler… d’une t-elle sortie! Et puis l’endroit avait de l’écho… Jusqu’où l’entendrait-on?

Gurdil restait debout a coter du trône, il jetas un coup d'œil ver le rois... celui-ci semblait intéresser pas les mot du condamner.

**La confrérie du maître renard... j'entent beaucoup ce nom depuis que j'arpente les régions... étrange, je me demande ce que c'est... le rois ne m'en a jamais parler.**

Gurdil se gratta la barbe en repensant a ce nom, il attendait la réponse du roi envers le prisonnier

Le roi prit de nouveau la parole :

-Je vous libère de tous les actes que vous avez pu commettre envers les nains. Si vous voulez participer a la prochaine guerre Grand bien vous fasse... J'aimerais maintenant m'entretenir avec le prètre seul à seul...

Voyant Gurdil le roi dit : Gurdil, mon viel ami, tu peux rester.

_______________________________________________-

Le garde qui avait emmener Zaria était fou de raage ce soir là. Il s'était vu démettre de ses fonction d'officier car il avait provoqué un bataille générale, causant la mort de deux nains innocents. C'était pas sa faute après tous si on les avait tué...

En rentrant son allure changea et il redevint très calme. Il vit Zertyline qui préparait le souper et qui avait l'air triste et pensive. Le garde décida finalement de la relâcher. Seule bonne action qu'il ferait dans sa vie car après cela, il deviendrait meurtrier et serait pendu quelques mois plus tard.

Gurdil s'avança ver l'ancien prisonnier.

Bravos, vous-vous en êtes bien sortit ! mais dite mois qu'elle est donc cette confrérie dont j'ai si entendue parler ?

**Le rois a l'aire presser, je me demande ce qu'il a...**

Sauf votre respect messire nain, vous demandrez des détails à Dimitri lorsque vous l'aurez fait venir. Je n'ai pas à dévoiler ce que je promet de ne pas dévoiler. Si votre meilleur ami vous confiais un secret, le révéleriez-vous???

Je partit voir la milice et les soldats, laissant le roi et le mage en tête-à-tête.

hem.. en effet je me tairais aussi.

Répondit Gurdil a l'ancien condamner.Il le regardat quitter la salle sous l'ordre du roi, revint ver le trône et s'assit sur une sorte de gros pouf qui se trouvait a coter de celui-ci

**je me demande ce qu'il veut a ce mage...**

Le roi ammena le mage dans une salle ou on leurs servit un repas. Gurdil suivait toujours...

-Savez-vous si les autres sont dignes de confiance Messire?? en m'adressant au mage??

C'est à ce moment qu'un garde entra et vint dire au roi que la pirate avait tué des garde et qu'on l'avait remis au cachot. On l'informa aussi qu'elle était venu avec le groupe du mage.

-Connaissiez vous une certaine Marine??? Je crois qu'elles à causé du tort à des nains.

Le prêtre de la neutralité pouvait difficilement répondre a cette question.Il ne savait pas trop trop comment réagir à la situation puisqu'il ne connaissait pas cet elfe, mais quoi qu'il en soit, elle avait tué d'autre individus, ce qui était inaceptable:

-Laissez-moi allé la questionné sur ses actes, peut être pourrais-je lui faire entendre raison pour s'allié a votre cause, sinon je crain sque vous serez obliger de la laisser là jusquas sa mort.

Bahmérion ne mangea rien du repas.Il attendait la réponse du roi des nain avec impatience.

-Sachez par-contre que je ne participerais pas à cette guerre, ma place est a l'hopital a soigné et non au milieux d'une grande bataille, je liasse cel apour les plus jeunes et plus vigoureux que moi

-Je comprend... Si je puis me permettre... Je... Mon conseiller est mort depuis quelques mois et mes murs tombent en ruine. J,aurais grandement besoins de soutien et je crains que Gurdil ne soit pas celui qu'il me faut... Pensez-y avant de refuser. ne serait-ce que pour quelques jours. Vous serez nourrit et loger comme un roi!!!

Le roi regarda la mage tristement. Il n'y avais pas que ça. Sa femme était mourrante depuis quelque jours et elle allait bientôt mourir. Il n,en dit rien, mais il savait que le mage pourrait aussi l'aider sur ce point...

Je me promenais dans la rue, quand je vit Zertyline. Elle me parraissait un peu fatigué, mais en bonne santé. Je courru la voir et la prit dans mes bras. Je me dirigeai vers l'auberge la plus proche et fit mon entré. je déposai Zertyline et allai voir l'aubergiste.

-Deux chambres pour une nuit aubergistes..

Je jetai un regard vers Zertyline qui me regardais étrangement...