Séjour chez les nains

confortablement assis dans la chaise du nain, Bahmérion réfléchissait.Il n e recherchait pas à être logé et nourri comme un roi, sa place était seul, quelque part à soigné les gens et à aidé Ikar.

Cependant, si Ikar restait quelque temp lui aussi, il pouvait peut être aidé le nain, mais ses priorité allait cependant au maitre renard.

Après plusieurs nouvelle minutes de silence dans lequel le prêtre réfléchissait, Bahmérion prit finalement la parole:

-Dyr m'as parlé alors que vous prononcié ses paroles il m'as dit:

"de suivre le destin,
de celui pour lequel je le joue...

et de ne pas négliger les bonne choses de ce voyage"

donc, je ne vous négligerait pas, mon cher bon monsieur, mais si Ikar vient à partir, je me verrais contraint de le suivre...J'aiderais cependant votre femme dans les plus bref délais, dites-moi ou je peux la trouvé, j'irais ensuite parlé à cette jeune fille qui ose prétendre à sortir de vos donjon!

Il se redressa soudain, attendant que le nain lui donne la direction à suivre.

Les naines s'éatit lassé de me voir tourner en rond dna sma cellule...Je pouvais en profiter.La fiole d'acide en main j'en déposait quelque goutte a la base des barreau qui formait ma seule fenètre.Il n'étaent pas trés haut et pour cause on était dans une cité naine.

Enfin dehors je respirais un grand coup et me mit a courir loin de cette maison maudite.Un coup de fatigue me pri rapidement.Cela faisait lomptemg que je n'avais ni mangée ni dormis.

Je ne savais plus ou aller, que faire.Cet Ikar qui encore une fois vint troubler ma solitude.Me voyant exténuer il me prit délicatement dans ces bras.
Combien de temps avait passée depuis qu'un homme eu osez faire ce geste et avait t'il survécut lomptemg aprés.

Mais cet homme la était différent...d'ailleur ce n'était pas un homme.Je me laissais aller contre lui et mon oreille contre sa poitrine me laissait entendre les battement de son coeur.

Peu de temps aprés il me deposat sur un banc dans une auberge et partit vers le patron.Pourquoi m'vaait t'il encore une fois laisser seul.Ces questions tournant dans ma tête je partitdans le vague...exténuer

....Ikar....

Gurdil ne comprenait rien.. il etait perdue, aprés plusieur année sans mettre un pied dans les région,il avait du mal. il antendait que le roi reponde au mage pour lui demander ce qu'il se passait exactement.

**Une guerre ? Quelle guerre ? **

Je revint vers Zaria avec deux clés. Je la reprit dans mes bras et l'ammenai à sa chambre. Une belle petite chambre avec un lit humain amménagé pour les voyageurs. Je la déposai doucement et retournai chercher un repas.

Je déposai le repas sur la table de chevet et embrassai Zertyline, puis m'en allai. Il me restait des chose à faire. Entre autre aller voir Dimitri et les autres puis aller proposer mon aide aux soldats.

Zertyline se relevat... de trés mauvaise humeur ... son coté démoniaque reprenait ses droits.

Elle mangea sans plus de compassion le repas apporté par Ikar.Mais elle avait soif de sang et de vengeance.Seulement maintenant se désir pervers était tourner vers un but précis... retourner dans les bras d'Ikar.

Elle voulait tout d'abord savoir qu'elle était cette confrérie de renard...elle sentait que c'était pour ce groupe qu'Ikar la délaissait.

Elle remarquat un parchemin au pied de son lit...on ne l'avait pas laisser la volontairement la voleuse cru plutot qu'il était tombé inoportunément.

Elle l'ouvrit et lut:

Le porteur de cette lettre est légitimement messager de la confrérie. S'il ne répond pas à son devoir il se verra démis de ses fonctions et retourné auprés des siens. Il n'aura son titre de noblesse et n'auras pas les terres promises par la confrérie.

Cion Denardo

Son désir de savoir s'excitait de plus belle... elle sortit de la chambre en hate pour se rendre en ville.Le parchemin la protegerait mais elle voulait savoir.

Il faisait noir… Tout noir. Aucun son ne venait à son cachot. On l’affait enfermé dans un endroit clos. À peine un trop dans la porte laissait-il passer de l’air, que le couinement des rats n’arrivait pas à traverser la pierre. Attacher au mur, les cheveux pendants, la jeune elfe se voyait confronter à un problème majeur… Sans doute les autres prisonniers étaient-ils partie, ce souciant peu de la personne qui leurs avaient permis de ce libérer, alors que la dite personne, enchaîner, avant une envie énorme de prendre un bain… et de sortir d’ici. Couper de son élément. La mer était loin… Elle le sentait. Elle ne voulait pas mourir ici, son devoir, c’était de finir dans les profondeurs de cette grande étendu d’eau, infini et bien plus puissante qu’on ne le croit… avec les autres… Aucune larme ne coula sur la joue de la jeune femme, pourtant cela lui aurait enlevé, si minime fuse, une légère couche de crasse. Peu ragoûtant. On la nourrissait, elle en était sûr, avec des restes. Hum! Pourtant elle refusait de mourir, que ce soit de faim, de soif, ou simplement par désespoir. Son destin n’était pas ici!!!

Elle ne savait pas combien de temps elle était là. Sowilo avait perdu la mesure du temps aussi facilement que le manque de sa cellule lui empoisonnait la vision de nain infâme. La pirate serra les dents. On ne l’aura pas!!! Pas si facilement! JAMAIS! Elle tira sur ses chaînes de frustration mais ne réussi cas faire de l’écho avec le fond métallique qui en ressortait. Bande de bâtard. Probablement que la joyeuse compagnie avec laquelle elle était partie sans rien demander l’avait abandonner, elle aussi! Hmpf!!! Même les pirates n’étaient pas aussi lâches!
Elle cracha à terre. Fâcher, frustrer, fatiguer… Sa respiration sifflait. Sa gorge la brûlait. Elle ne plia pas sous la douleur. C’est en criant ainsi qu’elle avait réveillé cette irritation. Grognant comme un fauve pris au piège, elle leva le regard, quand bien même que sa tête, pencher vers le sol, semblait trop lourde pour elle, et regarda par le trou de la porte… Rien. Même pas un filet de lumière, à peine l’ombre qui démontrait le vacillement d’une flamme. Qu’arriverait-il si elle criait? Probablement rien. Elle était seule… il n’y avait aucune présence l’autre côté. Elle le sentait…

Aucune larme… Jamais. Elle passa une langue sur ses lèvres craquelées, alors que ses cheveux, pendant de chaque côté de son visage, semblaient lui faire un mur provisoire contre ses malheurs. Hum. Le monde terrestre était vraiment répugnant, autant que ceux qui foulaient la terre de leurs pieds… si petits pieds… ses mains glissèrent sur ses chaînes, les remontent lentement alors qu’une rage sourde pulsait dans son corps tout entier. Elle sentait une légère douleur au niveau de ses oreilles, sur les pointes rondes, comme si quelque chose poussait. -_- Peut être une araignée qui lui bouffait du sang. Mais des deux côtés, à moins d’être une petite bête très intelligente, elle doutait. Qu’était-ce? Elle ne pouvait même pas atteindre sa tête avec ses mains. Ils avaient peur de quoi, ses petits poissons, qu’elle se tue à coup de doigts? Qu’elle s’étrangle elle-même?

Un rire s’échappa de ses lèvres. Elle commençait à devenir folle… Sans doute. Au moins, si quelqu’un venait lui parler! Même si ça serait juste pour l’insulter, ça changerait de l’ennui mortel dans lequel on l’avait jeté! Ses yeux, d’un naturel vert, semblaient s’illuminer, tout doucement. Un grondement monta de sa gorge. Vraiment. Elle allait devenir une bête assoiffée de sang. Si les nains voulaient qu’elle soit sage, ils allaient être surpris! Elle se vengerait! D’une manière où d’une autre… En tout cas. C’est pas en restant ici que son cas allait s’amélioré pour le peuple de petits hommes… Elle retroussa ses lèvres dans un sourire plutôt carnassier. Elle sortirait d’ici…

Le mage avait lu dans les pensées du roi. Ce dernier le conduit à sa femme en essayant de garder son calme et ouvrit finalement la porte de la chambre de la malade. La reine était belle pour une naine. Le roi n'en avait jamais vu d'aussi belle qu'elle en faite.

Il lui prit la main et lui dit : tout va bien aller. Puis regarda le mage avec insistance.

Je marchais dans le rue, cherchant le capitaine de milice quand je l'apperçut donnant des ordre un peu plus loins. Je m'approchai.

-J'aimerais joindre vos rang lors du prochain assaut. Je sais parfaitement me battre et je sais comment donner des ordres. Vos hommes seraient bien dirigé par un commandant tel que moi.
-Désolé mon gars, mais je dois tester vos compétence avant de faire quoi que ce soit.
-Alors testez moi. Donnez-moi une épée d'exercisse que je batte le meilleur de vos hommes.
-Alors dans ce cas, rendez-vous demain midi dans l'arène, avec de vraies armes.

Le soldat partit sans m'en dire plus. De toute évidence ce serait un combat à mort.

Zertyline errat quelque temps dans la ville avant de se décider a rentrer dans une belle auberge.Elle cherchat des yeux une personne qu'elle qu'elle soit qui pourrait la renseigner sur la confrérie du renard.

Elle repérat vite le patron de l'auberge et partit l'aborder subitement.La voleuse était habillé court et l'homme semblait être particulierement sensible a ses charmes.

Dite moi monsieur...pourriez vous a toute hasard me renseigner sur la confrérie du renard?

Elle dit cela de maniere tous a fait calme... elle attendait une réponse précise..

-Quoi??? la confrérie du renard??? Qui vous à parlé de cela ma dame?? La seule chose que je peu vous dire c'est que ceux qui y entrent, n'en sorte pas facilement. On dit aussi que ce sont des gens qui aident les souverains à gouverner. À votre place je me tiendrais loins d'eux. dit l'aubergiste avec un sourire.

Tout s'éclairait dans la tête de zertyline...elle voulait savoir le raport qu'il y avait entre Ikar et la confrérie.Il en était un membre aparament et il avait voulut l'enroler sans se faire decouvrir...

Pour le retrouver il lui faudrait don crentrer dans se mistérieux groupe.

Et sauriez vous par hasard comment je pourrai rejoindre cette confrérie?

L'aubergiste était étonné de voir l'intérêt de la jeune dame et répondit finalement : '' On dit qu'il faut rencontrer un messager ou maître renard lui même pour entrer dans cette confrérie. Et si vous voulez mon avis, il y a un messager dans cette troupes d'aventuriers qui s'est fait arrêté hier. J'en mettrais ma main au feu.''

L'aubergiste retourna dans ses cuisine, refusant de répondre à d'eutre question bien que ce n'était pas l'intérêt qui manquait. Il avait beaucoup de travail à faire.

Zertyline ne demandat pas son reste et partit de l'auberge aussi vite qu'elle y était rentré.

Bien sur qu'il y avait un messager dans le groupe aréter hier.... c'était Ikar... mais elle ne voulait rentrer dans la confrérie seulement pour le revoir alors a quoi bon lui demander cet accés a lui.

Elle continuat a flaner dans la ville cherchant un indices quelconque, uneprésence rassurante dasn se monde de pierre froide.

Après la guérison de la femme du roi, Bahmérion ordonna qu'elle se repose un peu. Elle était exténuée et la force magique que le prêtre avait utilisé, utilisait aussi la force du patient.

Bahmérion prit ensuite la direction des cachot. Le roi voulut le faire accompagner, mais il refusa catégoriquement. Il n'avait certainement pas besoins d'aide pour trouver son chemin.

Le long escalier descendu, il prit une courte pose puis reprit la route. Il sentait que la pirate perdait l'esprit. Il arriva finalement devant sa celulle et la porte s'ouvrit devant lui. Il avança, éclaira un peu la pièce pour ne pas aveugler Sowilo, puis s'assit sur une banquette.

-Le meurtre et la violence ne sont pas les meilleurs moyens pour se sortir d'ici ! Et ou pensiez-vous aller dans une ville remplie de nains ?Dit le mage à l'adresse de la jeune elfe.

Je retournai à l'auberge, histoire de prendre du repos quand je m'apperçut que j'avais perdu une lettre... Je rageais interieurement. Il ne fallait surtout pas que Zertyline tombe dessu. Le pire était que ce n'était pas moi le messager, mais que je devais aller donner cette lettre à Dimitri.

Je rentrai dans la salle commune et prit une bière. Ma gorge était aride et mon humeur changeante. Il me fallait retrouver la lettre. Je callai ma bière et montai dans ma chambre. Passant devant la porte de la chambre de Zertyline je cognai doucement...

Apriat quelque temps de vaine flane Zertyline décidat de se rendre dan l'auberge qui l'acceuillait sur les soins d'Ikar.L'auberge ou elle avait découverte la maudite lettre.

Ne prenant la peine de se présenter à la réception elle monta doucement a la chambre sans césser de ressasser ces sombres pensées: Ikar Ikar Ikar

Qui était t'il? Comment l'avoir pour elle... pour elle seul.

Ellle secoua la tête elle ne devait pas pensée cela... ce n'éatit pas dans sa nature.Mais l'homme l'impressionnait , il l'attirait , peut être l'aimait telle.

*Pang*

Plongé dans ses pensée la petite voleuse n'avait même pas remarquer la porte qui séparait le haut de l'escalier avec le corridor la raménant a sa chambre.Elle l'ouvrit un peu sonner ett se dirigea vers sa chambre... s'est a se moment qu'elle vit Ikar qui tentait d'entrer.

Ikar

L’elfe qui n’en était pas tout à fait une somnolait, son corps pendant mollement, retenu par ses chaînes. La respiration, un peu moins sifflante, n’était pourtant pas soulager de la douleur, toujours et encore remis sur le feu à chaque expiration de la Pirate. Pendant qu’elle dormait, elle avait rêvé d’endroit qu’elle n’avait jamais vue. Des lieux remplient d’arbres, d’espèces et de couleurs tous plus étranges les uns que les autres… mais toujours, l’image de pilleur venait à son esprit, et, dans son monde onirique, la jeune femme était incapable de frapper son assaillant de plein fouet, comme ci, son coup au ralentie, elle n’avait soudainement plus de force pour rien faire! Et pourtant la volonté y était! La frustration… Tout. Totalement. La seule chose qu’elle ressentait à son réveille était pourtant un sentiment d’impuissance. Navrant… c’était… comme pêcher dans une marre remplit de poisson, mais sans un hameçon adéquat, et mourir de faim en même temps… la seule chose qui restait à faire, c’était d’y aller avec … les mains -_- Et qui sait comment un poisson, ça glisse entre les doigts!

Bref. Pour se remonter le moral, elle repensait à tous les assauts dans les petites îles que ses compagnons et elle avaient accomplis! Pillant! Fuyant l’autorité, repartir avec les butins… vagabonder en mer… Attaquer les bateaux! Ah… Un sourire nostalgique étira les lèvres craquelées de la jeune femme-elfe-pirate. Ses oreilles lui faisaient toujours mal. Mais pas autant qu’être simplement là, priver de tout. Encore une fois, un grognement monta de sa gorge. Elle n’était pas une bête, mais parfois laisser l’instinct prendre le dessus sur la raison faisait des miracles… bien que cette fois ci, son instinct était plutôt destructeur, mais comme ça raison l’était également, elle ne voyait pas vraiment ce qu’elle aurait put faire pour calmer sa rage. Son besoin de vengeance. Tuer lui ferait du bien. En ce moment, la seule chose qui lui aurait plus aurait été de sentir le coup d’un de ses fouisseurs serrer entre ses mains, le pou palpitant, la peau chaude laissant une marque de son emprise sur la vie d’un de ses minables… totalement! Une lueur meurtrière jouait toujours dans son regard.

Et pourtant… D’un autre côté leur vie était si misérable, dans les mines, sous terre, totalement dénuder d’artifice... avec les règles, les coutumes… et tout ce qui venait avec. Assez pour devenir un peu… déranger? Non. Un peu… Non, beaucoup, très colérique, agressif. Aucun moyen de s’échapper en plus. Avec leurs mentalités toutes monter depuis la naissance, il n’avait sans doute pas de nain assez intelligent pour se rendre compte de la morne existence donc il est le sujet principal. Qu’importe. Il n’avait cas se réveiller. Elle n’avait pas à payer pour la vie des autres. Sowilo donna encore un coup de langue sur ses lèvres, un léger goût de sang la réveilla pour de bon. Combien de temps était-elle là? Hum… Dans le noir, tout était si incertain. Le temps semblait être si… lourd. Cela lui semblait faire des siècles, alors que quelques secondes venaient à peine de s’écouler, que déjà d’autre entrait en scène. Sa vie était si ennuyeuse, tout à coup. -_-

Et puis elle n’avait pas de temps à perdre, si elle voulait vivre pleinement! Elle n’était pas immortelle, à ce qu’elle savait! Et puis l’immortalité dans un endroit pareil, ça ne lui disait vraiment rien!

Ffff… Elle venait de fermer une fois de plus les yeux quand une vive lumière vint lui brûler ses paupières. Grognant, elle lâcha un fiaulement de douleur en tournant vivement la tête en serrant les dents. Restant ainsi, elle entendit nettement la voix de ce qui semblait être un vieille homme lui faire la morale. Si il avait été sage, il aurait sut que ce n’était pas le moment!

« Même pas une salutation. T’es mal poli, pour un moralisateur! » [Son caractère est irrécupérable]

« Si t’as des choses plus intéressante à dire, va si, gêne pas toi! »

Elle garda ses yeux verts en dehors de toutes porter lumineuse, mais ses oreilles, qui elles, tout nouvellement pointue, semblaient sortie d’entre ses mèches comme la vision d’une rosé sur une feuille… Drôle de détail. La pirate n’en avait nullement conscience, s’étant toujours vue les oreilles… humaines.

Bahmérion prit la parole : '' Les êtres purs ne sont pas supposés être des meurtriers... Sowilo, tu devrais siéger parmis les tiens, dans la vallée des elfes.''

Sowilo regarda le mage étrangement. Elle n'avait pas l'air de comprendre. Le prètre sortit un petit miroir de sa poche, qu'il avait ammené à cette effet et le tendit devant le visage de l'elfe.

Zertyline sortit de nul part derrière moi. Elle était aussi belle que la première fois. Pourquoi ne pouvais-je penser qu'à elle? Je la laissai déverouiller la porte puis entrai à sa suite. Prenant bien soin de refermer la porte comme il le faut.

-J'ai égaré une lettre importante que je devais remettre à Dimitri. Ne l'aurais-tu pas vue quelque part??

Ma question était étrange, mais le visage de mon interlocutrice changeait au fur et à mesure que je prononçais les parole.

Zertyline fit entrer calmement Ikar dans sa chambre , elle était ravie de le voir mais la crainte de ne plus le revoir dormait en elle.Il avait aparement égarer une lettre qui ne lui appartenait pas ici , cela voulait surement dire qu'il nétait pas le messager mais il devait tout de même apppartennir a cette maudite confrérie.

Elle le regardat avec un regard lourd et sortit la lettre de sa poche.

"C'est de cette lettre dont tu parle?Tu me dois dés expliquationje sais a peu prés a quoi sers un messager maintenant et je sais que détenir un telle parchemin est dangereux.

Et par Dieu s'il te plait dis moi qu'elle est cette confrérie et pourquoi tu y attache tant d'importance."

Elle se tut, pour la premiere fois depuis lomptemg elle venait de citer le tout puissant dans ces paroles, elle croirait dur comme fer a l'existence d'un dieu mais se considérant comme malsaine elle se refusait dze citer son nom.

Elle dardat ikar d'un regard plein de fureur mais l'amour bouillonait en elle.Elle ne voulait pour aucun prix exprimer ces sentiment qui lui était maintenant étranger , cela lui ferait plus de mal que de bien et elle le savait.Mais la torture de longue haleine de sa passiopn était déja en route et elle en souffrait en se moment même , sans même sans rendre compte.Ses sentiments n'éatit pas si cacher que sa et elle rougit lorsqu'elle compris que Ikar pouvait les déceler s'il en avait l'envie

Un hurlement monta des cachots, ébranlant à peine le quotidien des nains, qui calmement, vaquait à leurs occupations. Pour les oreilles avertis, nul doute que ce n’était pas un cri de douleur, mais bien que trop subtile, ce fait s’isola des autres hurlements sans laisser de trace, disparaissant simplement, après deux minutes sans plus rien entendre, les nains n’en avaient déjà plus aucun souvenir…

L’elfe nouvellement découvert tirait sur ses chaînes avec la force qui lui restait, sa gorge était maintenant totalement morte, elle venait de perdre sa voix, mais son expression disait clairement ce qu’elle aurait dit au vieux si elle aurait put! Ses yeux verts n’avaient pas quitter le miroir des yeux un instant, alors qu’agrandis par la surprise et la consternation, le message qu’on pouvait voir y était très claire. L’esprit de l’elfe pirate ne pouvait simplement pas digérer l’information. C’était impossible! Elle avait toujours eux les oreilles normales, rondes, humaines! Les nains l’avaient truqué! Étirer les oreilles pendant son sommeil!!! Ça ne se pouvait simplement pas! Son visage passait de la crispation à un teint livide, suivit de plusieurs expressions différentes et plutôt néfaste pour l’environnement. Malgré la faible lumière qui lui brûlait tout de même les yeux, elle ne pouvait pas détourner le regard des pointes qui sortaient de ses cheveux.

Le bruit persistant de ses chaînes qui s’entre choquaient continuait son chemin vers l'écho des murs de pierre alors que tentant de donner un dernier coup de pied au miroir, l’être nouvellement découvert cessa toute rébellion extérieur, au certes, elle tira encore un peu sur ses chaînes, partager entre le dépit. Mais une idée germa dans sa tête. Si les nains retenaient prisonnier une elfe, cela pourrait faire des remous dans politique effrayent non? Si elle en était vraiment une, et si l’information se rendait jusqu’au royaume de ses êtres… Elle pourrait faire payer son emprisonnement sans motif… en tout cas, pour la première fois qu’on l’avait jetée dans une cellule! Mais pour l’instant…

« C’est un de vos tour de magie, avouez. »

Ses yeux brillaient toujours légèrement, cherchant le truc entre les effets et la prouesse. Si elle aurait put toucher ses oreilles, elle aurait sans doute conclut ce que le mage concluait à présent, ses paroles n’avaient aucun sens, elle en était bien une, espèce d’elfe sans vie autre que cueillir des fruits des champs en jouant de la harpe avec un air bête sur le visage, mais ce n’était pas le cas. Et son but pour l’instant, c’était sortir de cet endroit, si loin de la mer et de ses compagnons… Son visage tiqua légèrement.

« Pouvez vous… pouvez vous me sortir d’ici? »

Autant se la jouer pauvre petite âme en peine, d’ailleurs elle n’en était pas loin…

Tu es très loins de savoir ce qu'est un messager Zertyline. Je pourrais te l'expliquer pendant des jours sans que tu comprenne quoi que se soit ou te l'expliquer une seule minute et que tu comprennes tout. J'imagine que tu savais au moins qu'il y avait trois classe de messager??? Et que seul l'un des trois peu faire du recrutement???

Mes questions étaient simples, mais elles faisaient effet. L'air ahuris de Zertyline en disait long.

Bon d'accord je ne sais pas exctement ce qu'est un messager , la seule chose que je sais c'est que son role peut etre dangereux et que toi ou dimitri plus tard pouvez risquer votre peau a détenir se parchemin.

Elle tenait le parchemin dans sa main et l'écrasait sous ses doigt du fait de l'enervement

Donc je me répète mais je voudrais que tu m'explique qu'elle est cette foutu confrérie , pourquoi tu y tien tant et pourquoi tu a voulu m'y associer a notre premiere rencontre.

Sur ceux elle se tut...respirat un coup et regardat Ikar dans les yeux...ses mains tremblait sous l'effet de la colere et elle avait les larmes aux yeux.

Je n'ai jamais voulu t'y associer. JAMAIS. Car la première fois que je t'ai vu, je t'ai aimé tout de suite. Je voulais t'y voir en sécurité car à mes côtés tu ne trouveras pas cela. Si Dimitri n'avait pas passé par là, j'en aurais eu fini avec cette confrérie, mais sache qu'on ne quitte pas la confrérie du renard si facilement. Même quand on a trouvé quelqu'un comme remplaçant. La confrérie du renard est une confrérie qui veut l'équilibre de Ramandrek (nom du continent), l'équilibre du monde. Elle veut l'obtenir par TOUS les moyens et entrera en guerre si elle le doit.

Pardonne moi si je t'ai caché tout cela. Je n'aurais pas du et maintenant j,ai une dette envers toi. Choisi moi un sort et je l'éxécuterai quel qu'il soit. Même si tu veux ma mort.

Je m'assit sur le lit, au comble du désespoir.

Zertyline sourit... cela faisait lomptemg , voir Ikar a ce point déséspérer la reconfortait un peu...il n'y avait pas qu'elle qui souffrait.

Ainsi il avait voulu la protéger il l'aimait...le coeur de la jenune voleuse battait la chamade...elle ne pensait plus a cette confrerie.

Elle vint s'assoir aux cotés d'Ikar et le prit contre elle d'un getse assez maternel ce qui était assez exceptionel pour elle.

Je peut te demander une chose c'est vrai ?Dans ce cas je veux que tu n'essaye plus de m'éloigner de toi pour me protéger.Je sais trés bien me défendre ou au pire me cacher et je veux seulement rester avec toi.

Elle se tut cinq minute , savourant le moment

Ikar tu est ce que j'ai toujours réver , un homme beau asez intelligent et qui n'est guidé il me semble que par de bonne chose.Moi aussi je t'aime et je ne demande qu'a rester prés de toi quelque soit le prix a payer.Si je doit souffrir les douleurs ne seront rien face à celle d'une absurde séparation.
Je t'en supplie accepte de me garder aprés de toi.

Elle le llache apré sa longue tirade et le fixat dans les yeux en essayant di trouver le fond de ces penssées.