Deux corps et des loques ( 2)

"Apres tout je ne t'ai jamais affonté...je pense que mes nouveau pouvoir vont me servir plus vite que prevu..."

Sparda rigola d'un gros rire sadique et attrapa son marteau. Il se fit craquer la nuque avant de taper rapidement avec le marteau au sol. La même legion qu'il avait combattu à Amrill apparaissant sous forme d'ombres.

"Je suis roi désormait...j'ai mon armée....Réflechi a l'issu de ce combat...le roi des enfers et la seule armée l'aillant vainsu contre une femme affaiblie et un bébé....Tu risque d'avoir un tout petit peu de mal."

Sparda ecarta les bras et batti un seul coup de ailes, ce qui le projeta a 2 ou 3 mettres de hauteur.

"Je n'ai pas une puissance infinie ici...mais ce combat causera la mort de ton enfant ou de toi....tu est la cause de tout cela et la mort en sera la conséquence..."

Zertyline rergardait le démon avec un air de dédain, il n'avait pas gagné en finnesse depuis leur première rencontre.

Alors tu veut vraiment me combattre et tu pense invoquer ton armée... Quel combat loyal!

Elle rit à son tour.

La fillette regarda à son tour Sparad de ces yeux d'un blanc pur, comme si elle scrutait son âme avant de l'achever.

Et Zertyline commençat à chanter une berceuse, elle agissait instinctivement, l'enfant ferma les yeux et les arbres brulés imploserent tour à tour.

"Soit, chante...se sera le champ mortuaire..."

Sparda tendit son marteau a bout de bras .

"Chargez..."

Puis la legion se rua vers zertyline avec une violence sans egale., les armes claquerent. Sparda, lui, voleta au dessus de la mélée, tel un ange de la fureur, et sifflota en se dirigeant vers l'enfant.

"Ne prends pas peur petite....tu va retrouver ton papa...dodo..."

Le démon approcha sa main du bébé et hurla.

"Tuez là !!!!!"

Une exploqion plus fort que les autres projeta le roi démon hors du champs de bataille ainsi que les hommes qui entourait les deux femmes.

Les yeus du bébé avait virer au bleu azur et la bulle qui les entouraient gagnait en fermeté et en couleur (bleu elle aussi).

Le bébé ne voulait pas ce battre contre Sparda, c'était un démon tout comme elle.
Mais elle ne ce laisserait pas assassiné pour autant.

Zertyline l'avait repris dans ces bras. Tout aussi éttonée que les autre des pouvoirs innatendu de son enfant. Elle s'approcha le plus vite possible de Druedan qui s'atait prit un arbre et lui apposa ces mains pour verifier son état de santé.

Tout va bien?

Arrivé aux alentour du lac, nous constatâmes les méfaits du combat sur la végétation. Je voyais Zertyline et Druedan, mais pas Sparda. J'accourai sur les lieux, constatant les blessures, bien que mineures et l'essouflement des jeunes compagnons. Le bébé aussi semblait un peu épuisé.

-Zertyline, que s'est-il passé?

Je lui tendis ma cape pour qu'elle puisse s'asseoir dessu avec son enfant.

-Jin et Cecil allez faire un tour dans les environs. Sécurisez le secteur. Illera préparez vous à un combat ou à une fuite potentielle et rapide.

Druedan était le plus blessé, mais il allait se remettre. Je n'avais rien de bien efficace pour guérir les blessures en ce moment. Je donnai de l'eau à Zertyline et à Druedan attendant la réponse de la démone.

Zertyline accepta sans broncher de s'assoir sur la cape du maitre renard et lui expliqua rapidement la situation:

Sparda voulait me tuer moi et l'enfant, il n'a pas compris ce que je disais et c'est enflammer...

Elle but de l'eau et pressa sa fille contre son sein decouvert.L'enfant avez cesser de hurler au contact de sa mère et semblai plus serein que jamais.

Nous l'avons envoyer valser avant d'aller voir Druedan, je ne sais pas ou il est.

Ne me donnez pas d'ordre, boule de poils pestilentielle! Je ne suis pas votre chien servile.

Cecil bien que prêt à attaquer Jin suivit mes ordre. De mon côté je ne pris pas la peine de porter attention à la remarque. Je ne voulais pas tuer cet homme devant Zertyline ni devant Vinh'san. D'autant plus que ce devait être ce dernier qui avait donné l'ordre à Jin de se préoccuper de Zertyline. Ikar était le meilleur ami de Vinh'san et ce dernier vouait sans doute autant de respect à Zertyline qu'à son ami déchu.

Je dis tout haut sans le vouloir :
-J'aurais bien voulu qu'Ikar soit là.

Et je pensais aussi que c'était ce que pensais Zertyline et Vinh'San.

Une larme coula sur la joue de Zertyline. Elle serrai son enfant contre elle et regardait le maître renard le plus idrectement possible.

Croyez moi, j'aimerai aussi qu'il soit prés de nous!

Elle guettait de tout les coté pour prévenir l'arrivé de quelconque ennemi, comme Sparda.

Un craquement eveilla ces soupçons.

Peut être juste une biche...

Le craquement c'était moi. Je m'étais retrouvé bien rapidement ici et j,avais parfaitement localisé ma bien aimé. Comment? Je ne le savais pas. Peut-être avais-je des pouvoir insoupçonnés? Peut-être. Quoi qu'il en soit j'ignorai Maître renard, Jin ou qui que ce soit et je me dirigeai vers Zerty qui tenais mon enfant. En me voyant l'enfant sourit.

Je ne pouvais pas vraiment expliquer mon retour, mais j'étais de retour avec encore quelques trous de mémoire. Je posai délicatement mes lèvres sur celles de Zertyline, me demandant si elle allait me reconnaître ou penser que quelqu'un se jouait d'elle. Peu m'importait il fallait que je soit en sa compagnie.

Croyant a un miracle Zertyline se laissa faire, elle venait d'invoquer la présence de son amant seulement quelques minutes auparavant et il revenait pour l'embrasser.

Mais ses lèvres avait un étonnant gout de réel, les frissons de plaisir de la démone aussi.

Les autres les regardait bizarrement mais semblait bien voir Ikar.

Elle ne posa aucune question, trop heureuse du retour miraculeux d'Ikar, et du sourire de son enfant, elle le fit s'assoir prés d'elle et se blottit dans ses bras, tenant toujours la jeune enfant qui ferma les yeux calmement.

Les injures de Sparda et sa violence était bien loin maintenant et la jeune femme ferma les yeux a son tour, le tête poser contre le torse d'Ikar.

Le soleil perça à travers le feuillage des arbres.

Une belle fin , un nouveau début.

Le moment se passa en silence, mais maître Renard se jeta presque sur moi. Il m'empoigna le bras et me leva debout, me faisant quitter le doux moment que je venais de passer avec Zertyline. C'est alors que je constatai l'état des lieux.

-Que s'est-il passé?
-Pourquoi es-tu là? Comment pouvons-nous être sûr que tu n'es pas un imposteur?
-Est-ce que Zertyline aurait accepté le baiser d'un imposteur?
-Comment pourrait-elle le savoir?
-Je suis Ikar et je n'ai pas de preuve à vous donner. Cherchez les vous même.
-Eh bien je vois là un ancien maître Renard dans cette seule réponse. Rebienvenue parmis nous Ikar...
-Qu'est-ce que vous voulez dire? Oh et puis laissez tomber. Je vais retourner voir ma fille et ma FEMME. Laissez moi tranquille une fois pour toute. Je veux laisser mon ancienne vie derrière moi.

Maître Renard rétorqua silencieusement :
-Ce sera ton passé qui te rattrapera Ikar. Que tu le veuilles ou non.

Il ne pensait sûrement pas que j'entendrais, mais je répliquai :
-Je cours bien vite quand il le faut.

Je retournai au côté de Zertyline qui n'avait même pas posé de question. L'enfant était là depuis peu. Quelques jours peut-être. Je pris l'enfant dans mes bras. La petite fille souriait.

-Tu lui as donné un nom?

Zertyline leva ces yeux vers Ikar.Il était magnifique et sa venu avait fait revenir l'espoir dans les yeux de la jeune mère.

Non elle n'a pas encore de nom. Je suis désolée, je... n'est pas été une bonne mère pour la moment.

Elle se rassit sur la cape du maître renard, épuisée.

La jeune fille ne cessait de lancer des sourires charmeurs à son père.
Dire qu'elle s'était opposé au mariage de ces parents alors qu'elle n'était pas encore née!

La simplicité de Zertyline... Aucune question... Elle avait changé. De toute façon je n'aurais pas su quoi répondre. J'étais là c'était tout. Et j'étais avec la femme que je n'avais cessé d'aimer même dans la mort. Pour moi la vie ''d'héros'' était terminée. Certes un démon avait besoins de guerre, de combat et sans doute aurais-je largement l'occasion de le leur offrir. Bien que je laissais le passé derrière moi, maître Renard avait raison. Je ne pourrais me contenir de m'impliquer dans les guerres et surtout celles concernant Amrill, la ville que j'avais aidé à devenir indépendante.

-Appelons là Elbereth...

Je ne savais d'où provenait ce nom. Il avait germé à mon esprit quand j'avais pris la petite. Elle sourit. Elle aimait son nom.

-Tu es la mère le plus merveilleuse du monde Zertyline.

Les yeux de la démone s'illuminèrent, jamais dans ce monde ou dans un autre on ne pourrai lui faire plus beau cadeau que cette phrase:

"Tu est la mère la plus merveilleuse du monde."

C'est comme si tout son être criait son bonheur, les bras tremblait et une joie frissonnante lui emplissait le ventre et la poitrine. Mais comment décrire ces sensations de bonheur intense, suivit d'un désir fort de serrer un enfant contre soi?

Zertyline, comblée, choisis de ne rien dire, peut etre, si elle n'était pas mère se serait t'elle repliée sur elle-même, comme par honte de ce désir naturel.
Mais l'enfant était près d'elle, dans les bras de son père épanouie lui aussi.

Le rêve d'une femme!

Elle se leva et se rapprocha d'Ikar.

Je t'aime.

Elle lui sourit.

Elbereth est un très beau nom.

Le rêve d'une vie, le bonheur simple quoi qu'en pense la vie, quoi qu'en pense les autres....

J'embrassai mon enfant puis un tendre baiser sur les lèvres de Zertyline. Cela venait comme signer notre union sans mariage. Peut-être était-ce seulement l'idée d'un acte sacré qui incomodait le bébé... Quoiqu'il en soit Elbereth m'acceptait et c'était ce qui comptait avec l'amour de sa mère. Plus besoins pour Zertyline de chercher un nouveau père. C'est là qu'intervint une fois de plus maître Renard :
-Je crois que Sparda n'est plus ici. Sinon il aurait déjà rappliqué...
-Qu'est-ce que Sparda a à voir avec nous?
-Il nous a attaqué.

Maître Renard espérait simplement couvrir l'attaque qui visait Zertyline pour ne pas que je parte sur un coup de tête tenter de le tuer.

-Pourquoi?
-Je ne sais pas. Je crois qu'Ameria l'a une fois de plus abandonné.

Ce n'était pas une raison pour attaquer Zertyline et les autres. La rage montait en moi, mais je me contrôlai. Je n'avait pas à faire d'excédent de rage ici devant tout le monde.

L'arbre qui s'était abattu sur le barbare lui avait broyé le genou gauche dans un craquement sinistre qui avait déchiré le silence après le prompt départ de Sparda. Druedan était parvenu dans un réflexe à se propulser sur le côté et éviter ainsi un choc qui aurait pu lui être autrement dangereux.

Il ne répondit pas lorsque la Dame vint s'enquérir de son état, il était occupé à chercher où Sparda avait pu fuir, et aussi...il ressentait encore la présence de ses ennemis. Ils étaient tous en danger là où ils étaient. Pour ses compagnons Druedan était un homme, un peu plus robuste que la plupart sans doute, mais rien de plus qu'un homme. Aucun n'avait encore percé le mystère.

Il fit peu cas des évènements qui se produisirent par la suite, il se releva comme si ça blessure ne le génait pas, de toute façon, elle guérirait rapidement, comme il en va d'ordinaire pour les êtres de son "espèce" ; puis, il se dirigea plus avant en bordure de la forêt le pas légèrement chacelant.

Zertyline ce planta devant le barbare.

Tu crois que tu va nous faussez une fois encore compagnie sans t'expliquer ? Qui est tu? Et que veut tu ?
Répond moi cette fois-ci!

La jeune mère tenait encore Elbereth dans ces bras, elle aurait pus la laisser à Ikar, mais au fond, le plus important pour elle était l'enfant, et de loin !

Elle ne le laisserait jamais, même si pour cela elle devait perdre une fois encore son amant. L'enfant tant esperer semblait rire dans ces bras, comme s'il prenait plaisir à simplement vivre, et sans sans soucier il emplissait sa mère d'une joie sans nom, mais quand était t'il du père ?

-Zertyline... Laisse-le. S'il veut partir c'est son choix. Si nous avons à le rencontrer à nouveau plus tard, il en sera ainsi. L'important c'est nous, c'est notre enfant. Retournons à Amrill et prenons-y une maison et une terre. Metalio nous en fera sans doute cadeau.

J'étais calme. Trop calme. S'était-il passé quelque chose entre Druedan et Zertyline pendant mon absence? J'en doutais simplement à voir l'importance qu'Elbereth avait pour mon amoureuse. Si je pouvais encore l'appeler ainsi. Je ne pourrais constater l'accueil de mon retour qu'à long terme. Et je n'aimais pas cette idée.

Pourquoi était-je partit? Si elle n'acceptait pas mon retour alors je retournerai là d'où je venais.

Une main velue sur mon épaule me suffit à comprendre que Maître Renard savait à peu près ce que je pensais. Il n'approuvait ni ne refusait les actions qui allaient s'ensuivre. C'était seulement pour me signifier qu'il était là et qu'il allait me soutenir si ça tournait mal.

Qui était devenue Zertyline? Elle n'était plus celle que j'avais connu avant ma mort. Elle était différente bien qu'inchangée.

-J'ai peur... dis-je à voix basse. Plus peur que jamais je n'ai eut peur.

Zertyline revint au calme des bras d'Ikar, leur enfant contre son sein.

Que tu soit ou non avec moi, je ne compte pas m'entterrer dans une maison. Je suis différente de la femme que tu à connu, je suis une démone et contre toute apparence Elbereth en ai une aussi, nous ne sommes pas faites pour une vit au foyer, mais pour l'aventure au grand jour!

Peut être avec le temps je m'assagirait, et un poste de dirigeante suffirait à calmer mes ardeur, mais je crains que tu ne soit à jamais liés à la confrérie du renard, je ne sait de quelle maniere...

Elle ne bouga pas de son refuge, ne sachant que décidé entre une vie calme avec lui et une vie plus agitée sans lui.... et pourquoi pas une vie agité avec lui?

-C'est à Amrill qu'aura lieu la plus grande guerre que Ramandrek aura connu. Vous pouvez y emménager, mais je doute que votre maison tienne le coup. Dame Zertyline je vous offre la protection de la confrérie si vous le désirez. Ne pensez pas que je vais mettre des hommes autours de vous comme des gardes du corps. Je vais demander à Cecil de vous apprendre des techniques de combat et si vous le désirez je trouverai quelqu'un de plus approprié dès notre retour à Amrill.

Maître Renard se tut. Il n'avait rien d'autre à ajouter. Si elle refusait, il risquait de mettre des hommes pour sa protection. Si Ikar approuvait.

Je me demandais ce qu'elle pensait. Ce que Zertyline pensait. Ce qu'elle pensait de moi. De l'enfant. De la situation. Je fermai les yeux doucement, mais les rouvrit rapidement. Cecil était de retour, Sparda s'était enfui. Et c'était mieux ainsi.

-Zertyline, autrefois j'étais humain. Aujourd'hui c'est le temps de tout se dire. Je ne crois pas que je sois seulement un humain. Si tu veux passer ta vie à mes côtés avec Elbereth, ce ne sera pas une vie facile. Je ne crois pas pouvoir fuir toutes les croisades qui viendront. Je ne t'offre pas la vie de ménagère, mais celle que tu souhaites réelement.

Je me tus. Une larme coula sur ma joue. Deux et trois. Je tombai à genou, les yeux à terre. J'étais fatigué. Très fatigué. Trop. Il me fallait dormir, mais avant je voulais savoir si la femme de ma vie voulait passer sa vie à mes côtés ou si elle voulait choisir un autre destin. Si tel était le cas. Je partirais dès ce soir pour trouver une vie ailleurs... Ou une mort. Si elle décidait de partir, c'était comme si je mourais un peu.

Zertyline posa son enfant à terre, sur la cape du maître renard laisser la puis fit s'allonger Ikar à ces cotés. elle deposa un baiser sur sa joue et fermi ses yeux de ces mains.

Dors pour le moment, les décisions que tu a à prendre nécéssiterons de la lucidité.

Je ne ferait le choix de te suivre ou non, je ne le peut pas puisque toute les vie qui me sont offerte m'attirent.

Prend tes responsabilité si tu me choisis, et prends en d'autre si tu me laisse aller.

Elle se releva et parti s'assoir le dos contre un arbre à quelque pas.Il avait l'enfant entre ses bras et il viendrai quand il aurai prit sa décision.

Vinh'san restait pensif. Devait-il annoncer à Ikar qu'il était là, et, comme toujours, prêt à l'assister? Ou bien valait-il mieux se taire et attendre qu'il ait fait son choix, et ne pas l'influencer? De toutes façon, Vinh'san devait retourner en guerre contre Ehryna. Elle était encore là par sa faute. Mais après cela? Vivre une vie normale? Qu'est-ce? À l'école militaire de son île, on ne lui a apprit que où se trouve un cœur pour mieux le transpercer. Peut-être vivre sa vie auprès d'Ikar, le protégeant servilement et attendant l'occasion suivante de partir en guerre.
Il n'est qu'une seule chose dont l'elfe ne doutait pas : en se débrouillant bien avec Jin, Minar et Malin Keshar, il vivrait éternellement. À chaque fois que la mort se montrerait, il pourrait se transformer en liche, et reviendrait dans un autre corps. Il pourrait ainsi veiller éternellement sur Ramandrek et son île.
Mais devait-il avertir Ikar de sa présence? Cette question revenait en permanence. Il allait se décider à parler et s'arrêta. Ikar était fatigué. Il le laisserait dormir, faire son choix, et après seulement lui rappellera qu'après quelques mois tout au plus, il serait à son service.

*Jin?*
*Je protège les tourtereaux?*
*Oui.*
*Bien. Mais ne devrions-nous pas aller chercher des nécromanciens et un bon soigneur? Et ce avant que Gweldryn ne vienne s'occuper de nous? Je crois qu'il n'a pas apprécié notre brève rencontre.*
*Ce n'est pas faux... Allons-y. Nous reviendrons plus tard. Nous les retrouverons.*

Jin se déplaça vers Maître Renard et lui lança discrètement dans l'oreille :

Vinh'san et moi même avons à faire. Nous désirons éviter de gêner votre marche salvatrice. Nous vous rejoindrons peut-être plus tard lorsque nous pourrons vous être utile, si un tel jour arrive.

Et Jin se défila rapidement

De son côté, Cecil revint. Le démon n'était qu'un simple démon, rien de particulier en soit. Il reprit sa place auprès de Maître Renard et l'informa de la situation, regardant Jin partir. Il se sentait déjà plus en sécurité maintenant.

Quels sont les ordres désormais, maître?

Autrefois il n'avait jamais fallu que je me pose des questions sur Zertyline. Maintenant je me demandais même si elle avait encore envie de passer sa vie à mes côtés... En compagnie de l'enfant bien entendu. Je me laissai entraîner par Zerty, mais à peine couché que j'ouvris les yeux. Perdu encore une fois dans de sombres questionnements. Je me levai, Zertyline inquiète, comme si j'allais l'abandonner à nouveau. JAMAIS. Plus jamais je ne la quitterais. Sauf si elle en voulait autrement. Je la prendrais avec moi où que j'aille et je la suivrais où qu'elle aille... Par delà la mort s'il fallait. Une chose était certaine, je ne doutais pas de l'amour que j'éprouvais.

-Reste avec moi Zerty. Reste avec moi pour la vie et je dormirai. Si tu ne veux pas que je te prenne, alors je partirai. Mais je ne pourrai plus dormir. Chaque seconde depuis que je suis de retour je pense à toi. Chaque minute au loins de toi m'était difficile. Aujourd'hui j'ai la chance de te voir, mais si je ne peux t'avoir, à quoi ça sert de simplement te ragarder? Je tiendrai toutes les promesse que je t'ai fait et que je te ferai. Dors avec moi ou laisse moi partir. Ce sera moins difficile pour moi. Je t'aime.

D'autres larmes coulaient. Autrefois j'avais horreur des larmes, maintenant si c'était Zertyline la cause de ma mélancolie, je laisserais mes émotions surgir. Qui pouvais-je espérer d'autre qu'elle?