Deux corps et des loques ( 2)

Zertyline marchait depuis un moment déja, elle mangait des racines trouver au pied des arbres et buvait l'eau de la riviere.

L'époque ou elle allait et venait auprés d'Ikar, habiller de beau habit était bien lointaine et à présent elle était repoussante, son petit visage était marqué par la fatigue et seule rayonnait en elle sa récente marternité.

Soudain le jeune mère se crispa fortement et tombat à terre. Son coeur inhumain venait de s'enflammer à nouveau, comme prit d'une passion folle.

Elle s'assit et serrat son jeune enfant contre elle. comme si c'était le premier signe d'amour qu'elle lui montrait.

Zertyline relevat ces yeux vers Sparda et lui fit un sourire.

"Rien, nous étions seule quand je me suis réveillé... je n'éprouvais plus de sentiments bon depuis la mort d'Ikar.

Mais... tout à l'heure, ils me sont revenut, je ne sait pourquoi...

Je vient juste de prendre conscience que je suis mère... mais, elle n'à pas de père..."

Elle baissa les yeux, elle venait tout juste de penser à ce problème quand Sparda lui était apparu.Au début elle pensait à une illusion, d'ou son temps de réaction.

Sparda arrcha un morceau de fourrure qu'il gardait a la ceinture et en couvra Zertyline. Il reflechi un moment, et proposa ceci :

"Que cherches-tu? Ou vas-tu? Si tu cherche une vie paisible j'ai une proposition à te faire pour que ta fille soit élevée dans de bonnes conditions : rejoigons mon royaume, je t'y offrirai de l'or, de la protection, un manoir...Tout ce don tu desire. Ca te vas?"

Puis Sparda se leva et senti une force infinie se degager d'un nouvelle forme de vie, ayant disparu depuis des millénaires. Cette force fut telle que Sparda fut pris de migraine atroce et se mit a grogner en se posant les mains sur les tempes.

"Arg qui est-ce ?!"


Le démon vit une certaines inquiétude dans l'esprit troublé de Zertyline. Il s'efforcea de sourire malgré la douleur et lui fit un clin d'oeil.

"Sa...va...aller....le sens-tu?"

Bien sur Zertyline était inquiète pour Sparda, mais elle connaissait bien cette douleur, elle ressentait la même quand elle était enceinte et quelle approchait Ikar.

"Je suis désolée Sparda mais apparement ma fille n'a pas plus envie que moi de mener une existence calme a s'encrouter dans un chateau.
Et elle a prit trés tôt la mauvaise habitude d'exprimer ce qu'elle ressens.

Non, je ne cherche pas un asile mais véritablement celui qui pourra nous protéger pour le futur.Ou alors retourner dans la folie de ces derniers jours..."

La jeune femme s'aprocha du démon et tendit les bras pour reprendre son enfant.Elle le regardit dans les yeux avant de dire.

"Je ne sais qui sera ce père mais il ne sera pas humain et devra être puissant pour supporter notre protection..."

La démone prit son enfant dans les bras et se retourna. Marcha dans la foret sans laisser un regard au démon, elle voulait un père pour sa fille mais elle ne la laisserait pas à Sparda seul.

Jurant intérieurement elle ne comprenait pas la réaction du démon, demander à Améria.
Elle ricanait maintenant, les unions entre hommes et Démons sont vouer au malheur elle en avait fait les frais.

Elle allait entrer dans la forêt quand l'enfant ce mit à pleurer...

À ce même instant, le jeune homme aux cheveux blond qui avait entâmé la route pour Shamar disparaissait entre les arbres. La démone aut à peine le temps de l'entrapercevoir qu'il était partit. Le corps du jeune homme se dirigeait vers la capitale en empruntant le chemin le plus rapide. Il ne prendrait pas de pause avant d'être arrivé. Ses pensées étaient absentes, parfois l'image d'une femme lui revenait, mais rien de plus. Il ne savait pas qui elle était, qui lui était et pourquoi il était ici. C'était comme un robot qu'on aurait mal reformaté et qu'on aurait ensuite programmé. Il était pour le moment dépourvu de parole, d'intéligence... C'était par la suite que son cerveau allait être remis en marche pour qu'il puisse agir de lui même. En fait après quelques jours cela se remettrait en place seul.

Zertyline n'avait peut être pas vu Ikar mais elle l'avait sentit, tout comme son enfant.

Elle se retourna et vit Sparda suivre la trace de l'intru.

Sparda ne l'approche pas. Je ne pourrai le défendre mais si tu touche un cheveux de lui je t'anéantirais.

Elle l'observait d'un regard noir. ikar était de retour tout le monde le sentait. Mais elle ne reviendrait pas vers lui en ne permettrait pas a Sparda de le tuer.

Le vent soufflait entre les branchages. Les arbres semblaient s'allonger à toucher les étoiles en cette fin de journée, à mesure que le soleil allait se noyer et mourir dans son miroitement incandescent.
C'est dans ce crépuscule que Druedan pénètrait dans la forêt. Sa démarche calme et posée l'avait quittée bien que ses mouvement félins et souples ne l'aient point encore abandonnés. Il était désormais traqué.

L'Homme-Loup s'était éclipsé longuement, laissant ses compagnons à leurs affaires. Nul ne savait où il était parti, mais il était revenu à présent. Hélas, il n'était pas revenu seul. Ses ennemis le pourchassaient. Le Barbare n'était pas un fuyard, mais il devait éloigner ses ennemis du groupe.

Alors qu'il passait dans une clairière, il remarqua au loin un démon avec un marteau, qui semblait courir lui aussi, et plus loin encore, il distingua une forme plus fluette, serrant dans ses bras quelque chose que même les yeux du barbare ne pouvaient distinguer à la lueur agonisante de la fin du jour...

Le démone paniquait, depuis son accouchement elle n'avait jamais été aussi proche d'autant de monde.

Elle se mit à courir en espérant que Sparda écouterait son injonction.

N'étant pas humaine elle serait surement une proie pour les poursuivant de Druedan et elle sentait ce danger qui approchait.Elle craignait pour son enfant et courut s'enfoncer dans les bois.

Mais arrivé à la lisière sa fatigue la rattrapa et trébuchant sur une racine sortit de terre elle lacha son jeune enfant qui par chance attérit quelque mêtre plus loin dans un lit de feuille.

Son genoux saignait et elle ne pouvait se relever, sa cheville blessée elle aussi était prise dans le noeud de la racine.

Zertyline se retrouvait adossée contre un arbre, incapable de bouger.

Druedan avait été dirigé prés d'elle et l'enfant hurlait.

La démone tenta de se relever pour aller retrouver son enfant mais retomba, sa cheville lui faisait trés mal, Sparda n'était pas bien malin;

Elle commença tout nuturrellement à ramper vers sa fille pour la repprendre prés d'elle, elle ne voulait pas la perdre elle aussi...

Mon âme était glacée, emprisonnée dans un corps que je ne voulais pas, que je ne voulais plus. Je ne pensais à rien, je ne savais rien. Je n'aurais même pas pu me battre si j'avais été attaqué. Quelqu'un qui aurait été témoin de la scène aurait considéré l'ordonateur comme être stupide. Moi je ne savais rien. Une seule image troublait mon esprit : Une femme enceinte, aussi belle qu'un femme pouvait l'être. Son ventre gonflé lui donnait tout de même un certain charme. Cette image clignotait dans ma tête comme si c'était le but que je devais atteindre, mais ça ne l'était pas. Je ne pouvais savoir ce qui m'attendait et même si je l'avais su je n'aurais rien pu faire. Je réussi néamoins à capter quelques images des lieux sans pour autant les comprendre. Mon esprit était trop troublée et confuse pour que je puisse penser par moi même. J'étais contraint d'aller là où on me forçait d'aller.

Sparda n'avait pas compris. Il ne pouvait pas comprendre, personne ne le pouvait. Bien sûr qu'il ne pouvait voir les "assaillants", ni même les sentir. Ils étaient là, c'est tout, même pas invisibles, même pas matériels, comme des présence. Quelque chose d'indicible, de sybillin...

Avec un soupir Druedan interpella le démon : "N'y vas pas, il n'y a rien là-bas, allons plutôt rejoindre la Dame."

En disant ces mots, il se dirigea calmement vers la démone et son enfant.

Sparda se grata la tête et baisse la tête. Il pose son marteau au sol, et dit d'un ton de reproche :

"La prochaine fois que je vais dans la bataiile et que je peut pas voir les monbstres, previen à l'avance...Juste histoire que je ne passe pas pour un barbare sans cervelle..."

Puis le démon se dirigea vers la demone, et commencea à sortir un petit flacon de sa poche. Il le fit boire a la demone.

"Durant mes aventure et mes voyages jai su recolter de potions en tuant des alchimiste vagabons...Celle-ci te rendra un peu de vitalitée, et je pense que tu as besoin de te remettre sur pieds."

Il regarda druedan, et lui jeta un autre de ces flacons.

"Zertyline regarde toi, tu est en tres mauvais état actuellement, venez dans mon royaume, juste pour se remmettre sur pieds, et ensuite je te laisserai parrtir dès que tu le souhaite ! Pareil Druedan !"

Puis Sparda entendi des cris d'enfant en bas âge, se tourna precipitament et croisa le regard de la fille de zertyline, au sol. Il se baissa rapidement pour la rendre a sa mere.

"Elle peut venir aussi..."

NON

Le mot jaillit sans pudeur de la bouche de la jeune femme. La potion de Sparda faisait son effet et elle ce sentait plus vivante. mais elle n'irait pas das son royaume s'enfermer dans une maison.

Pas tant qu'elle n'aurait pas trouver un père digne de ce nom pour l'enfant.

Je continuerai seule si personne ne veut nous assumer. mais je ne resterai pas dans une ville a attendre qu'elle grandisse et me laisse seule.

"Mais Zertyline tu est folle ou idiote ?! C'ets le temps d'une semaine maximum, juste histoire de te remettre sur pieds et de te donner de quoi élever tranquilement ton enfant ! Je t'ai proposé de l'elevée comme si c'etait ma fille tout en te gardant avec elle en temps qu'amie et tu a refusé ! Mais t'as quoi en tête je veut pas t'emprisonner mais te remettre sur pieds et te faire reprendre gout a la vie c'est tout !"

Puis Sparda se tourna, vexé par la reaction mal placée, exagérée et n'ayant aucun rapport avec sa proposition de zertyline.

Druedan se tourna vers Sparda, l'air distant.

"Non, je dois partir. Vous devez vous occuper de vos affaires, et moi des miennes. Je vous aiderai, si je le puis. Mais je partirai demain pour le moment le plus court que me permettra la prudence. Que vos coeurs ne s'égarent pas dans votre quête, il se peut que vous en aurez plus besoin que d'ordinaire si les jours sombres que je prévois nous frappent, plus tôt que prévus. Trouvons de quoi manger et reposons-nous, je prend le premier tour de garde"

Et ainsi, il s'en fut plus avant, les sens aux aguets.

Zertyline se releva doucement, vacillante a cause de sa cheville douloureuse elle serrait sa fille contre elle.

Et bien qu'il en soit ainsi, je n'aurai jamais du vous rencontrez vu qu'apparement le but de chacun et de s'éloigner des autres.

Si personne ici ne me sera secour j'irai trouver plus loin mon salut ou je l'arracherait de mes propres mains.

La jeune femme leur tourna le dos sur ces quelques mots, elle n'utiliserait pas ces pouvoir de démone contre eux, mais peut être la persuasion féminime suffirait peut être, malgré le fait que ces deux-là pourrait vivre dans un monde sans femme.

Sparda se gratta la barbe.

"Zertyline mais que veux-tu enfin? Tu est malade, possédée par une liche? C'est vraiment toi? Tu te rends compte que tu viens de dire a la personne qui a combattu une legion entiere pour te proteger et qui s'est fait vaincre, torturé, qui a permi ton évasion, qui a protégé Ikar, ton mari decéder, mm dans un corps qui n'était pas le sien, a cette personne tu lui dit que tu aurait preféré ne jamais la rencontrer ?! Et bien j'aurais du te laisser crever comme une chienne dans amrill face a une armée entiere tu aurai compris ce que jai enduré !"

Sparda avait appuyé sur le passage d'Ikar. Il ne pensait pas ce qu'il disait, mais aspirait juste a faire reagir la demonne.

"Tu veux quoi au juste? devenir une mere demonne hermite asociale? Ou alors te remettre sur pieds et prendre un roi demon comme pere pour ta fille?"

Zertyline se retourna et cracha par terre.

Ma fille peut trés bien apprendre a vivre seule avec moi dans la nature.

Elle ne donnerai pas beaucoup plus d'explication, le démon avait tout les élément pour comprendre et il venait de les cité.
C'est bien plus la mère que la fille qui à besoin d'une présence masculine depuis qu'Ikar est mort,mais elle ne se réduirait pas à une relation à sens unique.

Seigneur Sparda j'ai été heureuse de partager quelque moment avec vous, mais celui-ci n'a ni queu ni tête et me fait plus de mal que de bien.

Quand à vous, Druedan, je n'ai eu l'occasion de vous connaitre et vous ne me reverrez point si vous ne le souhaitez pas.

Aprés avoir prit congé d'une facon un peu plus décente, bien que cela sonnait faux la démone repris le chemin de la forêt.Une "mere demonne hermite asociale". On moins on lui laisserait la paix.

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Profite Sparda c'est la premiere et la derniere fois ou je me reduis a t'appeler "seigneur"

Le Roi démon qu'était Sparda repris le dessus, et Sparda passa sous sa forme démoniaque complete. Il commencea a hurler des injures et son aura fit bruler tout ce qui était autour de lui. Il frappa dans un arbre centenaire qui vola en éclat.

"INGRATE ! APRES TOUT CE QUE J'AI FAIT POUR TOI JE N'AI DROIT QU'A UN "aurevoir seigneur Sparda !!!" TU EST STUPIDE VA RETROUVER TON MARI DANS SON ROYAUME C'EST TOUT CE QUE JE TE SOUHAITE !!!"

Sparda, énervé au possible, arracha le bout de tissu qui couvrait son épaule. Un grosse cicatrice la marquait, ainsi que sur son omoplate.

"AFFRONTEZ UNE ARMEE A VOUS SEUL POUR UNE DAME, FAITES VOUS TORTURE, EN REMERCIEMENT VOUS AUREZ DROIT A 3 CICATRICES ENORMES ET UN "J'aurais preferé ne jamais vous connaitre..."!!!"

Puis le démon arracha un autre arbre qui, malencontresement, parti vers Druedan. Sparda ignora cet accident et parti d'un pas lourds vers Shamar. La combustion d'un arbre commenceait a faire bruler toute la foret, et Sparda hurla une derniere phrase.

"QUE TA FILLE SOIT MAUDITE JAMAIS VOUS NE SEREZ EN PAIX !!!"

La démonde se retournat à nouveau mais c'es pied ne touchait plus terre, tout comme quelque mois plus tot alors qu'elle était encore enciente elle se retrouvait prise dans une bulle portectrice qui semblait sortir de nul par, la faisant flotter à 5 pied au dessus du sol.

Sparda Death-Hammer, je n'est jamais été marier à Ikar et j'aurai bien voulu vous donnez plus que trois cicatrices.

Quand à ma fille elle est déja maudite par ces origines.

Elle leva les bras, le bébé flottait devant elle, comme porter par le vent.

Une pluie s'abbatit sur la foret, trempant Sparda Jusqu'au os et deux éclair s'abatirent prés du démon.

Calme-toi! Je n'aurai aucun scrupule à blesser un roi!