Dans la geôle

Cela faisait un moment que je moisissait dans ma geôle. Trop à mon goût. Ils avaient commencé par m'enfermer dans une prison aux murs en rectangle blancs. Seulement il était impossible de dire de quelle taille était la pièce. J'avais marché d'un bout à l'autre puis vers le centre. J'avais alors faillit tomber dans un trou. Malgré mon esprit brumeux, j'ai pu apercevoir des lambeaux de chair en putréfaction et de nombreux rats affamés. Soit je tombais dedans, ce qui était prévu, soit je mourrai de faim. Ou alors je tenais en mangeant les rats. N'avais-je pas toujours dis "La faim justifie les moyens" ? Comment puis-je avoir encore une once d'humour. Serais-je vraiment fou? Interressante perspective. Les fous souffrent-ils en mourant? Je ne vais pas tarder à le savoir. Désormais, ils m'ont attaché à une sorte de banc en bois et on faisait descendre un pendule sur moi. Des jours que cela dur et je sens déja le souffle du pendule qui descend. Ou le souffle de la mort. Je n comptais pas mourir les muscles atrophiés, aussi peu imposants soient-ils. Je forçais une dernière fois sur les liens sans y croire. Et pourtant. Je commençais à comprendre la signification de l'expression "une idée qui germe". Je n'étais attaché que par une lanière. Il me suffisait de trouver un moyen de la couper. Je frottais un bout de la viande qu'ils me laissaient pour que je souffre plus sur un morceau de la lanière. Les rats pullullaient autour de moi. Ils se jettèrent sur la lanière. Bientôt elle lâcha. Je sortis rapidement en roulade sur le côté et commençais à réhabituer mes muscles aux travail.

Le pendule remonta immédiatement : on m'observait donc.

Une odeur de fer chauffé monta à mon nez. Une châleur intense se dégagea des murs. Ils bougèrent. Il formèrent non plus un carré mais un losange qui se rabattait rapidement. Les toucher revenait à brûler sur place. Lorsque je n'eut plus beaucoup de place, je compris leur but. Le trou. Ils voulaient que j'aille dedans. Soite. Par bonheur, ils avaient accepté de me laisser mourir avec mes armes. Je dégainais mes deux sabres et sautais dans le trou. Je plantais alors mes sabres dans la chair en putréfaction et les autres chose que je ne désirais vraiment pas reconnaitre. Je me stabilisa alors dessus et sortit ma dague pour ma main droite : Perte. Quand des rats approchaient, je les abbattaient. Quand enfin les murs se retirèrenr, je sortit tant bien que mal avec un rat mort dans la main. Je l'écorchais, lui coupait la tête et mordit dans la chair qui recouvrait les côtes de l'animal avant de m'exclamer :

Si j'ai bien compter, je tiendrais plus longtemps que vous avec toute cette nourriture que vous m'avez laissé!

Il y eu un moment de calme puis une échelle tomba d'une trappe dans le toit. Plusieurs hommes armés en sortirent.

Vu l'impossibilité de vous abbattre, vous aller mourir sans bras ni jambes.

C'est ce que m'annonça un de ces hommes. bien mauvais prophète qu'il aurait été... Dès qu'ils m'assaillirent, je me faufillait entre eux puis, profitant de l'absence d'armure sur mon dos, je montais l'échelle avec rapidité. Je déboucha alors dans une ruelle dont la première vision me fut désagréable. Un homme en bas de l'échelle me lançat :

Le seigneur a fait venir son animal au cas où tu nous poserais des problèmes.

Si gentil. Depuis quand vos seogneurs se baladent avec des trolls en laisse?

En effet, un troll se dressait de vant moi. Il leva le bras et l'abbattit en coup direct sur moi. Je sautais sur le bras gigantesque de la bête et courut vers sa tête. Alors que j'y arrivais, que je m'apprêtait à planter mon sabre dans sa nuque, une pierre reçue en pleine tête me déstabilisa et ej tombais au sol. Un garde venait de sortir de ma gêole. Le troll n'avait pas apprécié le jeu. Il leva un bras, une lueur malveillante dans l'oeil.

Damnation...

Lorsque le troll abattit sn poing, je fus tenté de prier. Mais à quoi bon? Une prière ne vaut pas un bon sabre et le talent. Je fis une vive roulade sur le côté, me ruinant ainsi les côtes à cause du sabre qui pendait à mon cou et dont la garde était imposante, évitant le coup de poing. Je me relevai puis je courut vers un maison puis sauta au travers d'une fenêtre. Du bruit à l'étage se fit entendre. J'avais intêret à partir en vitesse. Je ne me fis pas prier pour cela. Alors que je sautais par une autre fenêtre, que je pris soin d'ouvrir pour éviter de faire du bruit, puis je parti au hasard des ruelles en maintenant une direction fixe. C'est le meilleure moyen à ma connaissance pour sortir d'un endroit quel qu'il soit. Les gardes finirent par m'apercevoir. Ils avaient solicité l'aide d'un mage. La façon dont j'avais charcuté un des leurs avant d'aller en prison avait du leur donner quelques préjugés sur moi. Un éclair jaillit vers moi. Je dégainait le sabre et le brandit devant l'éclair de justesse. comme prévu, la magie fut absorbée par la lame. Cependant, j'avais perdu l'équilibre. Je m'étalais parterre lorsqu'une main m'attrappa, une main fine et forte. On me traina vers une porte où deux personnes attendaient. Une fois que je fus assuré qu'on ne me voulait que du bien, j'articulait un remerciement, la voix encore défaillante à cause de ce que j'avais vu dans la prison. J'avais tenté de garder la face pour éviter de montrer à mes adversaires que j'étais en état de faiblesse, mais mieux vaut que des alliés soit au courant de ces faiblesses.

On m'entraina hors de la ville. Par je ne sais quel miracle, les shamariens ne me suivirent pas. Dès que je fus installé contre un arbre, la personne qui m'avait attrappé par le poignet s'agenouilla près de moi et me demanda :

Avez-vous croisé un elfe solitaire aux yeux rouge récemment?

A cette question, je n'avais pu répondre que négativement. Je me relvais et m'aperçu de deux chose. D'abord, j'avais à faire à trois elfes ; un guerrier, une archère et une prêtresse. Ensuite, je m'aperçu que la prêtresse était plutôt jeune, même pour des critères humains.
Une chose me paru évidente. Ausi je m'inclinai et dit :

Je vous doit la vie. Je suis donc obligé de vous aider à retrouver cet elfe.

La prêtresse me regarda avant de me remercier et commença à me décrire cet elfe. Il avait une taille normale, maniait les épées, portait une robe rouge et un plastron en plaqué-or et avait un certain talent de chef de guerre. Ce dernier trait m'interpela car j'avais entendu dire durant mon séjour en prison qu'un groupe d'homme résistaient à l'armée de Shamar. Lorsque je fis la proposition d'aller y jeter un coup d'oeil, cette idée me parut stupide car je voyais mal un général elfe au milieu d'une troupe d'hommes, pourtant la prêtresse accepta vivement l'idée et me demanda où était cette ville. Je lui indiquait la direction d'Amrill et nous partions, moi encore fébriledes horreures que j'avais vécu, m'appuyant sur l'épaule du guerrier, prenant soin de noté de le remercier une fois arrivé à bon port.

» Dans la ville de Valérian
» Dans la périphérie de la ville
» Précision sur Vinh'san (oui, dans du flood).
» Absence (en même temps dans cette partie...)
» Un escapade dans les alpes ainsi que Les jeux vont commencer