Le Manoir

Après de longues semaines à marché, sous forme de loup pour le Vampire et a pieds pour Ikar et lyo, les 3 compagnons arriverent dans ce pôrt qu'était Sombrivage. L'atmosphere y était extremement lourde, et les gens s'écartait autour d'Alucard, qui n'y prêta aucune attention. Tout en haut d'une colline, en haut de cette petite ville, Tronait un imposant manoir visiblement inoccupé par des vies humaines. Il en émanait un grand danger, et cela provoquait surement cette ambiance pesante. Les 3 compagnons arriverent devant le manoir, tellement grands qu'on aurait pu le considerer comme un chateau, mais assez luxueu pour paraitre un manoir de noble. Les 3 apprentis héros se mirent devant la lourde porte.

"Ici est mon domaine si l'on peu dire. Mon père fut un des plus grand guerriers au monde. nous devons traverser une dizaine de salles pour acceder a la salle du trône. dans 5 d'entre elle vous serez chacun mis à l'épreuve. Enfin dans la salle du trône nous accederons a la recompense..."

Alucard poussa les lourds battants de la porte en même temps. La porte était grande ouverte, et Alucard fut le premier à pénétrer dans ce manoir ou la seule lumiere importante venait du grand vitrail au plafond de la salle. Un grande statur d'un guerrier extremement musclé tronait dans le centre de la salle. Ce guerrier avait dans une main une épée tendu vers le vitrail du plafond, et dans l'autre main un marteau de guerre magnifique . Plusieurs choses était étrange. Du marteau dégoulinait de petites quantités de sang en permanence, et les cheveux longs et blancs de la statue semblait bouger legerement au gré des courants d'air. Amlucard s'inclina devant la statue, en attendant la reaction des autres membres du groupe, derriere lui.

Que voulait-il qu'on fasse? Sans doute la même chose que lui. Alucard aurait pu nous donner des directives claires avant d'y arriver. Et de quelle récompense parlait-il? Je doutais que nous pourrions garder pour nous un trésor. Je m'inclinai moi aussi. Je n'avais pas l'intention de me battre avec cette statue. De quoi se faire embrocher et éparpiller partout par la suite.

Vraiment d'une voix basse, presque imperceptible, je soufflai à l'oreille de Lyo de nous immiter. Je posai la main sur mon épée et cherchai le regard d'Alucard. Que fallait-il faire maintenant?

Alucard fut fier de la reaction de Ikar. Il venait de s'incliner devant Sparda Death-Hammer. Lyo s'inclina aussi sus la recommendation d'Ikar. Tout trois ce relevèrent, et, Alucard toujours à la tête du groupe, monta les escaliers derriere la statue. Il arriverent tous dans une salle à manger tout f'abord. Tout semblait calme. Soudain, du placard au fond de la salle, surgit à tout vitesse des dizaine de pantins armés de lames incrustées dans leurs bras. Il semblait controlés par l'invsible, et foncerent sur Ikar. Alucard recula et Lyo degaina ces dagues.

"Lyo range tes armes !!! Ikar, occupe toi en seul, et en utilisant que ton humanité. Pas de griffe ni de force surdéveloppé ni de crocs."

[hrp désolé d'avoir poster pour lyo mais elle semble pas tres présente ces temps-si.]

Dix!!?! Comment devais-je survivre à 10 contre 1. Je n'avais même pas le droit d'utiliser mes compétences de loup-garou. Épée en main, je fonçai dans le tas. Le premier des pantins en face de moi, je me baissai pour éviter un coup d'épée. J'enfonçai ma lame dans ce qui semblait être le coeur de la marionnette. L'ennemi cessa de bouger un court instant, puis se remis en marche, se dégageant de mon arme et brandissant son bras armé. J'évitai un second coup, mais un deuxième pantin se joignit à la fête, les autres arrivaient tranquillement, comme si rien ne pressait.

En visant la tête du premier bonhomme, je coupai le fil qui pendait du vide à son bras. Le membre de se dernier cessa de bouger. Je venais de découvrir comment m'en sortir. Un coup d'avant bras sur mon crâne d'une troisième marionnette m'assoma à moitié, puis une lame vint entailler mon épaule. Je ne voyais plus rien. Une rage non seulement envers les ennemis, mais aussi envers Alucard et Lyo émana de moi. Je ne contrôlais plus ce que je faisais. J'étais encerclé, même Alucard ne pouvait me voir malgré sans grande taille. Puis soudain, je fis un bond prodigieux. Des griffe au bout de mes doigts, je coupai les ficelles qui retenaient la tête des deux premier pantins. J'atteris sur un troisième qui n'était pas encore arrivé à ma hauteur.

Il n'y avait pas de sang, mais je venais de tuer deux ennemis. plus que 8. et un en mauvais état sous mes pattes de loup. J'avais violé la seule règle qu'on m,avait imposé, mais je serais mort sans mes compétences. Il fallait savoir éxécuter les ordres, mais contourner les règles lorsque c'était nécessaire.

Je coupai la ficelle du monstre sur lequel j'étais et me retournai vers les 7 autres. Sans regarder mes alliés, je m'éxécutai. Le travail serait vite fait cette fois. Je mis à terre la moitié d'entre eux en quelques secondes. Il en restait maintenant 3 et demi. L'un d'eu avait perdu l'usage d'une jambe et d'un bras. Je récupérai mon épée échapée plus tôt et tranchai le fil qui retenai le "demi" à la vie. 3 contre 1, c'était maintenant un jeu d'enfant!

Comme je l'espérais, les trois se mirent en cercle autour de moi. Le premier à frapper, frappa son confrère. Le cercle me laissais peu de place pour bouger, mais leur en laissait autant. Le coup donné et esquivé du pantin, je sautai un peu plus haut que les compétence d'un homme et atteris sur les épaule de la chose. Une fois son fil coupé, l'autre qui avait reçu le coup était en bien mauvaise posture. Je voulus couper la corde qui le retenait à ce monde, mais la dernière de ces créatures m'envoya valser à terre d'un simple coup de coude. Je me relevai tant bien que mal, pour me faire renvoyer au sol une seconde fois. Je commençais à être tanné. Encore à terre, je roulai pour esquiver un coup porté vers ma tête. Dans un même mouvement je fis un croche-pied au pantin qui perdis l'équilibre le temps d'une seconde. je coupai les deux fils qui retenaient ses pied. Je mis fin à ses jours d'un petit coup de lame entre les deux yeux. Je me dirigeai vers le dernier survivant et lui arrachai la ficelle à main nue. C'est la qu'une lame s'enfonça dans mon abdomen, m'arrachant un cri. On ne pouvait pas les tuer sans couper leur fil. Dans un dernier élan, je mis fin au carnage et tombai à terre, encore conscient.

Alucard releva Ikar par le col, et le plaqua bien haut contre un mur. Il lui colla une bonne paire de baffes afin de le reveiller, mais aussi de lui devisser la machoire.

"Echec complet, tu a encore 4 salles our te ratraper, Lycan. Si tu echoue sur ce test c'en est fini de ton séjour à la confrerie !"

Puis Alucard laissa tomber son apprenti sur un des sieges. Il sori quelques bandes de soie de sa cape et commencea à bander le jeune garçon. Quand il eu fini cela, il se leva sans un regard pour le perdant , et il alla vers la porte au fond de la piece, à coté de l'armoire. Il la fracassa avec son pieds, et avancea dans la salle suivante. Un cuisine, pleine de toiles et pleine de haches servant, du moins etant censé servir a la cuisine, mais au vue des taches de sang et de la taille et la forme des haches... 5 sortes d'enorme tas de graisse a l'apparence etrange surgirent d'un coin de placard pour prendre l'apparence de grosse personne tres tres laide. Ces choses attraperent les haches et foncerent sur lyo, qui devait les combattre, seule.

"Pas de regle spéciale, contente toi de les battre."

Les 5 petites créatures immondes se rejoignirent soudain, se transformant en un tas de gras impressionnant, doté de plusieurs bras et d’une énorme boule qui lui servait de tête, avec 5 paires de petits yeux, à moitiés caché par des bouts de gras.
Lyo regarda la chose devant elle et eut un haut-le-cœur, une profonde expression de dégout s’imprima sur son visage.

(Ce n’est pas vrai, mais qu’est ce que c’est que ça ? !)

Elle tourna ensuite son visage vers Alucard, ces yeux jaune exprimant une colère profonde et sur ces lèvres un rictus de haine. Il allait lui payer, celui-là.
Elle se retourna juste à temps pour voir la chose arriver vers elle, toutes lames dehors. Elle eut un cri étouffé et se baissa pour éviter un coup violent de hachoir. Reculant sur le sol, le souffle court, Lyo toucha bientôt le mur de son dos : Il était froid, glacé, même. Elle eut un frisson, et chercha sur ses cuisses ses dagues. La créature avançait doucement vers elle - la graisse, pensa-t-elle, tout ce poids de gras, ça doit être difficile à transporter. Elle envoya une des ces armes à l’endroit précis ou aurait dut se trouver le cœur, mais l’arme s’enfonça avec un bruit de sussion atroce sans avoir l’air d’affecter la bête outre-mesure, d’ailleurs, elle continua d’avancer sans un seul instant de recul.
La jeune femme se releva, tremblante, la créature n’était plus qu’a quelques mètres et elle s’était coincée dans un coin de la cuisine, sans issue possible.
Elle se maudissait d’autant de bêtises, comment avait-t-elle put commettre une erreur pareille ?
Finalement, elle prit une grande inspiration, et se jeta dans les ‘ bras ‘ de la bête. Son dos et des coudes s’enfoncèrent dans le gras de se corps et elle ne put retenir un hurlement de dégout et d’horreur. Elle se débâtit violement, ce n’était peut-être pas une bonne idée, après tout, foncer dedans comme ça, et passer au travers… Non, c’était une idée très conne en faite. C’était gluant et froid, autant que la pierre du mur, tiens. Et elle était persuadée que ça tacherais à jamais ces vêtements ! Le gras, ça ne pardonne pas.
La bête finit par se rendre compte de la présence intruse de Lyo sur son flan, aussi, doucement et lourdement, elle retourna son arme contre elle, et frappa de ces multiples hachoirs l’endroit ou était blotti la jeune demoiselle.
Elle hurla de nouveau, évitant tant bien que mal les coups.
Elle ressentie une douleur atroce dans son bras droit, et quand elle regarda, elle aperçut une horrible plaie, profonde et sanguinolente dans laquelle le gras commençait à couler. Le temps qu’elle réagisse, un autre coup, dans sa cuisse cette fois et beaucoup plus puissant lui fut donné.
Elle cria à nouveau et se tourna, face contre la peau du monstre et poussa aussi fort qu’elle pouvait. Elle passa au travers, non sans dégout.
Et puis, elle recula de l’autre coté de la pièce, aussi, long qu’elle le pouvait de la bête.

(Nom de Dieu, nom de dieu, nom de dieux, nom de…)

Sa main rencontra soudain une chaleur insoupçonnée. Elle se retourna, et eut un rire nerveux.

(Un feu, un feu, un con de feu ! Une saloperie de feu ! )

C’était plutôt des braises, mais ça chauffait encore. Et sur le dessus, une marmite énorme d’eau, à peine chaude. Enfin, elle fumait un peu.
Pendant qu’elle réfléchissait, la créature avait fait demi-tour et lui faisait face.

( Bon, bon, bon… )

Elle attrapa une louche qui pendait, et envoya une giclée d’eau sur la bête.
Elle poussa une sorte de petit cri perçant, et fuma un peu.
Lyo, satisfaite, fit tomber la marmite, en remontant laborieusement sur le plan de travail pour éviter l’eau brulante. La chose, en rencontrant le mini-torrent d’eau, poussa un autre cri, plus long, cette fois, et se mit à fondre doucement.
Il ne restait plus que le haut de son corps, ces ‘jambes’ ayant totalement fondue quand Lyo s’approcha d’elle. Elle lui enfonça ses dagues dans la tête et fut surprise de rencontrer une résistance osseuse. Elle frappa aussi fort qu’elle le put, presque frénétiquement, avec haine, et rage. La bête hurla puis, se tut et se ramollit.
Elle continua de frapper, encore et encore. Avant de tomber, essoufflée mais ravie à coté de la bête.

Alucard fut, malgré sa colere, plus ou moins fier du reflexe quelque peu dégoutant de la fille, se jeter dans les brasd'un monstre de graisse afin qu'il ne se frappe lui même...ingénieux. Il attrapa Lyo par la main et la posa sur une chaise.

"Tu as besoin de bandages ou tu as encore égorgé un ecureuil ?"

Le vampire enleva un de ses gants de soie et plongea la main dans la bête terrassée. Il en resorit le couteau de Lyo, qui lui posa sur le genoux. Malgré la haine du démon envers cette fille, il ne pouvaot s'elpecher de rester calme et doux avec elle, surment un reflexe...bref, Alucard regarda la fille dans les yeux, en tentant de ne monter aucun signe de peur pour l'état de la jolie jeune fille. De profondes blessures avec de la graisse etrange qui s'écoule a l'interieur... Alucard connaissait toutes les bêtes de ce hateau, et cette graisse ne pouvait qu'être tenebreuse au vu des intentions de la bestiole vaincu. Sans même attendre la réponse de la fille, Alucard sorti un bandage de sa cape et héita entre le tendre a Lyo ou tenter de l'appliquer lui même. Erreur, cela ce voyait...Il posa le bandage sur la table à coté, et se tourna dos a la fille. Cela s'annoncait mal...terriblement mal pour l'état de Lyo mais aussi pour l'achevements de la mission.

"Il faut aspirer le gras des plaies...Je t'aurais bien proposer mon assistance mais je pense qu'une aide de ma part t'importe peu..."

Puis Alucard ouvri la porte suivante, qui donnait sur une cour, un jardin plus précisement. Un beau Jardin à la francaise, bien symétrique, avec une fontaine impressionante en son centre, un grand dragon noir couvert de plaque de metal gravé de petites rune sous lequelles coullait un liquide verdâtre, malgré que ce soit une statue. Sur le piedestal était gravé : Deathwing, jadis gardien des enfers.Alucard se tourna vers les 2 élèves dans la cuisine. Et retourna les voir.

La jeune fille sans un mot, attrapa les bandages près d'elle et s'essuya avec avant de les lancer au loin quand elle se trouva suffisament propre.
Elle jeta un regard dénué d'expression à Alucard, et le même sur Ikar, qui venait de les rejoindre. Elle soupira un peu, et son oeil se vitra un peu.
Elle secoua la tête, pour reprendre ses esprit.
( Ca suffit, les blagues ! C'est rien du tout ! Alors, arrete de faire ta mauviette ! )
Pourtant, sa tête lui faisait mal, et elle avait l'impression qu'autour de ces deux plaies, des petites bêtes grouillaient, comme pour manger tout sa peau blanche.
Elle se pencha sur sa jambe et appuya sur sa cuisse, comme on appuyerait sur un bouton. Des bout de gras gélifié sortirent, mélés au sang et elle retient un hurlement de douleur.
Elle se rassit et laissa sa tête tomber en arrière, haletante.

Alucard s'approcha sans un mot de la fille.

"Je sais que cette graisse est un poison, et ne cèdera pas a la panique comme la dernière fois."

Alucard enleva les bandages à la cuisse et au bras de Lyo, et aposa ses lèvre sur la plaie du bras e npremier. C'était si tentant de la mordre et d'en faire un des siens que Alucard fut obliger de repensser a sa mission, instruire ces élèves. Il caspira cette graisse de la plaie du bras de la jeune fille, et la recracha au sol au plus vite. Il continua ainsi jusqua avoir une plaie saine. Il y aposa un bandage neuf, et fit le noeud assez serrer, pour empecher un écoulement de sang trop important qui imposerait un arret du test. Reste la plaie de la cuisse. Alucard proceda de la même fasçon, non sans plaisir, et posa aussi un bandage, en essayant de ne pas profiter de sa position par rapport a la jeune fille. Alucard se leva, toujours aussi digne, et versa une grande coupe d'eau sur la tête de la fille, pour lui raflaichir les idées...En esperant que cela la soigne...

J'avais assisté à la scène, impuissant. C'était à Lyo de faire ses preuves maintenant. Et ce serait bientôt mon tour à nouveau. J'observai tous les mouvement de la guerrière, me rendant compte que je n'aurais pas agis comme elle. Mon instinct de loup ne m'aurait pas poussé dans un coin. Autre part, le simple fait de sauter par dessus le créature aurait été impossible pour la jeune femme. Par contre l'idée de l'eau bouillante était excellente. Elle avait le droit de faire ce qu'elle voulait... Mais pas moi?

Peut-être qu'Alucard m'en voulait de ne pas avoir pris sa vie plus tôt? Ou bien il pensait que j'allais devenir un très bon combattant. Ou bien c'était maître Renard qui voulait me tester? Ou bien?.. Ou bien..? Trop d'options..! Je ne pouvais pas encore savoir la vraie réponse, mais je le saurais bien assez tôt.

Après qu'Alucard ait soigné Lyo, je pris la main de la jeune femme pour l'aider à se lever. Son regard croisa le miens l'espace d'un instant. TOut se figea autour de moi et cela sembla durer des heures. Finalement, je demandai à Alucard ce qu'était mon prochain défi.

Alucard sourit face a la témérité d'un apprenti blessé.

"Encore une fois tu va affronter des créatures de ténèbre SANS TES POUVOIRS de Lycan. "

Il sortirent tout les deux, Lyo tenta de marcher mais fut tres mal en point quand au principe de tenir en équilibre sur ces jambes. On peut donc dire qu'elle se traina vers eux en quelque sorte.Quand Alucard vit la lenteur à laquelle elle se déplassait, il appela de petites chauves sourris qui allerent vers la jeune file et se mire sous ses bras afin d'aleger son poids. Il était donc dans le jardin, avec un blessée grave qui devrait s'en remettre, et un blessé suicidaire, ainsi qu'un vampire en parfait état de santé mentale et physique (quoi que le mental reste à discuter). Alucard siffla, mais aucun son ne sorti de ses levres. Malgré cela, deux petits gobelins accoururent.

"Oui Maître?

-Ammenez moi Krieg.

-Oui seigneur..."

Les gobelins partirent, rechignant discretement cet ordre. Ils avaient peur. Quand ils eurent disparu, un énorme troll couvert de blessure et ayant quelque lames encore planté et même incrustées dans la chair arriva. Ce n'était pas vraiment un trolle special : Il mesurait juste 40 metres de hauteur. Le gros point faible de l bestiole était particulierement visible, le coeur, a la place humaine, qui n'était pas proteger du tout, mis a part une robuste couche d'écaille. Les gobelins n'étaient plus là, mais une jambe dépassait de la putride bouche du troll. Alucard regrda la bête dans les yeux. Celle-ci fit de même et se mit a frapper ses poings contre son torse sans rythme bien précis. Le troll hurla aussi fort qu'il le pouvait, et se tourna vers Ikar... Alucard se mit à labris derriere la fontaine, en aidant Lyo à venir avec lui. C'était un abris de fortune, qui n'était pas tres sur...mais c'etait un abri !

Je dégainai mon arme. Il fallait bien que je fasse mes preuves, mais je doutais que je parviendrais même à lui infliger une blessure qui pourrait le ralentir. Je regardais la mort en face. Je n'avais pas d'autres choix.

La bête frappa. Son grand défaut était la lenteur. Je sautai de côté, évitant la masse de justesse. J'avançai vers la bête et voulu lui enfoncer ma lame dans le pied, ce que je fis. Soudain, je me sentis moins fatigué. Pas beaucoup moins, mais quand même. Je donnai un autre coup et la fatigue s'estompa complètement. La bête s'affola et lâcha un grognement sur Alucard et Lyo qui était resté un peu en arrière. Il ne fallait pas qu'il les attaque. C'était ma tâche de m'en débarasser. J'enfonçai la moitié de ma lame dans le mollet du monstre. Il hurla de rage. Du sang noir gicla sur mon visage. Quand je retirai ma lame, je compris que c'était elle qui faisait en sorte de me revigorer. Une lueur jaune blanche, comme des étincelle en sortait chaque fois que je donnais un coup. C'était à peine perceptible.

Trop tard, la bête attaquait déjà Alucard. C'est là que j'eu une idée.

-LYO, prend mon arme, chaque coup que tu porteras à son but te redonnera de l'énergie.

Je lui lançai l'arme qu'elle attrapa plutôt facilement. Moi je sortir mon couteau de chasse que j'avais trainé au cas ou je devais me séparer de mon arme principale.

Alucard souri, laissant apparaitre un croc luisant. Il se transforma en chauve souris et virrvolta autour de la tête de la bête, qui en fut désorienter. Alucard essayait de ce mettre sur le dos de la bête.

"Lyo, attire son attention au plus vite !!!"

Alucard continua de virevolter ainsi. Ce n'était pas facile, la bête avait beau être lente, ses bras était immense par rapport à une petite chauve-souris!

Lyo retient un gémissement de douleur en attrapant l'arme d'Ikar : son bras lui faisait affreusement mal, et l'arme était quand même plutôt lourde.
Elle n'avait même pas eu le temps de se redressser, quand Alucard se transforma, la laissant seule face à la créature. Le distraire, qu'il disait ! Avec sa jambe et son bras en charpie, c'était plus facile à dire qu'a faire. Et puis, faire quoi, de toute façon ?
Elle s'approcha en titubant du troll qui ne l'avait pas encore remarqué et prenant son courage à deux mains, elle enfonça l'épée d'Ikar dans son pieds. Elle s'appuya de toute ces forces sur la lame et un frisson lui parcourru le corps.
La bête cria avant de se baisser pour observer la jeune fille, encore appuyé sur la lame. Ce fut l'haleine putride de la bête qui rendit à la jeune femme ces esprit, elle se sentait beaucoup mieux, d'un coup, mais ce n'était pas le moment d'y penser, elle poussa un petit cri aigu avant de tomber sur le sol. Elle se redressa aussi vite qu'elle le put, et recula.
La créature, plus énervée que jamais tappa sur sa poitrine, avant de se lancer à la poursuite de la fille...

Alucard suivi un peu la bête durant la course après Lyo. quand celui-ci s'apprêta à la coincer et à l'écrabouiller, le vampire repris forme humaine. Il était sur la nuque du monstre. Il sortit ces chaines, et les enroula autour du coup de la bête. Là, il tira de tout ces forces. La bête commencea à avoir du mal à respirer. Alucard tira plus fort, et la bête se redressa autant qu'elle le pouvait pour tenter d'attraper Alucard avec ses gros doigts. Alucard tira legerement plus d'un côté. La bête se tourna, toujours tentant d'attraper le vempire sur sont dos, face à Ikar et dos à Lyo.

"Lyo, derriere les genoux !"

La jeune fille revitalisée trancha les tendons. La bête à genou, toujours tiré au maximum en arrière. Alucard devait forcer comme un boeuf, et ne tiendra pas plus longtemps. De plus, il devait bouger pour que le bête ne l'attrape pas !Quand le vampire n'eut plus de force, il ne put s'empecher de crier.

"IKAR, VAS-Y !!!"

En effet, la bête tentant d'attraper le vampire était tirée en arriere, et laissai donc son coeur bien à découvert, et la peau bien tirée, donc facile à transpercer ! C'était l'exercice d'Ikar, et celui-ci se devait de tuer Krieg.

Je m'approchai au maximum du coeur, mais même si la créature était à moitié étouffé, ce n'était pas facile de l,atteindre. Et la tuer avec un couteau de chasse? Pour me rendre ou je devais, il fallait que j'évite les bras de la bête et que je perce sa peau et casse ses os avec un couteau.

Je pris une grande respiration et me lançai. Quand je perdis pied, je sus que je venais d'utiliser une compétence de loup-garou. Le saut fut prodigieux pour un homme, mais néammoins faisable. J'espèrais qu'Alucard ne remarquerait pas.

J'atterris sur les genous de la bête, le couteau planté directement dans le coeur. Le troll eut des convulsion et réussit enfin à se débarrasser d'Alucard. Il me repoussa également. En tentant de se remettre debout, il perdit l'équilibre et retomba face contre terre. Je pris l'épée des mains de Lyo et lui coupai la tête en trois coups puissants. J'espèrais que selon Alucard j'avais réussis. Ce n'était pas moi qui avait poussé la bête à attaquer mes alliés. Ma seule erreur fut ce saut final, qui était toutefois possible pour un humain bien entrainé.

Je regardai le chef d'équipe, la face encore pleine de sang noir. Je ne dis mot. Ce n'était pas mon habitude de me plaindre ou de parler pour ne rien dire.

Lyo se releva, elle avait le souffle court, et était impressionnée par le déroulement du combat, mais, bonne nouvelle, elle n'avait plus aussi mal au bras et à la jambe. Elle se sentait même particulièrement calme et sereine. Elle s'épousseta les vêtements avant de se diriger vers Ikar, avec dans les mains les bandages qu'elle avait volé, un peu auparavant à Alucard - On ne renie pas ces instincts, après tout.
Elle les lui tendit en souriant :

" Essuie-toi avec ça, va."

Puis, elle prit un air plus sérieux, et lui posa une main sur l'épaule :

" Félicitations, au faite ! C'était vraiment bien, je suis sure qu'il n'aura rien à redire ! "

Quand Krieg tomba au sol avec les convulsions, Alucard fut projeter au loin et alla s'écraser contre un mur, avant de retomber au sol lourdement dans de gros bruits de froissement de cape. Son effort avait été tel qu'il n'avait même plus eu la presence d'esprit de se transformer en chauve souris. Le démon ressenti une grosse douleur à l'épaule gauche et ne pu s'empecher de pousser un grognement à l'atterisage. Le vampire se releva tant bien que mal et rechutta. Il se transforma alors en brume, du moins tenta de se transformer, mais il ne put pas, il était trop fatigué. Deuxieme tentative de se relever, reussite. Le vampire se retrouva sur pieds. Il se recoiffa approximativement d'un geste lent, et adrressa la parole aux deux apprentis.

"En premier lieu, "Lui" il a un nom, et en second lieu, j'ai à redire. Je considere ce test comme une reussite, malgré l'assistace que nous avons du t'apporter."

Puis le vampire se traina jusqu'a une haie immense ou il y avait une porte. Le vampire rentra dans cette haie, suivi par les autres membres du groupe. Il se retrouverent dans une petite salle carrée, dont les murs étaient des haies. On ne pouvait voir ni dessus ni dessous, et elles étaient tellement dense qu'il aurait été vain d'essayer de passer au travers. Un espece d'ombre sortit alors du mur, et assena un coup au mollet de Lyo. Alucard se mit dans on coin avec Ikar.

"Tu n'aura pas besoin de sa Lyo..."

Le vampire fit un léger mouvement de la main et une brume impenetrable s'installa autour de la tête de la jeune fille, elle pourrait bouger autant qu'elle voulait, la brume la rendrait toujours aussi aveugle qu'elle l'est actuellement. Elle devrait donc battre cette bête cere faible, mais qui se cachait dans les murs, sans le sens prodigieusement pratique qu'est la visions...

Lyo fit de violents gestes de la tête pour se débarrasser de cette fumée autour de ces yeux. Quand elle comprit que c’était peine perdu, elle essaya de se calmer, et de réfléchir à ce qu’elle pourrait faire pour en finir au plus vite avec cette épreuve. Elle n’était pas du genre à avoir peur de quelqu’un ou quelque chose, mais, à dire vrai, le noir la stressait. Pendant qu’elle reprenait ces esprits, la bête lui attaqua le mollet une ou deux fois, on aurait dit de petites morsures, comme un crochet qui lui attrapait la peau, la douleur était fulgurante, mais disparaissait vite. Elle se pencha pour se masser le mollet, et découvrit, sans trop de surprise, qu’il était en sang.

« Et merde ! »

Ca sortait du cœur.

Ses dagues en mains, elle se jeta furieusement dans la haie, ce qui n’eut pour résultat que de lui donner une furieuse envie de se gratter la tête et les bras, il faut croire que cette connerie était urticante, en plus. Elle sautait dans tous les sens de rage, alors que la créature prenait un malin plaisir, après s’être attaqués à ces mollets, à remonter sur ces cuisses.
Elle essaya vainement de l’attraper à pleine mains la chose, ce qui l’énerva encore plus.
Finalement, au bout de dix minutes d’un attrape-moi si tu peux sordide, Lyo abandonna : Elle s’assit sur le sol, en plein milieu de la cour, et attendit.
Peut-être un ou deux minutes après ce reffut formel de bouger, la créature s’approcha à nouveau de la demoiselle. Rapide, elle lui parcourut les jambes pour s’approcher de son cou qu’elle s’apprêtait à croquer quand Lyo l’épingla d’un coup de dague sur sa poitrine. Elle poussa un cri de douleur, avant d’attraper la créature, et de lui tordre le cou.
Quand elle fut sure qu’elle ne bougerait plus, elle retira son arme de son corps et la lança au loin.

"Ce test fut aussi bref que reussi Lyo, félicitation !"

Alucard rendi sa bourse à la jeune fille, et recupera sons stock de bandages au passage. Il claqua des doigts, et la haie disparue dans un crissement strident dans le sol. Le vampire avancea à nouveau vers la salle suivante, qui annonceait la moitié du donjon. C'était une armurerie. Une chaleur étouffante émanait des forges en fonctionnement, comme contrôlées par des fantômes. Le groupe avancea donc au centre de la piece, et Lyo et Alucard se reculerent, et eurent le bohneur de trouer un coin assez frais ou était disposer deux chaises. Ikar resta donc au milieu de la piece, et ressenti une forte douler a la jambe. Une pointe de douleur provenant d'une chose qu'il ne pouvait voir, même étant lycanthrope. Ces choses était de minuscules pics en adamantium, infiniment petits mais par centaines de milliers. Ces choses assaillirent Ikar de toute part, piquant et repiquant a une vitesse folle.

"Vas-y petit, débarasse toi en."

Quelque chose m'attaquait, mais c'était invisible. Il y en avait des centaines, ça c'était certain. Je me débattit un moment. En envoyant quelques-uns au sol, ou du moins les enlevant des mes jambes. Une poutre de bois au dessus de moi, à environs trois mètres du sol. Je sautai et m'y accrochai. Il fallait trouver un moyen de localiser ces choses. Je sautai à quelques mètre plus loins, mais je sentis remonter celle qui était tomber, quelques instant plus tard.

Dans les forges il y avait toujours de l'eau pour refroidir les métaux, j'aurais bien utilisé de la lave, mais je doutais bien que mon propre corps n'y résisterais pas. Je trouvai une bassine remplie d'eau et m'y plongeai au complet. Je venais d'accomplir un certain miracle. Chaque petite chose créait une bulle d'air. Maintenant restait à m'en débarasser.

Je me dis qu'en me transformant partiellement en loup, ces chose décrocheraient l'espace d'un instant. Ce que je fis. Une fois en loup je sautai hors de la baignoire de fortune. Extrèmement rapidement, je déposai un grand bouclier et je mis une enclume par dessus. Alucard n'avait pas dit de les tuer, mais de s'en débarasser.

"Rien à dire, épreuve aussi brève que reussie Ikar."

Alucard, presque lassé de ces épreuves, avancea encore vers la suite. Ils passerent un porte, et arriverent dans une chambre, avec 2 lits.Alucard pénétra dans la chambre en premier. L'un des lit était a baldaquin, immense et magnifique. L'autre était plus petit, mais tout aussi luxueux. Alucard se mis à l'entrée de la piece et fit rentrer les apprentis.

"Installez-vous, le pire est à venir...dans la piece suivante, il y a une cuisine aux placards pleins et en état de marche. Servez vous, ce sont les 6emes et 5emes salles sur les dix de notre parcours. Je vais eclaircir un peu la situation."

Le vampire jeta sa cape sur le grand lit.

"Bienvenue chez moi, du moins moin anienne demeure. La statue du hall est mon père, Sparda Death-Hammer. Ceci était ma chambre. Lyo , honneur aux dames prends mon lit. Ikar, prends l'autre."

Alucard se mis au sol, et se reposa, sans dormir, en esperant que, par pitié, il n'ai pas a reparler de son passé et de lui même...

Lyo s’assit en tailleur sur le lit. Un gémissement presque inaudible sortit de ses lèvres. Elle ne chercha pas à en savoir plus sur Alucard, pour une seule et bonne raison : elle souffrait, sa poitrine lui faisait un mal de chien et ces jambes n’avaient apparemment pas arrêtées de saigner, à en juger l’état lamentable de ces bandages, qu’elle s’était posé alors qu’Ikar faisait son épreuve. Elle se les retira ne serrant les dents, pour éviter de faire trop de bruit. Ses jambes faisaient presque peur à voir, tant les morsures avaient été nombreuses. Elle les regarda avec une petite moue, et se les massa un moment, en se murmurant des mots de réconfort.

« Chut… Ca va, ce n’est rien… Chut… Calme, doucement… Voila, comme ça, c’est bien… Chut… »

Puis, quand la douleur disparut un peu, elle s’occupa de sa poitrine. Elle n’avait certes pas enfoncé la lame très profondément, mais elle avait dut exploser quelques vaisseaux sanguins un peu importants car le sang avaient traversé jusqu'à ses vêtements, et ne voulait pas s’arrêter. C’était un flot calme et peu important, elle était sure de pouvoir l’arrêter, avec un peu de patience…
Elle commença à se débarrasser de son habit, puis, sembla se rendre compte de la présence intruse d’Ikar et d’Alucard dans la chambre. Ce dernier étant sur le sol, et semblant dormir, elle se tourna vers de jeune garçon, qui s’était assis sur le lit :

« Ne regarde pas ! »

Puis, elle rit, en entreprit de finir d’enlever ces bandages.

Elle avait l'air de trouver la situation bien drôle. Quoi qu'il en soit, je me couchai sur le lit lorsqu'elle me demanda de ne pas regarder. Cette femme était.. Étrange. Je ne sus trouver autre mot pour la décrire. De toute façon je n'étais pas intéressé à la voir nue. Ce qui comptais pour moi c'était de réussir les épreuves et de devenir frère au sein de la confrérie du renard.

J'enlevai rapidement mes bottes et ma chemise et mis mon épée à porté de main et mon couteau sous mon oreiller. et si c'était un autre test? J'observai Alucard, tentant d'analyser ses émotions. Il avait l'air un peu triste bien qu'il camouflait habilement ce qu'il ressentait. Je croyais qu'il tenait sa mission trop à coeur. Je vint m'asseoir à côté de lui.

-Qu'est-ce qui te pousse à vouloir faire partie de cette confrérie?

"Tu sais Ikar, ce manir était mon ancienne demeure, et il fut théâtre du plus terrible drâme de ma vie. C'est sur le toit de ce manoir que j'ai...j'ai tué mon père, Sparda Death-Hammer...La raison pour laquelle je veux entrer dans la confrerie est que je veux me repentir en quelque sorte... Et je pense que devenir un heros, faisant la justice même a l'encontre des autorités superieures telles que l'empire est honorable. Ce lieu est chargé de souvenirs, mais aucun ne fut joyeux. Il y a eu ma fuite du chateau, le meurtre de mon père, suicide de ma mère... Etant enfant mon père me faisait affronter Krieg, je n'en resortait jamais intact...C"'était un bon et fier guerrier, et malgré l'amour et le respect que je lui portait, je l'ai tué...j'étais possédé par ce nouveau pouvoir qui m'avait été insufflé dans une sombre nuit...Le don obscur, c'est le nom que nous même lui donnons."

Alucard se redressa et entrevu Lyo. Il n'en profita point ( du moins le minimum), et se recoucha extremement rapidement, les yeux ecarquillés.

"Euuu, Lyo, sans me prétendre expert en anatomie, mais je te conseille de retirer au plus vite si il y a des éclats, et d'appuyer sur le coté et en haut pendant que tu fait les bandages. Ce serait beaucoup plus efficace et empecherais les saignements."

Alucard, même tres pâle, rougissait, et le vampire, pour la premiere fois, commencea à rire doucement. C'était certainement uen des seules fois ou les autres l'entendrai rire, même doucement. Le vampire, s'appercevant que ces coequipiers commenceaient à devenir plus proches, décida de devenir plus détendu,.Il hota ses gants, et son haut. Il était donc plus beau que jamais, torse nu avec ce pantalon de cuir et ces bottes noires. Le vampires se passa la main dans les cheveux, histoire de les ébourrifer un peu. Pas spécialement musclé, mais taillé pour le sport, bien carré et bien déssiné...mais couvert de cicatrices toutes plus grosses les unes que les autres. Le vampire installa sa cape au sol, son haut en guise de coussin et son armure en adamantium sur le coté.

"Et maintenant je pense qu'il est l'heure de dormir pour les humains et....les autres non vampire ! Lyo par pitié habille toi !"