Un livre infernal

La réponse de Sparda inquiéta Ameria. Avait-il l'intention de décimer la moitié d'une armée alors qu'il ne fallait pas ou le moins possible?

-Sparda, personne ne sait que nous recherchons ces livres pour les détruire. Je doute que d'attirer l'attention sur nous soit la meilleure solution. De plus si la ''secte'' du fils des enfers nous, ou plutôt te voit, il risque d'y avoir plus que l'armée à nos trousse. Met une cape, essai de camoufler tes ailes. Je vais aller dans la ville et trouver quelqu'un qui sache comment faire rentrer d'autre qui ne sont pas sensé avoir accès à la citée. Je penses qu'il y a des passages secrets qui mèneront à l'intérieur de la citée.

Ameria fit un grand sourire à Sparda et partit sans attendre qu'il approuve.

Sarda sourit lui aussi, quand il vit qu'Ameria était heureuse malgré son apparence et son humour....pas drôle. Il la vit partir, mais lui retint le bras et la tira contre lui. Il l'embrassa et là, il la laissa s'en aller.
Le demon utilisa le peu de magie de discretion qu'il possedait pour creer une longue cape noire, mit la capuche. Maintenant, le seul moyen de distinguer Sparda était d'aller voir sous sa capuche. Il accrocha son marteau dans le dos, forçant les ailes a se retracter tellement qu'on n'appercevait plus les bosses dans le dos. Il commencea a avancer lettement vers Valerian. Arrivé à la porte, les gardes le stopperent. Malgré le fait qu'ils pointaient leurs lance au niveau du nombril du demon, ils ne partirent pas en courant et tinrent les positions.

"Qui va la ?!"

"Je suis...Sieg Wahrheit, l'aventurier. Je souhaite me rendre dans la bibliotheque pour y faire des recherche sur les liches."

"Mouhai.....mais allez vous bien, votre voix....."

"Excusez moi de ceci, mais je suis né comme sa.....(Le demon prit un air triste)."

"C'est bon Monsieur Sieg Wahrheit, vous pouvez entrer."

Puis mes gardes ouvrirent les porte de Valerian au demon. Etrangement, elles était vides. Le demon massif marchait seul, et le bruit des ses grosses bottes avec le bruits resonant des cliquetis de son armure provoquait a eux seuls un brouhaha terrible du à la resonnance. Il traversa la rue principale, et tenta d'entrer dans la grande bibliotheque. Le probleme étant que la porte était trop petite. Sparda tenta de paser et se retrouva coincé comme un con dans l'encadrement de la porte. La dame au contoir tenta de la tirer vers l'interieur, mais la cape coincait.

"Enlevez cette cape monsieur ! C'est elle qui coince !"

Sparda repoussant assez viollement les epaules de la dame quand elle commencea à enlever la capuche du demon. Il forca un bon coup et le niveau ou la porte coincait fut arraché. Il marmonna une incantation, et la porte redevint intacte. Enfin, il alla dans le rayonnage sans un mot, et chercha le livre. Il prit d'abord un livre sur les apparences démoniaques et leur changements, puis sur les legendes du monde inferieur, des enfers. Il yu trouva son nom mentionné des centaines de fois, mais toujours quand on parlait de destruction et autres malheurs. Tout un rayon de livre parlait du legendaire Sparda Death-Hammer. Cela l'emplit de fierté, mais ausssi de malheur, car dans 75% des cas, il était mentionné en destructeur. Il s'asit donc et commencea à lire.

Ameria entra dans la ville facilement. Valérian était facilement accessible pour ceux qui n'avaient pas d'aspect pour le moins étrange. Parfois même, elle se demandait pourquoi certains étaient dans la ville. C'était pourquoi elle avait pensé que quelqu'un, moyennant quelques piécette, l'aiderait à faire entrer Sparda. Même si le livre était à la bibliothèque comme elle l'y avait laissé la dernière fois, il n'était pas ouvert au public de le consulter. Il était gardé comme archive protégé par une loi locale de nouveau roi même. Effectivement, après la disparition de l'ancien roi la dernière fois qu'elle était venu à Valérian, le nouveau avait fait une loi disant que certains documents devaient être caché au public. Hors, ces documents étaient gardé par des enchantements et des gardes locales.

Ameria se dirigea vers les cartiers mal-famés pour s'informer quand elle vit une silhouette de la taille de Sparda se rendre à la bibliothèque. C'était lui, elle le savait. Elle ne le suivit par contre pas. Elle n'allait pas tenter tout de suite de prendre le livre en connaissance de cause. Même si Sparda était fort, une faible magie de piège pouvait le réduire à néant s'il y mettait le nez. Ameria n'alla pas non plus l'avertir. Elle savait qu'il ne tenterait rien sans elle. Il savait qu'elle savait comment s'en emparer. Mais c'était plus ou moins vrai. Il fallait qu'elle se rende chez une diseuse de bonnes aventures des cartiers mal famés. Pas une voyante comme les autre qui arnaquaient, mais une vraie.

L'entrée de la maison était incrusté de runes qui était supposés éloigner les esprits maléfiques. Ça c'était pour attirer les clients, mais elle ne disait jamais de mensonge cette voyante. On la nommait Anine. C'était le nom qu'elle disait s'avoir approprier au cours d'un long voyage. C'était peut-être vrai, mais Ameria n'y croyait pas...

Sparda, ayant fini ses livres, le remis dans les rayons et s'approcha discretement de la porte au fond de la grande bibliotheque. Il vit qu'il n'y avait aucune serrure et aucune poignée. La grosse porte metallique paraissait malgré tout légerement fragile. Le demon regarda discretement la dame au contoir, qui s'éloigna doucement vers l'autre bout de la salle. Il donna un GROS coup d'épaule dans la porte qui se cabossa. Le bruit fut legerement attenué par la cape. Il donna un second coup et la porte s'ouvri. Sparda entra et se retrouva dans un long couloir de bois, entierement nu (le couloir). Il fit un pas en avant et un gros jet de flamme sorti du mur. Il arracha rapidement sa cape et tendi son aile vers la flamme qui n'y fit aucune brûlure. Il passa la flamme en se protegeant de son aile. Le second piege fut de gros pics qui sorterent du sol. Sparda donna un gros coup d'aile qui le fit s'elever dans les airs, au dessus des pics. Le troisieme piege fut un gros mur qui sorti du sol et bloqua le passage. Grand coup d'épaule, et Sparda explosa la fine cloison. Il se retrouva face a un enorme mur avec un petit trou au centre, comme par hasard, juste assez large pour Ameria.

"Putain....."

Il s'assit au sol et appella Ameria par la pensée.

["Viens....j'ai besoin de toi....s'il te plait..."]

-Je suis venu pour...
-Ne parles pas mon enfant, je sais que tu es différente des autres qui viennent. Le démon que...
-Il n'y a pas de démon madame.
-Si, il y en a un. De plus il court un grave danger qui pourrait anéhentir ses pouvoirs à jamais... Voir pire : le tuer. Tu dois le rejoindre à la bibliothèque, il t'appelle.

Comment avait-elle fait pour savoir tout tout de suite? Quoi qu'il en soit, elle n'allait pas se laisser avoir. Elle ferma les yeux un court instant et quand elle les ouvrit à nouveau, tout avait changé autours d'elle. Elle était devant la bibliothèque. Elle y entra et courut directement là ou était l'entrepôt des livres retirés au public. Sparda était sauf et l'y attendait. Heureusement. Ameria se jeta dans ses bras et... le traversa. Sparda était devenu une sorte de fantôme...

-Arrête de faire l'enfant Sparda. Il faut être prudent ici...

Elle disait cela les yeux emplis d'inquiétude. C'était bien un jeu non? C'était un de ses pouvoir?

Sparda, qui avait été heureux une fraction de seconde quand il vit Ameria, fut pris de panique quand elle pasa a travers son corps. Il tenta de se toucher le visage, mais ne toucha rien, du vent. Il tenta de frapper vers le mur, mais ne toucha rien, et passa a tarvers. Il tenta de carresser la joue d'Ameria, mais passa a travers. Il commencea à parler :

"Quoi...! Ameria ! je ne peut ........PARLER !"

Sa voix était saccadée, éssouflée. Il n'arrivait pas à enchainer trois mots et semblait très bête dans cet état. Di sang se mit à couler de sa bouche. Il l'essuya d'un revers de bras et montra le trou à Ameria. Elle passa dans ce petit trou et Sparda à travers le mur. Ses pas était lents, et il semblait mal à l'aise. Une grosse porte blindée leur barrait encore le passage. Sparda reflechi, ferma les yeux, et une grande onde de choc frappa la porte qui ceda. Derriere se trouvait un golem, un enorme monstre de muscles et de metal. Ce n'était même pas un golem, mais une Abomination. Sparda tenta de lui mettre un coup de poing, mais passa à travers. Pour une des premieres fois de sa vie, Sparda eu peur pour Ameria. Elle commencea des assauts rapides, esquivant la plupart des coups et infligeant plein de petites blessures. Le monstre passa au niveau supérieur et se jeta sur Ameria, qui fut coicée sur le dos sous le monstre. Il commencea a lui mettre des droites qui firent des bleus sur le visage de la jeune fille. Sa levre se mit a saigner et le nez aussi. La jeune fille était assez Amochée et Sparda se mit a....pleurer du sang. Son corps revint pour trois petites secondes, qui suffirent au demon pour decrocher un grand coup de marteau au monstre qui tomba au sol, plus loin. Il releva Ameria, l'embrassa et dit :

"Tu peux y arriver, je t'aime..."

Puis il redevint un fantome et se laissa tomber au sol, a genoux.

Le golem réduit à néant Ameria se tourna vers Sparda. Elle se questionnait de plus en plus à son sujet. Comment un démon pouvait-il aimer... Et est-ce qu'il cherchait le livre pour le détruire ou pour l'utiliser? Cela ne la dérangeais pas vraiment... Car elle l'aimait.

-Sparda, je veux y aller seule. Si tu viens avec moi tu mourras. Si j'échoue, tu mourras. Ne m'accompagne pas.

Sparda avait l'air attristé de cette réaction, mais resta dans la pièce avec les restes du golem. Ameria traversa une autre porte toute seule. Elle savait que c'était la pièce qui renfermait le livre, même si elle parraissait vide. Elle sentait la magie autour d'elle. Puis, tout devint noir. Elle ne savait pas si elle rêvait où était éveillé, mais un homme se postait maintenant devant elle. Lui, elle le voyait, mais c'était vide et noir autour de l'homme. C'était Sparda... Un démon vint en arrière de lui et lui couppa la tête d'un coup d'épée. Ameria ne pouvait bouger. Elle versa une quantité infinie de larme qui ne tombaient pas... Puis quand elle leva les yeux vers Sparda, il n'était plus là... Ni lui, ni le fils des enfers. C'était la voyante qui lui avait envoyé cette vision. Et c'était ce qui arriverait si elle échouait sa mission.

Sparda laissa donc Ameria aller dfetruire ce maudit livre... Mais une main vint se poser sur son epaule. Il se tourna brusquement en voyant que quelquún pouvait le toucher. Sa vision l´émpli de rage. Le demon face a lui n´était nul autre que Mundus, son rival: Il cria de toutes ses forces et Ameria ne put entendre son cri :

"Attention !"

Il vit que Mundus tendit la main une grosse epee, alastor. Le demon sourit d´ún sourire sadique et s´approcha d´Ameria...

Ameria sentit soudain une présence. Elle pensa tout d'abord que c'était Sparda, mais elle se ravisa... S'il avait accepté quelque chose il ne se raviserait pas. Ameria se retourna vivement et vit une sorte de démon bien plus hideux que noble. Elle aurait bien pris un arme, mais elle n'en avait plus. Elle décida donc d'user de ruse. Elle avait entendu parler d'un humain qui avait dominé un démon dans un conte.


-Je suis la femme de Sparda. J'établirai un jeu, si un démon tel que vous n'a pas peur, il acceptera... Sinon vous me tuerai, mais les vôtres vous verront en lâche étant donné que vous aurez refusé le défi d'un simple mortel.
-Je ne vois pas pourquoi j'accepterais. En vous tuant, Sparda est réduit à néant.
-Vous n'avez donc pas d'honneur? Je pensais que les démons n'avaient peur de rien sauf de perdre leur femme!
-Je n'ai peur de rien!
-Alors acceptez!
-J'accepte, mais ensuite je vous tuerai toi et Sparda... Et vous souffrirez longtemps!
-Voilà le jeu : '' J'ai de faible pouvoirs d'illusion et j'ai caché plusieurs livres dans cette pièce. Je veux que vous m'ammeniez le livre intitulé : ''Le fils des Enfers''. Ainsi vous gagnerez et pourrez me tuer moi et Sparda!




....... (Je compte sur toi Sparda pour contrôler le démon...)........

Ameria avait cru que le pouvoir qui cachait le livre rendrait le démon mortel ou même le tuerait. Elle avait surestimé le pouvoir des mages de la ville. L'acier ne pouvait vaincre le démon et elle, était incapable de lui faire le moindre dommage. Elle se rangea donc derrière Sparda, prête à parer les coups du démon, si elle pouvait. Elle savait aussi que Sparda se sacriefirait avant de la laisser mourir, mais cela elle ne le permettrait pas.

Jin attendait derrière la porte de la salle où se trouvait le démon. Il devait avouer qu'il avait peur. Très peur. Il jouait nerveusement avec le sceptre de la liche. Il ne connaissait pas son effet mais il était assurément magique. Ca pourrait faire l'affaire. Peut-être pas. On ne risque pas sa vie sur des "peut-être". C'était une de ses devises favorites. Les autres étant "Qu'il est bon d'être au chaud dans son lit quand il fait froid dehors." et "Le bonheur n'est pas tout. Il faut aussi que les autres soit malheureux".

Il en était toujours à se demander s'il devait y aller. Mais de toutes façon, s'il fuyait maintenant, il devrait probablement fuir plus tard, à nouveau devant ce démon. Et il devait poser ne question à Sparda.

A la tienne Etienne...

Jin passa par l'encadrement, vit le démon, et retourna se cacher. Il espérait surtout qu'on ne l'avait pas vu. Peut-être qu'avec la liche. Mais il ne savait pas où elle était maintenant. Elle pouvait être partit à l'autre bout du monde.

Jin décida d'attendre encore un moment.

Sparda se tourna vers sa bien aimée, et lui carressa la joue. Il l'embrassa une derniere fois, avat de la pousser hors de la piece. Peut-etre allait il y rester, être obligé de la quitter, mais au moins, sa derniere action aurait été eroïqu, il aurait sauvé sa dulcinée. Il se retrouva seul, dans la piece circulaire, avec son ancien rival, Mundus. Il commencea son assaut au marteau, mais Mundus, rapide comme l'eclair, se fendi et taillada dans le mouvement le coté de Sparda. Le demon pensa a Ameria, ne pas crier pour ne pas l'affoler... Il enquessa cette attaque, puis lacha son marteau. Il enleva le haut de son armure, se retrouva donc torse nu, desarmé, face a Mundus. Le demon foncea sur Sparda, qui utilisa une technique de combat rapproché (appellé CQC), et tordi le bras de Mundus. Celui si ria son la douleur. Il attrapa la main de Soparda, et lui brisa l'index et le majeur; Sparda ne put se retenir, et hurla. Il se mit à entendre de petits coups sur la porte, qui ne pourrait souvrir qu'a la fin du combat. Le demon (Sparda) avait lancé un sort de fermeture de porte. Ilm entendi aussi des sanglots, et pensa a nouveau à Ameria. Il se releva.

"Mundus, tu peut me prendre de vitesse, me battre en CQC, mais tu ne peut me battre en lusieurs choses. J'ai des amis, j'ai Vinh'san, qui ma redonné gout a la vie, j'ai Ameria, qui a fait de moi l'homme que je suis maintenant, ell est tout, tout pour moi. Je lui ai donné mon âme, ma vie, je l'aime... Toi, tu est incapable de tout cela, aimer, rire franchement, vivre une vraie vie...Et maintenant, j'ai une chose à te dire, malgré mes blessures, je peut toujours me battre, et je..."

La voix de Sparda se fit plus resonnante qu'a l'ordinaire, il eu un moment d'arret, durant leqel de grandes ailes sortirent de son dos, et il se retrouva ainsi sous sa forme finale.

"Vais te briser !"

Il attrapa Mundus à la gorge, puis le souleva au dessus du sol.

"POUR AMERIAAAAAAA!!!"

Il ecrasaz Mundus contre un mur, malgré ses blessures, puis attrapa de sa main libre l'épée de Mundus, Alastor, et lui planta dans le ventre, le lacha. Le demon (Mundus), tomba au sol, son épée dans le ventre. Mundus eu des convultions, et explosa en de millions de faiceaux de lumiere rouge. Sparda ne vit plus rien, mais retrouva sa forme normale. Il etait maintenant au sol, a bout de forces. Il fit un geste, et le sortillege de la porte se stoppa, Ameria retra n trombe dans la salle. Elle s'approcha de Sparda, et se stoppa net, le voyant au sol, quasi mort. Elle s'en approcha, et se mit a genoux a coté de lui. Sparda l'embrassa, puis la regarda tendrement.

"Ameria, rappelle toi notre rencontre....je t'aime...Trouve Vinh'san, il saura quoi faire de la parcelle de mon âme endfermée dans ton pendentif....Je t'aime Ameria..."

Puis, apres une vie de combats, de guerre, de malheurs, Sparda Death-Hammer, le Dieu demon, tomba.

C'était impossible. Sparda n'était pas mort. Ce n'était pas le corps de Sparda. C'était une illusion. Tout s'était passé trop vite. Ameria eut une violente crise de larme et ne prit même pas compte de Jin. Elle s'étendit sur le plancher froid et mit un bras de Sparda par dessus elle. Elle s'endormit.

Au réveil Jin était là... Le corps des deux démons avaient disparus.

-QUE LUI AS-TU FAIT!!! OÙ EST-IL? OÙ EST SON CORPS?? cria-t-elle de toute ses forces s'approchant de Jin l'air plus que menaçante.

Sparda n'etait plus, mais son ame erait dans la piece. Il ne quitterai pas Ameria, pour rien au monde. Il la voyait pleurer, et regretait. Il regrettait de ne pas etre assez fort pour survivre, d'être mort. Il tenta de toucher le visgae d'Ameria, mais ne put provoquer qu'une brise suspecte dans cette piece close.

"Je suis toujours..."

Puis il reflechi au meilleur moyen de trouver Vinh'san, parler a Zertyline. Il envoya donc un messagfe psychique tres faible, en esperant qu'elle pourrait en comprendre assez pour l'aider...

-Jin... Il n'est pas mort. Je ne sais pas pourquoi mais je le sens.

Ameria le sentait jusqu'au fond de ses veines. Elle ne savait comment ni pourquoi, mais elle le savait et c'était tout ce qui lui importait. Il fallait qu'elle trouve le moyen de le retrouver et elle savait maintenant que ce Vinh'san pouvait l'aider. Elle se retourna et dit à l'homme qui se nommait Jin : '' Partons trouver ce Vinh'san, la dernière fois que je l'ai vu, il était à Amrill.''

Zertyline repoindit à Sparda plus tard:

Je ne sais si tu est mort ou vivant, je ne peut aller chercher Vin'san avec Ikar, notre relation à cesser , tu sais les relations entre démon et humain ne sont pas toujours possible et ainsi tu devrat te battre pour Améria , et elle aussi.
Mais je vais aller trouver Vin'san , ej ne sais pas ou il est mais je vais trouver Améria d'abord , elle aurat besoin de quelqu'un si tu n'est plus la et nous seront peut etre plus persuasive à deux quan nous l'auriont trouver.
Il me semble à y reflechir que tu n'est pas veritablement vivant , je connais cet état , c'est ainsi que je suis devenut inhumaine, excuse mes bavardarges,essai de m'apporter Améria.
Je ne sais si tu est mort ou vivant, je ne peut aller chercher Vin'san avec Ikar, notre relation à cesser , tu sais les relations entre démon et humain ne sont pas toujours possible et ainsi tu devrat te battre pour Améria , et elle aussi.
Mais je vais aller trouver Vin'san , ej ne sais pas ou il est mais je vais trouver Améria d'abord , elle aurat besoin de quelqu'un si tu n'est plus la et nous seront peut etre plus persuasive à deux quan nous l'auriont trouver.

"Zerty......avec tout.......respect je te.......dois..........La ferme ! Nous.........aimons....ameria....moi......surpasserai.....mes origines........pour la garder........aupres....moi."

Puis Sparda trouva un moyen pour Ameria de le voir. Il prit la place de l'ombre d'ameria, qui s'en rendi compte...

" Sparda , je te le dit tu va devoir te battre pour la garder , et le combat comence maintenant , je ne peut aller queter seul , Ikar est partit avant moi et il n'est plus un de mes allié il me semble , si tu veut la vie, il va falloir s'accrocher et nous allons devoir tout trois persuader Vin'san de te sauver , reste à Valérian avec ta dulcinée, j'arrive d'ici peu."

-Il faut partir tout de suite Jin. Il faut trouver ce Vinh,san. C,est ce qu'il faut faire, je le sais.

Ameria sortit en hâte de la pièce et se retrouva bien vite suivit de Jin dans les rues calmes de Valérian. Elle savait qu'elle devait commencer par Amrill, mais quelque chose lui disait intérieurement de rester à Valérian. Elle espérait seulement trouver la liche pour sauver son amant.

Zertyline ne mit qu'une petite heure pour atteindre la ville , et elle avait facilement reperer Ameria qui ne semblait pas vouloir se cacher.
Elle atterit subitement devant elle comme venant de nul part et ces ailes ne fur que souvenir avant que la femme ne puisse les apercevoir.

Bonjours chere demoiselle !

Lancat l'ancienne voleuse d'un air ironiquement joyeux.
Il est vrai que les deux femmes n'entrenenait pas des meilleurs rapport par le passé , mais Zertyline voulait sauvé sparda autant qu'Ameria même si ces motivations était d'un tout autre ordre.

Ne me regardez pas d'un air étonné , Sparda m'a contacté et demander de querir Vin'san.
Etant donné la situation cela risuqe d'être un peut difficile , et je vous demanderait de bien vouloir m'accompagner dans cette quete qui est aussi la votre , mettant de coté tout les apriori que vous puissiez avoir sur moi.

Elle s'arretat quelque seconde , et avant qu'ameria ne puisse ouvrir la bouche.

Une amie va nous rejoindre d'ici peu , nous ne serons que bien aidée par s présence même si j'ai des doutes quand à sa participation.

Devant le manque de polittesse dont elle faisait preuve elle finit ses phrase en une grande courbette , qui sait , peut etre cela fairait t'il rire la femme malgré son deuil envident.

-Il n'est nullement le temps de plaisanter. Si vous voulez m'aider ça m'est égal, mais ne nous nuisez pas. Bien que votre aspect fasse fuir tout le monde, je n'ai pas peur de vous!

C'était dit brusquement, mais il fallait comprendre la jeune fille. Elle avait un démon pour amant qui de plus résidait maintenant dans le royaume des morts... C'était assez inhabituel, même pour quelqu'un de vraiment bizzare.