Ballade cham... montagnarde

Sowilo… haussa un sourcil. Elle venait de ce cacher derrière un gros rocher, alors que marchant gaiement, elle avait entendu quelqu’un parler. Dans les montagnes, elle croyait être la seule dans cette endroit qui semblait seule avec une horde de nain incruster dans les mines et quelques personnages bien distinctifs qui étaient elle ne savait pas où! Et pourtant… elle venait de pêcher un poisson, juste là… de l’autre côté de se rocher. Le pirate elfique senti en elle les premier signes d’une certaine excitation. Les mains contre la grosse pierre, elle ne laissait que dépasser son visage jusqu’à ses yeux, observants l’homme d’un air intriguer… Un homme? Non. Il avait les oreilles pointues, lui aussi. À croire que maintenant que les siennes étaient apparut, elle voyait des elfes partout!

Mais ce qu’elle trouvait surtout étrange, ce fut le fait qu’on parlait de zombie. L’air des montagnes, fraîche, devait lui faire tourner un peu la tête, sans doute! Soit! La demoiselle, soudainement aussi silencieuse qu’un… cadavre! Réussit à grimper sur le rocher, et s’assir sur celui-ci. Continuent son observation en faisant aller ses pieds, qui ne touchaient plus sol, d’avant en arrière, comme une petite fille, Sowilo avait un air amuser qui lui traversait le visage de partout. Ses cimeterres pendaient un peu, mais la ceinture qui les retenait aux hanches de la dame les retenait bien. Passant une langue sur ses lèvres, l’elfe qu’elle observait éternua une deuxième fois.

Était-il malade et, un peu comme les mouettes, quittait-il la terre pour allez mourir vers le large? Et ce dans un sens purement poétique? Hum…
Mais bon. C’est vrai qu’il ne faisait pas très chaud, ici. Elle comprenait mieux pourquoi les nains étaient aussi poilus, maintenant. D’humeur joyeuse, elle frissonna un peu et décida de faire une surprise à son frère de race… le premier elfe qu’elle voyait à par elle-même. Pas question de le mettre sur son dos! En tout cas! Pas tout de suite! Hum
Elle descendit du rocher et s’approcha de l’être noble qui se trouvait à plusieurs mètres d’elle. Avec précaution, elle déposa une main sur l’épaule de son semblable et de tous ses yeux verts, le regarda se retourner…

Sa main avait remarqué la fraîcheur que l’elfe avait sur sa peau. Et d’après ce qu’on lui avait raconter, les elfes n’étaient pas sensé ressentir autant les effets de la chaleur. Sans vraiment y penser, et surtout avec une énorme dose d’imprudence, aurait vu certain, elle entoura l’elfe de ses bras en le prenant par la taille. Et encore plus sans réfléchir, laissa sa tête venir se déposer dans le coup de son vis-à-vis…. Grumpf... Il était, effectivement, plutôt froid…

Sortit des souterrains, j'apperçut après quelques minute Sowilo et un autre qui me semblait familier. J'approchai et les deux être se séparèrent l'un de l,autre. Je ne savais pas en quoi je les avais surpris, mais Sowilo avait l'air plus étrange que la dernière fois.

Si... Je venais de trouver ce qui clochait : ses oreilles. Elle était donc une elfe!!?! Je regardai Zetyline et lui fit signe de se taire. Je dégainai mon arme et m'avancai entre les deux elfes.

-Que faites-vous donc?? Vous n'alliez quand même pas vous entre-tuer?? Si c,est le cas, vous devrez alors me passer sur le corps pour vous entre-tuer et si vous réussissez par je ne sais quel miracle, alors vous serez alors obliger de faire face à Zertyline, qui en un rien de temps vous auras transpercez de deux poignards.

Sur l'ordre d'Ikar Zertyline se tut mais lorsqu'il s'avançat elle fit de même et resta a ses cotés, elle avait des choses a prouver et elle le savait même si elle ne battaillait jamais de l'avant , elle avait tout a aprendre.

A son tour elle remarquat les oreilles pointut des deux créatures , elle en connaissait une de vue Sowilo surement mais la deuxieme ne lui revenait pas.

Deux poignard glissèrent de sous ses manches de kimono et se logèrent dans ses mains de telles maniere que les elfes ne pouvait voir que les quelque poignard attacher a sa ceintures mais qu'elle ne tenait pas en mains.Elle avait ainsi cacher un petit arsenal de lame coupante.

Son visage se crispat en pensant aux deux Dagues que les nain lui avait confisquer a leur enté dans la ville, il aurait fallut les remplacer mais elle avait quitter un peu précipitament la cité.

Elle fixat les elfes attendant tous signe d'hostilité ou aux contraires de bienveilances , tuer des créatures humanoide douer d'intellaignece autre que des humain pervers ne lui plaisait qua moitier surtout si elle craignait pour sa vie mais elle voulait prouver a Ikar se dont elle était capable.

La réponse de Vinh'san ne plut guère. Il était donc un nécromancien. C'était donc ça la puanteur qui émanait de lui. Par contre elle était presque effacé. Signe qu'il n'avait pas utilisé ses pouvoir depuis un bon bout de temps.

-Alors dans ce cas, je ne vous tuerai pas. Mais sachez que vous aurez la gorge tranché avant d'avoir fini une incantation si vous la dites devant moi.

Je ne savais pas pourquoi j'avais dit cela. Peut-être dès que je les avais vu, j'avais su que nous ferions route ensemble, mais ceci n'était pas encore réglé.

-La ville la plus proche est Shamar. Un jour de marche tout au plus. Si vous voulez nous accompagner mon jeune ami et vous Sowilo, vous êtes les bienvenus.

Quelle manière étrange de dire qu'ils pouvaient entrer dans le groupe. Je les connaissait à peine. Et de plus, je ne pensais pas que Zertyline n'apprécie cela. Aussi je ne la regardai pas quand je leur dit cela.

Zertyline levat les bras, s'atendant comme un chat ensomeiller de maniere a ce que les poignard retourne se loger dans son kimono de soie rouge.

Elle sourit au deux elfes montrant ainsi qu'elle était d'accord avec l'idée d'Ikar , leur race était pur ainsi cela ne la dérangeais de faire un bout de route avec eux et plus il était mieux se serait étant donné qu'ils n'étaient pas poursuivis, théoriquement du moins.

Elle fit un pas vers l'avant et tendis une main a l'elfe qu'elle ne conaissait pas : je me nomme Zertyline, enchanté de vous connaitre.

Sowilo faillis m’étouffer de surprise et de mauvaise pensé… mais surtout de surprise, sur le coup. Une main sur la bouche et l’autre sur le pommeau d’un de ses cimeterres, elle s’était écartée de l’elfe nécromancien plutôt rapidement… qu’on n’aille pas croire des choses! Et avec perplexité, elle suivit l’échange verbale, moitié abasourdi, moitié morte de rire. D’ailleurs, cela était un peu difficile de le cacher, la demoiselle était peut être une elfe, mais pas une experte en manque d’expression faciale. Elle passa plusieurs fois sa main dans son visage, sentant une fois de temps en temps les coins de ses lèvres tressaillirent.

Plus cela avançait, plus c’était marrant. Elle avalait sa salive plusieurs fois, à intervalle régulier… Intégrer le groupe? À la dernière nouvelle elle y était déjà, mais possible que le blondinet avait quelque trou de mémoire. Ça ne lui faisait rien… De toute manière, le vieux cinglé lui avait dit que son salut serait au côté de ce… Comment dire?… Cette personne qui ne semblait pas avoir d’humour… Ce Ikar… et sa, enfin, d’après elle, compagne. D’ailleurs ses yeux venaient de tomber sur la main qu’elle tendait à l’autre elfe, et sans vraiment pouvoir y faire grand-chose, un sourcil de mépris releva son visage légèrement, alors que se mordant un peu avec ses canines, sans en laisser voir quoique ce soit, la pirate prenait note de la pousser à un état lamentable.

Peut être par simple plaisir de faire chier, peut être pas… En tout cas, elle ne l’aimait pas. Sa manière de réagir, la première fois, de bouger, d’agir… Grrr. Soit… elle allait bien s’amuser sur le terrain! Sowilo hocha donc la tête de manière positive à la proposition du blond, donc elle n’avait pas grand chose à faire, sinon que c’était sensé être lui qui lui apporterait une « paix » intérieur, une imbécillité du genre. D’ailleurs la pirate se mit à l’examiner, alors que dans ses yeux brillaient lueurs bien particulière. Pas d’amour, pas d’amitié… Le genre de regard dans lequel on passe un message subtil d’insoumission, mêler à une certaine moquerie… sans toutefois être vraiment dérangeant.

Son visage avait reprit son expression habituelle, heureusement… Pour finir elle croisa les bras et prit une grande inspiration, un sourire goguenard adresser au néant sur les lèvres… Elle allait s'amuser.

Marchant sans arret depuis un moment déja, décidé a contourner le lac pour retrouver le village qu'il a vu dans ses visions, Ralisto entendit des brins de conversations. Il vit alors des personnes un peu plus loin. S'en rapprochant discretement, il reconnu les membres du groupe qu'il avait vu dans le donjon. Il reconnut alors l'autre, Vinh'san. Il sortit alors de derrière un rocher et dit tout haut, à l'intention de Vinh'san: Pourquoi as-tu cessé d'aider notre noble cause et quitté la confrérie? Et as-tu le barbare ou encore Ameria?

Ralisto ne savait pas s'il devait se fâcher en raison de son départ puisqu'il n'avait jamais entrer officielement dans la confrérie. Alors, tout émotion de haine et de rancunne se dissipèrent. Il ne pouvant pas se fâcher contre lui pour quelques heures de travailles pour la confrérie, mais il aurait quand même pu les avertire de son départ...

-Ne vien pas lui déclarer les hostilités ici,mon ami, en m'adressant à Dimitri. Si tu veux t'assurer de sa fidélité, au moins vien jusqu'à Shamar avec nous. Ensuite nous déciderons de la route à prendre et si nous continuons le chemin ensmble ou chacun de notre côté.

J'était sur qu'il accepterait. S'il était vraiment le messager, il se pourrait qu'il essais de nous recruter, mais bien que je ne décide pas pour les autres, moi je refuserais. Juste à la simple mention de cette confrérie Zertyline en tressaillait presque. Je ne voulais pas m'y impliquer ni l'y voir.

Je pris donc les devants, me demandant si Dimitri voudrait prendre ma place de meneur. Bien que cela ne m'importunerait guère, j'aimais bien être le leader.

Zertyline remit la main qu'elle avait tendu deriere son dos et regardat le nouveau venu...

Elle ne le connaissait pas mais il cherchait les noises pensait elle, il avait provoquer l'elfe sans même se présenter a autre et parlais lui ausi de la confrérie...si quelqu'un pouvait un jours l'éclairer sur le sujet elle ne dirait pas non.

Puis elle compris... le nouveau devait surement être dimitri : le messager.
Elle reculat de deux pas et pris la main d'Ikar qu'elle serat come pour exprimer son inconfort fasse a la situation même s'il aavait apparement oublier une partie de son passé... il valait peut etre mieux qu'il ne sans souvienne pas.

Dans sa main libre un poignard avait de nouveau fais son apparition et ses yeux vert brillait d'une lueur venimeuse.

Ralisto dit à l'égar du jeune homme qui venait de parler: Je me suis un peu emporter, mais j'avais des questions à lui poser à propos d'une chose importante, mais j'accpete bien vous joindre pour aller à Shamar, mais je vous quitterai un peu avant, cette ville n'est pas très bonne pour quelqu'un qui a, comment dirais-je, mon travaille... J'irai a un petit village situé tout près. Ralisto pensait qu'il pouvait bien avoir des recrus potentiels dans ce groupe, il devait au moins essayer d'en recruter, mais sans pousser personnes, pour ne pas qu'il parle en mal de la confrérie.

Je commençai la marche vers Shamar en prenant un peu d'avance pour avoir de l'intimité avec Zertyline. J'avais l'impression qu'elle voulait me parler... Ou était-ce moi qui voulait lui parler? Peu importait, si elle ne parlait pas, c'était moi qui le ferait.

J'était un peu inquiet. Shamar était réputé pour ses esclaves et ses gladiateurs. On disait que ceux qui jouaient et pariaient pouvait prendre n'importe qui peu connu comme esclave ou mercenaire. certe, je ne voulais pas rester dans cette ville longtemps, mais si un de ceux-là pensait que quelques-uns d'entre nous pouvaient faire de bon concurents, ils ne se gèneraient pas pour l'enlever.

Je voulais faire part de mes inquiétudes à Zertyline, mais je ne voulais pas lui en mettre trop sur les épaules. Elle était assez tourmenté comme ça et en grande partie par me faute.

Je ne voulais pas non plus la laisser à Dimitri car son rôle de messager pouvait la mettre en danger.

Quand nous fûmes assez loins je prit la parole :

-Promet-moi de ne pas entrer dans cette confrérie!!!

Les seuls mots que je pouvait lui dire sans l'inquiéter. le hic, c'était que j'avais probablement l'air soucieux et ça, elle le remarqait toujours...

Une langue passa sur ses lèvres, alors que ses yeux, à demi fermé, semblaient observé ce qui se passait autour avec une évidente fatigue, Sowilo prenait en compte que tout ce qui venait de se passer… était passer sous son nez sans qu’elle n’aille eut un mot à dire. À cette réflexion ses paupières semblèrent encore être tomber un peu plus bas, et malgré tout ça, sa vision restait d’une netteté qui l’impressionnait elle-même. Hum… Où allaient-ils au juste? Avancer un pied devant l’autre dans une direction, c’était bien, mais ne pas savoir où ça menait, un peu moins. Sur le coup, elle aurait put pauser la question aux gens qui étaient rester à la même allure qu’elle, mais elle préféra atteindre Ikar et l’autre, du fait elle partie à courir.

Bien qu’arriver en hauteur, elle ne soit nullement essoufflée, elle essuya son front du revers de la main, ses pas calmes et son attitude désinvolte plutôt hors contexte.

« Alors le blond, tu nous conduit où avec toute ces gens ? »

Aucun regard pour la fille, pas même un soupçon de coup d’œil. Aucune discrétion, une subtilité… De toute manière elle n’en avait pas eut l’intention. Marchant tranquillement, et étrangement, entre les deux personnages, comme pour les séparés un peu plus que ne le faisait déjà toute cette « quête » Sowilo passa une main dans ses cheveux et continua de jeter toute son attention sur Ikar… Bien que quand celui-ci lui répondit, elle repartie vers les autres, étrangement, gambadante…

Pfff. Il n’avait aucun sens de l’humeur cette homme là. Même pas un sourire d’amusement, un regard, rien. Chich. Si l’amour rendait morne, elle se promettait de ne jamais tomber idiotement amoureuse d’un homme, elfe, nain, orc et peu importe quoi d’autre… Bien que les yeux ouverts cette fois ci, elle reprenait sa marche avec ses nouveaux compagnons de voyage jusqu’à Shamar… Et enfin elle pourrait mettre fin à cette maudite affaire dans laquelle elle s’était embarquée sans le savoir! Du moins pour elle! Ne cherchait-elle pas une ville, au début de cette maudite chasse au trésor qui n’en était pas une. Et puis quoi! Quel bateau essaie-on de couler ici? Quel gouvernement? Ça ne lui ferait rien du tout, à elle, puisqu’en mer, rien ne gouvernait… Héhé… Soupire de nostalgie plus tard, la pirate reprit ses rêveries … Elle avait hâte de voir si elle se sentirait à l’aise avec cette ville…

« Dite moi… »

Commença-t-elle, s’adressant aux deux elfes à la fois, comme si l’un dans l’autre, les deux devaient sans doute avoir une réponse à sa question.

« Shamar… c’est comment? »

Elle espérait bien que sa question, comme une vieille botte qu’on repêche, ne partirait pas dans l’oublie sans qu’on y ai jeter plus d’attention que ça. Parler dans la vase, elle n’aimait pas!

Parlant à Vinh'san à rpopos de la confrérie, Ralisto fut coupé par la question de l'elf. Il lui répondit aussitôt: Shamar est une ville affreuse, le mal y règne et le danger est à chaque coin du rue. Le roi, Ranec, est un tyran qui impose ses lois d'une main de fer. Voyant une recrue potentiel, il ajouta. Mais il existe une confrérie qui tente de renverser le roi Ranec pour que tout l'empire du mal s'effondre et pour que toutes les cités coopèrent pour prospérer. Il se trouve que je suis justement le messager de la confrérie du Renard et je te propose de nous rejoindre. Nous sommes en train de monter une armée, mais nous éprouvons quelques difficultés ses temps-ci, ayant perdu aitre reanrd, Miya, Loup Solitaire et j'en passe. Un coup de main serait la bienvenue.

Ralisto espérait pouvoir faire honneur à la confrérie malgré l'empleur de la tâche. Mais il ne pouvait pas abandonner.

Ah… les affaires terrestres. Encore une fois Sowilo se pris à penser que la mer lui manquait, mais bon! Elle regarda Ralisto avec un certain intérêt… surtout quand il lui parla de la ville. Des truands, du danger… et un Roi tyrannique. Charmant. Plus que ça, elle aurait même dit… que c’était la plus belle chose qu’elle avait entendu depuis le jour où elle avait pausé pied sur la terre ferme!... Quoique… Confrérie du Renard. Et le maître avait disparut. Étrange. Plutôt.

« Recruté des gens en faisant du taverne à taverne, ça ne doit pas être très facile. »

Commentaire inutile ou pas, elle le dit car en avait envie. Et puis ça devait bien être vrai, à quelque part, croisant les bras, elle détourna son regard de Ralisto avec une certaine lenteur, songeuse. Certes, si le problème s’étendait sur la mer, oui elle pourrait toujours faire quelque chose, en échange d’une certaine somme. Mais possiblement qu’avec ce qu’elle était, c’était l’autre partie qu’elle aiderait, bien que pour l’instant, le premier offrant avait une longueur d’avance. Fin! Elle y réfléchirait.

« Je ne peux me prononcer sur le sujet…J’y songerais. »

La verdure qui semblait composer ses yeux prirent un autre tournant et cette fois ci, ce fut le nécromancien qu’elle visait, bien que brièvement. Elle se demandait si sa peau était toujours aussi froide. Enfin bref, son esprit passa d’un sujet à l’autre pendant un moment, mélangeait, démêlait, prenait forme et repartait dans le brouillard. Elle se tue pour une durer de dix minute et même plus, semblait prise dans un mutisme de froideur et de sérieux, tout à coup. La sale sorcière venait de reprendre le dessus. Puis soudain.

« … Je pause beaucoup de question mais… y en a-t-ils un parmi vous qui puisse me décrire les elfes en générale? »

Du coup elle se sentait un peu étrange. Les deux ne savaient pas que son côté elfique avait prit enfin sa place depuis peu de temps et que, ayant vécu loin de toutes les connaissances à ce sujet, elle n’avait aucune idée de ce qu’elle était vraiment. En tout cas, une elfe peu singulière. Sans doute la seule qui avait tuer autant de gens juste pour les marchandises qui se trouvaient sur les bateaux des marchands… Hum. Puis soudain elle s’étira, son visage retrouvant peu à peu son expression habituel de pirate, plus elle y réfléchissait, plus sa nature revenait peu à peu, enfin, celle qu’elle avait toujours connu!

Zertyline avait prit les devant avec Ikar l'un comme l'autre avait envie d'être seul , elle était tendue a l'idée que la confrérie pourrait une fois de plus reprendre Ikar et la laissé sur le coté.

Elle restait silencieuse ne sachant que dire sans montrer sans angoisse.

Puis Ikar prit la parole et lui demandat de ne lui promettre de ne pas rentrer dans cette confrérie , la tension accumulé ses dernier jours refesait surface toute les crainte et les déceptions lui revinrent a l'esprit.

Elle s'arrétat le regardat dans les yeux et laissat deverser sa colere:

Et tu pense vraiment que je n'ai aucune intention d'ntrer dans cette confrérie? La seule chose que je lui reproche est de m'éloigner de toi si jamais je peut par se pacte sceller notre futur je n'ésiterai pas une seconde!

Elle retirat sa main de celle d'Ikar et le foudroya du regard :

Je te rapelle que tu fait partie de se groupe et que tu ne peut t'en separer , De plus si tu crains pour ma vie je prndrai un malin plaisir a te prouver que je ne suis pas une femme faible comme tu doit sans doute en connaitre plus d'une, ne t'ocupe pas de mes convictions ses choix m'apartiennent.

Voyant que les autres arrivait a leur hauteur la petit voleuse repartit d'un pas énergique , elle regrettait un peut d'avoir hausser le ton , mais elle ne l'avouerait pour rien au monde... elle manquait quelquefois d'un peu d'humilité.

Étonné de la question de l'elf, Ralisto répondit quand même. Les elfes sont une des races les plus anciennes du mondes. Nous sommes, en générales, paisible mais prêt à se défendre avec adresse et force. Bien que le stéréotypes pour les elfes soient; grand, blond aux yeux bleus, oreille pointu, il y a des elfes de toute les sortes. Nos talents sont très différents, de la nécromencie à la magie blanche, de la diplomatie à la fonte d'armes. Cet une race dont n'importe qui serait fier.

Espérant avoir répondu correctement à la question, Ralisto recommença à parler de la confrérie à Vinh'san.

Ouf, elle n'y avait vu que du feu. La seule chose qui m'étonnait, c'était le fait qu'elle ai dit que j'était attaché à cette confrérie. Je voulais en savoir plus car je savais que je n'y était jamais entré... Dans cette maudite guilde de Renard ou je ne savais quoi.

Je rattrapai Zertyline de nouveau.

-Je te promet de ne jamais entrer dans cette confrérie, si c'est ce que tu entend par ''attaché''. Je ne compte pas mourir pour rien au monde... Sauf pour toi. Tu es la seule chose qui compte pour moi et je ne te quitterai jamais. Je t,ai déjà fait cette promesse. Qu'attends-tu de moi au juste???

Que devais-je dire de plus??? Elle était tout pour moi. Si elle mourait, je vengerais sa mort et me suiciderais tellement notre lien était fort. Du moins, c'était vrai dans mon cas. Comment plus j'e pouvais lui prouver mon amour???

Après la réponse de Ralisto, l’elfe se tue pour le reste du voyage. Elle n’avait cessé de changer de pause, de rythme de marche, d’expression. Ses yeux disaient tout. Sowilo ressentait quelque chose de mauvais.

Plus tard, alors que la route devenait un peu moins sauvage, ils arrivèrent à un poste de garde. Sans doute mis la pour surveiller les divers marchands, charrette, et autre qui passaient par là. Et dans le « autre », cela incluait les voyageurs dans leurs genres. Aussi, les gardes, désagréables, posèrent moules questions, traînant dans certaine phrase, évoquant plusieurs fois les réponses précédentes et alors que tout cela durait, suite à une certaine inattention causer par un décolleté saillant, de la pirate où de Zertyline, on ne savait plus trop… qu’importait pour l’instant, car, comme dit plus haut, quelque chose se passait à se même moment.
Ikar et Ralisto échangèrent quelques paroles, discrètes, à peine audibles, même pour eux. D’ailleurs, ce cher blond disait à l’elfe de les suivre à distances, si quelque chose de mauvais leur arrivait, il y aurait toujours une personne digne de les sortirs du pétrin... du moins jusqu’à la ville.

Les gardes les laissèrent finalement filer, ne retirant que du temps à perdre de cette situation
Si on revenait à notre Pirate, maintenant…
Elle ne savait pas quoi. Mais bon. Le mal l’aise persistant Bras croisé, c’est ainsi qu’elle rentra dans la ville, avec tout le reste du petit groupe, sauf Ralisto, évidemment. Tout de suite, l’impression s’accru en elle, mais elle n’y fit rien. Généralement, elle ressentait ça quand, en mer, une tempête se préparait et c’était aussi désagréable que de se rendre compte que le coffre qu’on vient de déterrer est vide… mais ce n’était pas de la frustration, c’était plus… une sorte de mal l’aise.

Hmpf. Les gardes n’avaient hâlé personne. Étrange pour un endroit de ce genre qu’elle pensait, alors que les lieux de Shamar se révélaient tranquillement à leurs yeux encore innocents d’un tel endroit. Par réflexe, la pirate avait mais ses mains tout proches de ses pommeaux. Nerveuse, voila comment elle était. À fleur de peau. Regardant autour d’elle, elle ne vit même pas le groupe qui les suivaient depuis le début, malgré ses sens, d’ailleurs, les autres non plus ne semblaient pas avoir remarquer se fait étrange, occuper à surveiller ceux qui passaient près d’eux, et à tâter discrètement leurs vêtements, voir si rien n’avait disparut.

Miss Mannaz pour sa part, ne tâtait rien, sinon une angoisse grandissante dans le fond de sa gorge, débutant dans le creux de son estomac. Puis soudain, la surprise. Les gens venaient de livrer passage à quelques individus, de tous les côtés, qui semblaient leurs vouloirs autres choses que du bonheur. Heureusement, certains dans le groupe eurent le temps de dégainer armes. Un combat pour le moins étrange commença. La pirate se défendait comme elle pouvait, mes le nombre des assaillants étaient supérieur au leur, et bien vite ils eurent raison d’elle, ainsi que du reste du groupe… Le combat fut brève, mais plutôt violent, et les hommes furent traîner dans une direction différente de celle de Zertyline et Sowilo, qui elles, prises en charge par une femme et trois mercenaires, dans des dédales étroites et, parsemé de saoulard à quelque endroit, mais le pire, ce fut la grande maison où ils entrèrent tous d’un pas pour le moins las, sinon pour les deux jeunes femmes, qui elles étaient tenues…

Sowilo se réveilla plusieurs heures plus tard, un certain mal de crâne jouant avec son humeur alors que, se sentant plutôt légère, elle glissant une main jusqu’à ses hanches, cherchant la trace de ses armes, poignards, et autre affaires… Rien. Même sa tunique avait disparut, laissant place à un tissu doux, léger… et avec horreur, quasi transparent. Ses yeux s’ouvrirent d’un coup, alors qu’elle constatait que Zertyline était dans le même état, et que couvertes de bijoux, Zerty et elle étaient dans une pièce close, ou une multitude de coussin jonchaient le sol. L’horreur…

Un air chaud venait se glisser sous la porte, qui semblaient faite de pierre, des rayons glissaient en dessous et dessus d’elle, laissant une certaine luminosité dans la pièce. À contre cœur, Sowilo alla réveiller Zertyline…

Il fallait sortir d’ici!

« Z’lin! Ho hé! Réveille toi! On est dans le bassin aux requins! »

Pour ce qui étaient des mâles…

[Ikar! À toi. Messieurs et Mesdames, Suite à Shamar!!!]

Rendez-vous à Shamar