La confrérie du Renard
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

La confrérie du Renard

Forum de role play
 
SITE WEBAccueilDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Sortie PlayStation 5 Pro : où ...
Voir le deal

 

 Appelle ta mère...

Aller en bas 
2 participants
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeDim 5 Aoû - 2:30

Une gerbe de sang éclata sur le mur ouest d’une demeure, alors que le bruit d’un objet qu’on retirait d’un amas de chair et d’os venait rajouter un peu plus de venin dans l’esprit des habitants. Le crie qui en suivit ne fut pas de tout repos non plus, n’y même le son d’un os qu’on brisait. La nuque de cette jeune femme venait de ce faire briser, alors que l’odeur du sang, provoquer par le cadavre l’un des cadavres du carnages, attiraient les chiens errants.


Je fis tourner ma hache au dessus de ma tête pour enlever le sang qui y restait. Alors que regardant ce que je venais de faire, il n’y avait pas de cela si longtemps, je ne ressentais toujours rien. Hmpf. Déposant un genou à terre alors que me retenant mon poids avec mon arme, je me mis à piller un peu tout ce beau monde d’une main tâtonnante. J’y trouvai des pièces donc la valeur m’était inconnu. Le son produit par celles-ci pourtant, dans le fond de la main, était pareil aux pièces qu’il y avait dans mon pays. Je remis le tout dans la bourse et me releva. D’un coup de pied, je retournai les corps, et en utilisant mes mains le moins possibles, le dépouilla de leurs piètres biens. Fermant les yeux un instant, j’entendis le souffle haletant d’un chien qui attendais l’heure de festoyer, dans mon dos. Ces bêtes étaient répugnantes dans leurs genres. Je m’accroupie pour prendre une main qui traînait par là et la lança au cabot qui se pourléchait les lèvres à l’avance… C’était comme ci j’avais lancer un bout de bois et, sautant dans les airs, il attrapa le membre en plein vole.

Je sentie l’un de mes sourcils s’élever légèrement de perplexité. Quel étrange endroit. Il y avait des maisons vides, très peu de gens. Et d’ailleurs avec le meurtre que je venais d’effectuer, je doutais que ma présence serait encore accueillit par une solitude bienvenue dans ce village. J’avais l’impression de me trouver dans un endroit inhabité. Peut être n’aurais-je pas du tuer tout de suite ses jeunes gens. Qu’importait pourtant. Passant une main dans mes cheveux, je pris fermement ma hache de guerre en main et me mis à avancer dans ce village pour le moins étrange. Que se passait-il pour que cette endroit, qui pourtant semblait être fait pour être habité, était en proie à une telle inactivité humaine. La faible idée que les habitants étaient des fantômes m’effleura l’esprit. Pourtant je n’y croyais pas. Avançant tranquillement dans la seule rue que j’avais aperçue, je sentais des fenêtres noirs et crasseuses des regards inhospitaliers sur ma personne. Je n’étais pas surprise, loin de là. Ça avait toujours était comme ça, de toute manière. Je ne me poussais plus de question, et ça faisait longtemps.

Mes vêtements avaient fini par sécher complètement. Et la plage que j’avais quittée, quelque heure plus tôt, semblait déserte, elle aussi. À croire que l’endroit n’avait rien de bon à offrir. Sans soupirer, je fini par voir une promesse de tranquillité. Un puits. J’avais soif. Sur élevant mon arme l’espace d’un instant, car je venais de sentir une présence derrière moi, j’étendis un peu oreilles, effectivement, il y avait quelque chose qui me suivait. Qu’était-ce donc? D’un mouvement large, j’étendis ma hache à l’horizontale et tourna sur moi-même. Je ne sentis aucune résistance. N’y ne vit personne, à grandeur adulte pourtant. Un enfant se trouvait devant moi. L’air chétif. Pauvre… Délaisser. Mon apparence devait y être pour quelque chose… À sa place, je ne serais pas rester. Je garda le silence en l’observant et fini reculer d’un pas et me retourner légèrement pour faire monter de l’eau du puits, tirant sur la corde. Tranquille… Je n’avais pas l’intention de le tuer. Le saut fini par être assez haut pour que je l’attrape et, sans chercher à allez plus loin dans mes intentions, je le tendis au jeune homme. Il était crasseux, à l’image de se village… et chétif aussi. Se battait-il avec les chiens pour manger… Probablement. Allez.

Il fini par approcher, l’air d’une bête craintive. Comme je ne savais pas où j’étais et que je me sentais pas presser, j’attendis simplement qu’il étanche sa soif. Cette enfant me faisait penser à ceux que j’avais tué au camp d’entraînement, quand j’étais beaucoup plus jeune, de mes mains, pour avoir de la nourriture… Peut être est-ce l’expression dans mes yeux, et de la couleur de ceux-ci, mais après m’avoir regarder en buvant, il fini par repartir d’où il venait en courant, renversant au passage l’eau qu’il y avait dans le saut. Mon verdict était clair. Il ne vivra pas assez longtemps pour voir son adolescence. Et si c’était le cas, la souffrance et la maladie aurait tôt fait de l’achever… Sans me dépeindre de mon visage neutre que je portais toujours, je repris de l’eau et but à grande gorger. Le village était sale, mais l’eau très bonne, en tout cas, meilleur que celui de la mer, d’un salinité écoeurante…
Soit! Mon bras de fit qu’un tour. Un bruit de métal se répandit dans l’air. J’utilisa le puits pour y déposer mes pieds et du poids de l’arme qui retenait la mienne pour me propulser dans les airs, roulant, la hanche me protégeant de toute attaque tout en assurant une bonne offensive. Quand mes pieds touchèrent le sol, mon ennemi était encore debout, sans la moindre blessure. Tenant ma hache à deux mains, je laissa l’image de mon adversaire faire le chemin dans mon esprit, prête à attaquer au premier assaut…
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeLun 6 Aoû - 1:31

J'avais soif, je me suis approché du puit, mais une dame y était déjà. Je me suis avancé sans faire de bruit puis... Elle se retourna arme brandit. C'était une chance que je sois un gosse, sinon elle m'aurait pourfendu. Après quelques secondes d'hésitation, elle me tendit le sceau et je put boire.

Je retournai dans mon coin pensant à cela. Elle aurait put me tuer facilement, mais elle ne l'a pas fait. Si j'attendais vraiment un signe, c'était celui-là que j'attendais. Je partit chercher mon sabre caché derrière la boulangerie et en même temps je volai un pain.

Je retournai voir la dame, mais quelqu'un lui faisait face. Je me cachai dans l'ombre d'une maison, attendant l'issu du combat. Si tout cela se gâtait, j'allais sortir et aider la dame. Sinon je resterais ici jusqu'à ce que l'autre soit mort.
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeLun 6 Aoû - 13:43

De la poussière s’élevait du sol à mesure que les deux combattants laissaient leurs analyses visuelles semer le doute dans l’esprit des spectateurs. Le silence, déjà lourd dans ce village, semblait plus pesant que ne le laissait croire la logique. Qui était donc cette personne qui osait affronter la fée noire… Il y avait un teint crayeux, les joues creuses. Une certaine stature mais pas assez pur en imposer à la demoiselle qu’il venait de provoquer en duel.

***


Je vie qu’il tenait son arme de la gauche… Aussi je planta la base de mon arme dans le sol, laissant le reflet du peu de rayons qui passaient être les nuages se refléter contre celle-ci, alors qu’une immobilité pour le moins soupçonneuse venait menacer les traits de l’homme qui me défiait. Dans ses yeux, je pus voir mon propre reflet, ainsi que celui de deux autres personnes s’approchant derrières moi, dans un silence complet. Je ne sourie pas, même si généralement, je l’aurais fait. Ma vie était une succession de combat, je n’avais pas de doute de gagner celui-ci. Le prenant comme un entraînement, je fis tourner ma main lentement sur mon arme, gardant mon calme.
Les doigts vers le bas, j’attendis que les personnes se rapprochent. Puis une fois encerclée, je m’appuyai sur mon arme, envoyant un coup de pied dans le ventre de mon premier adversaire alors que reposant pied à terre ma hache fendait l’air pour atterrir sur ce que je n’appellerais plus un humaine. Finalement, d’un moulinet, j’envoyai un coup du revers des lames au troisième, ce qui eut l’effet de l’assommer en bonne et du forme, alors que pour le premier que j’avais renversé, le voilà maintenant pris avec un handicape majeure. Le manque de jambe pour s’enfuir. Je n’avais tué que le deuxième… Je ne savais pas moi-même pourquoi exactement. Mais c’était ainsi. Voilà tout.

J’attendis encore un peu, voir si d’autre personne ne voulait se mesurer à ce que j’étais. Mais plus personne ne vint. Voilà qui n’était pas sans me plaire. Je n’avais pas l’intention de tuer, aujourd’hui, aussi remis-je les pièces que j’avais pris sur le corps d’une de mes victimes au main de celui que j’avais assommé. De toute manière je savais très bien chasser… et si je manquais d’eau, je n’avais cas boire le sang du gibier. Je passa une main le long du manche de ma hache et fini par reprendre ma marche. Décidément, ce n’était pas ici que j’allais trouver des réponses à mes questions. Je marchais vers la sortie du village depuis à peine quatre seconde qu’un mouvement dans mon champ de vision activa une fois de plus mes habitudes… enfin. Aurait du. Pour la forme je ne fis que me retourner. Et avec une certaine surprise, je revis l’enfant qui était venu boire de l’eau, mais cette fois ci, avec un sabre…

Voulait-il vraiment me défier? Je doutais que oui. Peut être que j’avais tuer ses parents, aussi, je n’en savais rien. Mais pour une personne comme moi, qui n’avait jamais eut de parents, si c’était le cas, je ne comprendrais pas sa douleur. Comme je ne comprenais pas la douleur sur bien des sujets. Par manque d’expérimentation. Quoiqu’il en soit. J’abaissai ma hache, vraiment, ce garçon ne m’inspirait pas une envie de meurtre…

« Que me veux-tu, demandais-je dans un murmure. »
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeLun 6 Aoû - 22:02

Je suivais la dame depuis bientôt un moment quand elle se retourna et m'apperçut. Cette fois elle m'adressa la parole et me demanda ce que je lui voulais... Je prit la peine de réfléchir un peu à la réponse. Il fallait sans doute que j'use de tact, mais je ne le fit pas. Je lui racontai mon histoire de font en comble. Des raids pirates, jusqu'à la mort de mes parent et à sa rencontre. Je lui expliquais qu'elle était le signe que je cherchais pour partir de ce trou perdu et aussi lui demandais-je poliment de l'accompagner.

Elle me regarda. Elle était sans doute étonné d'une telle requête, mais le jeu en valait la chandelle. Au mieux elle acceptait, et au pire elle me tuait. Et dans le dernier cas, je n'avais rien à perdre, ni dans le premier d'ailleur. Je n'avait pas peur de la mort et elle le sentait probablement. Elle non plus ne semblait pas avoir peur de mourir. Je l'avais vu dans son combat de tout à l'heure.

je lui sourit gentiment, dans l'espoir qu'elle accepte.
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeLun 6 Aoû - 23:38

Même les nuages, dans le ciel, semblaient être le reflet du désespoir qui animait cet endroit pour le moins étrange. La demande du garçon n’avait pas surpris la combattante outre mesure. Du moins jusqu’à un certains point.

***


Je laissai le son de ma respiration monter à ma tête le temps d’un instant, croyant y déchiffrer les allures d’un fauve. Mes yeux regardaient encore le jeune homme, leurs couleurs sans reflets le prenant entre les griffes de mon regard sans émotion. J’étais un signe. Pour cette enfant. Un signe. Qui sait ce que ça voulait bien signifier pour lui. En tout cas. Il semblait décider à venir, je le compris en voyant son sabre. Je me demandais un instant si il avait eut un certain entraînement. Mais cette idée partie bien vite. Ainsi donc… Si je le prenais sous ma tutelle, je serais en quelque sorte son maître, et j’aurais une certaine responsabilités envers lui.

Je me pausais surtout la question suivante. Avais-je vraiment envie d’avoir quelqu’un donc je devrais m’occuper? Alors que face à face, mes pieds décidèrent d’avancer vers cette enfant. Je m’arrêtai à peine à quelque pas. Il y avait un choix, dans cette situation, qui tortillait l’esprit l’espace d’un moment. Celui d’abandonner ma liberté de mouvement pour un moucheron, ou l’autre de le tuer simplement. Je devais avouer que la deuxième me tentait plus que la première. Je n’étais pas faite pour vivre avec le reste du commun des êtres vivants et je le savais bien. Mais se garçon, en revanche, pouvait m’aider sur ces nouvelles terres que je ne connaissais pas.

Je fis alors un compromis avec ma nature solitaire. Déposant un genoux à terre, tout en sentant mes cheveux tomber sur mes épaules et s’égarer un peu partout sur ma peau. Je plantai fermement ma hache dans le sol, sans pour autant m’éloigner vraiment de celle-ci, et, à la même hauteur que cet enfant. Je tendis une main qui vint prendre son épaule gauche. Je sais, sans délicatesse, je n’avais pas vraiment les fondements de la douceur en moi, je l’approcha un peu plus, et me mis à l’examiner d’avantage.
Je ne pus m’empêcher d’y sentir une odeur mal odorante. De la vielle sueur, probablement. Ce n’était pas comme c’était la première fois que je sentais ça. Mais sur un enfant encore jeune, oui. Le peuple d’où je venais aimait peut être les combats à mort, mais ils prenaient soins de ses habitants. D’ailleurs, il n’était rare qu’un commerce de savon face profit. Mais peut m’importait. J’apprendrais l’hygiène à ce gosse plus tard. De cette pensée naquit la certitude que je le prenais désormais à mes côtés. Après tout il pouvait servir. Et puis avec un peu de chance, rien n’était perdu…

Je planta mon regard violet dans celui, noir, du jeune. Mon côté elfe de la nuit semblait y lire plusieurs choses, alors que ma partie barbare ne prenait en compte que le côté fort qui sommeillait sous cette armure de ténèbres. Je lui dis de me montrer ses dents. Et alors que mon pouce écartait sa lèvre inférieure comme si j’étudiais un chien ou un chat, le ciel lança une lumière rapide. Du coup je me redressa et déposa une main sur la tête du garçon. Peu de temps après la lumière vive, une autre suivit et, du ciel, on entendit un roulement agressif, puis un énorme craquement, comme si les entrailles de la terre venaient de se déchirer. Impassible, j’hocha la tête, marquant mon accord…
Il n’y avait pas de pluie, mais un vent plutôt frisquet venait de s’élever à l’instant.
« C’est ici que nos chemins se joignent, donc… »

Je retira d’un geste sec mon arme du sol et attendit un quelconque signe sur lequel je pourrais me baser pour commencer à suivre un chemin de terre donc je n’avais aucune idée où il allait… Autant explorer.
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeMar 7 Aoû - 22:19

J'attendais sa réponse avec une pointe d'impatience, et non de peur. Elle avait encore l'oportunité de me tuer, mais je ne craignais pas la mort... Ni la souffrance d'ailleur. La souffrance et la mort était chose commune ici et cela faisait partie de la vie.

Quand elle me répondit, j'eu un mal de tête aurant étrange qu'atroce. Puis des éclairs. Et le mal disparu comme il était venu. Cela venait de nous lier ensemble. Désormais nos chemins se feraient côtes à côtes.

Elle m'emmena dans un chemin qu'elle n'avait pas l'air de connaître, mais elle n'en laisait rien paraître... Sauf la brève hésitation avant son choix. Moi je savais ou nous allions. Nous allions vers Cozül et d'après ce que je savais d'elle, nous risquions fort de ne pas rester là-bas très longtemps.

Après cela, je lui révelerais que je savais m'orienter dans ce pays. Mon père était marchand et j'avais voyagé beaucoup avec lui. Puis il avait trouvé une femme à Vanam et s'était installé. Ma mère adoptive me plaisait, mais les gens de Vanam ne l'aimait pas, et il se sont mit à mépriser mon père pourtant bien aimé de ce village.

Je repensais à tout cela sans la moindre émotion. C'était une chose qui était partie avec le décès de mon père. Je regardais la dame marcher, sans connaître son nom. Elle ne connaissait pas le miens non plus d'ailleur... Je ne voulais pas risquer cette question car je ne voulais pas qu'elle me rejette. Si elle me le demandais, je lui répondrais un point c,est tout. Mon être n'était pas disposé à se faire rejeter. Surtout si on considère que ce rejet vien d'un signe qu'on a attendu longtemps.
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeMer 8 Aoû - 0:42

Le ciel continuait de lâcher ses plaintes, alors que du rose et du bleu, à peine visible, se faisaient encore voir quand les nuages manquaient à l’appelle. Autant dire que malgré la sombre atmosphère, le soleil était encore présent, quelque part là haut…


Et voilà. Maintenant je devrais commencer à penser avec un « nous » plutôt qu’avec un simple et égoïste « je ». Quoiqu’il en soit. Je fini par mettre mon arme dans mon dos, à des fins pratiques, alors que silencieuse, je marchais, le jeune homme à mes côtés, alors que mon esprit prenait en main plusieurs questions que je demanderais une fois l’heure arriver, pour l’instant, autant prendre part à ce que le paysage réveillait. Pour la peine, je pris le temps de résumer la situation. Alors de mon quarantième combat, je m’étais enfuis et avec ça, m’a tête devait être mise à prix sur ma terre natale, un peu partout dans les régions avoisinantes celle où avait lieu les joutes.

Pour ce qui était des marins, je doutais que ceux-ci, si ayant survécu à la tempête, mettait au courant les dirigeants et mon ancien maître qu’ils avaient laisser filer la Fée noire. Autant leur peine serait grande, autant personne ne voulait se vanter d’une t-elle chose, qu’importe le danger que représentait le personnage qui fuguait à se moment là. Je laissa son visage de marbre, alors que ses pensées bouillonnaient sous son crâne. Mes yeux glissaient quelque fois vers le garçon, mais n’y restait pas bien longtemps. Sans vraiment m’en soucier, je sentais le ciel frémir au dessus de nos têtes. Et le fourmillement qu’il y avait dans l’air détendait d’une manière que seule pouvait imaginer un être t-elle que moi… c’est ta dire, que moi, puisque j’avais compris il y avait longtemps que tout était unique.

Certes… Mes oreilles se rabattirent un instant sur mon crâne au son d’un tonnerre particulièrement puissant. On aurait dit que le ciel, comme un félin qui se faisait caresser par les éclairs, semblaient particulièrement content de se traitement et qu’il le montrait bien en ronronnant très fort, mais de façon irrégulière. Je passa une main dans mes cheveux, renvoyant quelques mèches, et je commença mon interrogatoire, après tout, la route ne semblait pas prête de s’éteindre de si tôt, et comme il ne pleuvait pas, je ne voyais pas pourquoi j’aurais arrêter. Pour ce qui était des vivres et d’un abri, j’avais conclus de chasser… en autant qu’il y est du gibier dans la région, ou quelque chose mangeable, du moins, qui était fait de chaire.

« Décrit moi la région, ce qui y voit… ce qu’on y trouve. Dit tout. »

Prétendre que c’était un interrogatoire était un peu bête. Surtout une prise de conscience du terrain sur lequel je me trouvais était plus adaptée comme terme à la situation. Et puis poser des questions pour un peu tout, c’était long. Je n’aimais pas traîner, en fait. En tant que compagnon de route, et aussi parce qu’il était plus jeune et plus faible, je devais m’avouer que je me voyais qu’une une figure d’autorité et de force. D’ailleurs, c’était le cas. Mais peut importait... L’atmosphère grisonnante teintée de bleu et de rose, à quelques occasions, me rendait calme, pour l’instant. Possible que le signe que ce jeune homme voyait en moi deviendrait un grand désespoir. Certes. Je ne pouvais pas moins bien le traiter que de là d’où il venait…
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeMer 8 Aoû - 1:10

Le ciel se déchainait dans un paysage sublime. C'était particulier que de voir de l'admiration dans les yeux de la dame. Un visage sévère, sombre, dur même...

Elle me demanda de lui décrire le pays.

-Ce n'est pas un pays, ma dame. C'est un continent! J'ignore d'ou vous venez, mais je vois dans votre façon d'agir que vous ne venez pas d'ici. Et cela se confirme par cette question.

Je la regardai, essayant de savoir ce à quoi elle pensait. Elle avait l'air de marcher à l'instinct. Elle était comme un fauve. Elle était un fauve. Indompté, incomprise et malaimée. J'essayai tant bien que mal de lui décrire Cozül. C'était la prochaine escale et je ne pouvais pas décrire le continant au complet. Le monde De Shamar était si différent de celui de Valérian et celui de Minia aussi différent de Dalaran.

-COzül est le seul port maritime de Ramandrek. Il est la source de revenu de beaucoup de truands et de bandits. Le trafic d'esclave y est permis la-bas. La ville est salle, sombre et dégoutante. Pourtant tous s'accordent à dire que c'est une grande ville. Une ville forte avec une armée puissante et respectée. Le roi de cette ville est connu sous plusieurs noms tel Maïdr qui signifie Haut de l'elfique.

Je me doit de penser que cela signifierais plus Noble ou puissant, mais cette langue...

Je m'interrompis. Elle était une elfe, ou du moins ressemblait-elle à cette race. Elle savait probablement ce que voulait dire Maïdr mieux que moi.

-Il est vil et cruel. On dit qu'il a vendu son âme pour devenir roi de Cozül, mais ce n'est qu'une fausse rumeur. Il ne faut pas se fier à cela. La ville fait d'excellents profits et c,est pourquoi une haute taxe est en su là-bas. Le marché noir est aussi très facile à trouver car comme la taxe est haute, les gens veulent acheter a de bas prix.

Les remparts de cettes ville sont plus solide que le roc et plus amménagé que tous les autres. Des herses très solide se referment lors d'attaques et du fil barbelé au dessu des remparts décourages les attaquants. Disons aussi que la milice est corrompu. Pour un peu de monnais, il te laisserons partir. Et si tu n'as pas de monnais, eh bien tu pourrais te retrouver en prison à vie peut importe ton crime.

Voulez-vous savoir autre chose ma dame??


Je fini de réciter l'histoire de COzül avec fierté. J'en savais probablement plus que les plus éduqués de la région sur cette ville...Et toutes les autres d'ailleurs. Les seuls endroits que je ne connaissait pas beaucoup étaient la vallée des elfe, les pics tordus et les montagne infinies. Des lieux peu fréquanté par les humains.
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeMer 8 Aoû - 2:08

Malgré le déchaînement sec du ciel, l’elfe barbare fronça les sourcils quelque peu… Mécontente, alors que son regard venait de glisser dans le coin de ses yeux, direction le jeune homme qui lui disait ses connaissances. Certes il y avait quelque petite chose intéressante, mais pas pour la situation initiale…


Je soupirai légèrement. Il semblait fier de son résumé. Mais franchement, je n’en avais que faire. Un peu comme mes maîtres avant moi, je lui envoya donc une baffe derrière la tête, consterné par le manque d’information sur ce qui était vraiment important pour le moment présent, et je sue au contact que je n’y étais pas allez de main morte.

« Je veux que tu me dise ce qu’on peu trouver comme ressource ici présentement. »

J’avais croisé les bras et mes yeux ne quittaient que très rarement le garçon. Je me rappelais très bien la première fois que mon maître d’arme m’avait fait quelque chose de semblable. Et franchement, j’étais frustré, quand cela m’était arrivé. Et bien qu’après deux trois coups, je sue son mode de fonctionnement, je ne pouvais m’empêcher de l’haïr d’une certaine façon. Je n’ai pas été élevé dans un cocon de douceur, mais je ne me savais pas si ignorante que ça. Aussi je justifiai un peu mon comportement. Je n’avais pas l’intention de créer une hostilité entre nos deux entités…

« Pour ce voyage il va falloir qu’on chasse, pour assurer notre existence et connaître ce qui circule en tant que proie serait plutôt utile, si tu veux manger. »

Personne n’était cannibale, ici, il me semblait. Mon ton de voix était comme toujours, plutôt sec. Officiel. Je n’avais pas la magie des rieurs en moi. Mais cela m’importait peu. Contrairement à eux, je vivais… et pleinement. D’ailleurs c’était le cas présentement. Mon visage c’était crispé, légèrement, comme pris d’une certaine colère. Et après un certain temps. Je ralentis mon rythme, puis m’arrêta… puis m’assis. Autant mettre les choses au clair tout de suite.

« Assis »

Pas de « je t’en pris » n’y de « s’il te plait. », ces formalités m’étaient à peine connu, et surtout, je ne perdais pas de temps sur les mots. Je ne voulais pas prendre trois jours pour dire une phrase. Rapide directe et précis, ça, c’était parfait. Hum. Mes yeux ne quittaient pas l’enfant. Et même si parfois ils se promenaient sur lui, ils n’en restaient pas moi attentif à ses manières d’agir, à son visage. Ses expressions. Je savais que depuis le village que je venais de quitter, plusieurs lieux avaient fait leurs chemins dans nos muscles. Certes. Nous étions loin. Je ne craignais pas une attaque quelconque, cette fois ci… En attendant que le jeune m’obéisse. Je pris une grande respiration, bien que calmement. Le tonnerre jouait encore dans les airs, renvoyant ses hurlements de rage un peu partout autour de nous. Mes oreilles bougeaient légèrement, à peine indépendante l’une de l’autre, alors que ma hache semblant faire un rempart dans mon dos, encore et toujours, j’observais, attendais des questions.
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeMer 8 Aoû - 2:22

Disons que je m'y attendais un peu... À cette fameuse claque. Je n'était pas du genre à me plaindre et aussi, j'écoutai quand on me dit de m'asseoir.

-Je ne connais pas les technique de chasse ni les endroits, par contre, nous allons devoir traverser un bois pour nous rendre à Cozül. Ce bois doit bien renfermer quelques créature sauvages... C'est à une demie lieue d'ici.

Je ne pouvais pas dire autrement car j'était fils de marchant et je ne savait pas chasser. Et aussi ne le dis-je pas car elle ne l'avait pas demander. Elle en viendrais la tot ou tard.

-Pardons ma dame, puis-je me permettre de vous demandez votre nom??

Et quoi encore, ça ne me servait à rien de le savoir. Un nom ne sert qu'a désigner quequ'un et non à le reconnaître. Mes yeux n'avaient pas changés. Je n'avait aucune expression faciale à présenter car je n'avait pas d'émotion.

-Je... Allez-vous m'apprendre à me battre, risquais-je à nouveau?
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 0:16

À mesure que le petit parlait, les nuages perdaient du terrain. Et une lumière vive et orange venait jouer avec le paysage, quand bien même qu’il faisait encore plutôt sombre, et que l’orage était encore particulièrement fort. D’ailleurs, avec celui-ci vint s’ajouter une petite bruine. Rien de bien méchant, mais assez étonnant puisque normalement, c’était une pluie totalement déchaîner qui venait se joindre aux déchirements du ciel dans ces moments là. À croire que cette partie du monde était plus étrange qu’elle en avait l’air…

Une forêt… Cela pouvait s’avérer dangereux, si le tonnerre continuait. Quoiqu’il en soit. J’écoutais les dires de l’enfant avec un intérêt tout naturel. Après tout, je venais d’être projeter sur un continent qui m’était totalement inconnu, autant prendre des notes. Et alors qu’il parlait. Je prenais aussi en note son physique du moment, évaluant encore une fois ce que je pourrais bien faire de ce bonhomme qui venait d’intégrer ma vie d’une étrange manière. Ses cheveux longs, noirs comme ses yeux, semblaient refléter l’humeur du moment, et bien que crasseux, ils semblaient presque doux. En tout cas. Ils étaient minces, et sous le vent, s’élevait tranquillement. Je du cependant arrêter mes observations là, car une question qui ne m’étonna pas me fut poser… en fait. Deux questions.

« Thör Ragnarök… »

Il utilise un sabre, et moi, je n’ai appris cas manier la hache de guerre. Impossible de lui apprendre quelque chose de ce côté-là qui fut de manière technique, utile. Cependant. Je pouvais toujours lui apprendre à « manier » une arme. Utiliser son poids. Sa forme, de manière intelligente…

« Non. »

Je ne dis plus rien pendant un instant. Question de voir sa réaction, comme un félin curieux de savoir si, en mordant sa proie, voulait savoir comment il pourrait la garder en vie tout en jouant cruellement avec elle.

« Pas de la manière que tu l’entends. Tes techniques, tu devras les trouver seul, en créer, si nécessaire. Ce que je vais t’apprendre, c’est à te servir de ton arme. »

Après tout. L’arme la plus puissante au monde n’était rien, si personne ne savait la manier. Je l’avais appris à mes dépends, il y avait de cela un bon nombre d’hivers. Je sentis à peine mon visage tressaillir quand je conclus.

« Mais avant. Il va falloir te rendre robuste… »

Pas musclé comme un centaure, ça c’était certain, déjà son arme ne demandait pas autant de force physique, mais à voir son allure du moment, nul doute qu’un peu d’entraînement serait nécessaire…

« Ton nom? »

Je n’allais pas l’appeler l’enfant toute sa vie…
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 0:31

Après cette réponse étrange, mon nom me fut demandé.

-Mikä...

Mikä seulement. Une réponse courte et simple. Trop simple... Un jour mon nom serait reconnu. Et ce ne serait certainement pas du bon côté que je jouerais car mon menthor n'avait pas l'air d'une poupée en porcelaine.

Je ne savait pas quoi rajouter. Je pensais à ce qu'elle venait de me dire. Créer mes propres mouvement au sabre, c'était beaucoup demander, mais si elle m'avait dit cela, c'était certainement parcequ'elle m'en jugeait capable. J'allais découvrir à manier mon arme correctement pour ensuite faire mes premiers vrais combats.

Et pour ce qui était de la chasse, je ne pensais pas m'en tirer trop mal. Je me déplaçais presque aussi silencieusement que Thör. Il ne faudrais pas beaucoup de pratique pour devenir bon. Du moins, je l'espérais.
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 1:11

C’était court. Pas de nom de famille. Il n’appartenait donc à rien. Il était totalement seul…. Du moins l’était. Parfais. Je n’attendis pas que l’herbe pousse pour me relever, nullement gêner par le poids de mon arme, alors que Mikä faisait de même. Excellent. Je n’aurais pas besoin de lui dire toujours quoi faire pour assurer le bon fonctionnement de ce voyage en terre inconnu… du moins dans mon cas. Les points violets qui dansaient dans mon visage se fixèrent finalement sur la marche reprit son court sans demander son reste. Plusieurs heures passèrent ainsi, dans un silence presque total, place à un certain coucher de soleil, pour le moins aveuglant, d’autant plus que si on regardait dans le dos de l’elfe, on y aurait vue la vision d’un rayon emprisonner dans son arme, l’argent reflétant la lumière du ciel sans effort apparent.

Quoiqu’il en soit. Nous atteignîmes l’orée de la forêt alors que le soleil ne laissant qu’une bande mince de lumière à l’horizon, alors que le reste du ciel, maintenant dégager, et surtout libérer des éclairs de chaleurs, commençait tranquillement à allumer ses étoiles. Autant dire que ce n’était pas laid, et qu’avec la vision de la lune, encore trop faiblarde pour illuminer correctement la terre, cela donnait un côté plutôt étrange… Les deux personnages semblaient être pris au milieu d’une balance qui comparait la lumière et les ténèbres. Qu’importe. La cime des arbres procurait une vision à peine sinistre dans ce paysage plutôt unique…

« Allons chasser… »

Nul doute qu’il devait y avoir des lièvres, sangliers, et autre bête le genre dans cette forêt, pensais-je. Autant les grandes bêtes nous auraient obligé à abandonner une bonne partie de la chaire aux charognards, autant deux lièvres à nous tout seul serait parfait… Pour ce qui était du campement, autant dormir dans un arbre. Sachant comment faire un feu je ne pausa pas la question à Mikä, cela aurait été inutile. Par contre. Son arme, qui était bien plus effiler que la sienne, serait d’une grande aide pour dépecer… je ne voulais pas réduire la viande à l’état de petit bout impossible à distinguer du reste.

Un regard violet au jeune et une seconde plus tard je me retrouvais sous le couvert des arbres, avec je le sentais, l’enfant sur mes pas… quoiqu’avec une indépendance fort apprécier de moi-même. Je ne croyais pas devoir dire quelque instruction que ce soit, sinon une seule.

« Utilise tes mains pour tuer. Casse le coup, le sang est utile, si tu manques d’eau un jour, n’oublie pas ça. »

Je le dis parce que, de toute manière, j’avais soif. Cela faisait longtemps que nous avions quitter le village miteux, et donc, j’avais soif. Pour ma part… Et puis pour quelqu’un d’intelligent, casser le coup d’une proie signifiait aussi ne pas la prendre plus grosse que soit. Je n’avais pas vraiment un doute particulier sur le fait que le garçon est comprit cela…

Quoiqu’il en soit. Je me mis à chercher, à terre, la vision de petites bêtes comestibles… Il était vrai cas cette heure, pourtant, la plupart rentraient dans leur terrier.
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 1:26

Il faisait presque nuit et je n'y voyait pas grand chose. J'écoutais attentivement le son du vent, de nos pas, puis tout à coup j'entendis des pas furtifs. Ceux d'un lièvre. j'observai attentivement les alentour, cherchant ce que Thör n'avait pas encore vu. Puis je le trouvai, ce fameux lièvre. Je bondis sur l'animal le manquant de peu.

Je le poursuivit en courant derrière lui, puis il se planqua. Qu'est-ce que j'allais dire à Thör qui m'avait vu détaler derrière le lièvre. Surtout qu'elle aurais probablement pu l'attraper facilement. J'aurais du calculer mon coup avant de me lancer à l'aveuglette comme je l'avait fait. J'était le dernier des maladroits. Je revint, tête basse vers Thör et dit d'une voix faible :

-Il m'a glissé des mains...
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 2:08

« Cesse de mentir. Tu n’y as même pas touché. »

Lança une voix venimeuse qu’était la mienne en ce moment. On voyait de moi qu’une partie de mes cheveux et mes yeux, qui luisaient naturellement dans le noir, fixer de manière méprisante sur l’enfant. Il n’avait pas l’instinct d’un chasseur, on dirait! En tout cas, si il l’avait, elle était profondément enfuit sous une couche de crasse. L’odeur que se jeune dégageait devait avoir avertis le lièvre. On n’entendit que mon soupire et je retourna dans les ténèbres que déversaient les arbres. La furtive pensé que vivre seule était le meilleur moyen de ne jamais avoir de trouble passa l’espace d’un instant dans ma tête. De toute manière, je le savais déjà.

La colère me rendit agressive. Pourtant je savais que faire peur à un animal rendait sa viande dure, aussi me contrôlais-je le tant de quelque minute, que je tue au moins quelque chose, avant de finir par étrangler ce garçon qui me tenait compagnie. Au certes, j’étais au courant que l’erreur est humaine, d’ailleurs j’en avais eut tout un tas, mais c’était vraiment désagréable, sur le coup. Vraiment… Je fis craquer mes doigts pour me détendre. Ça ne réussit pas. Qu’importe. Je venais de voir un mouvement au sol. Aussi tôt toute mon attention fut tournée sur une seule chose. Cette douce surprise me laissa de marbre. Et sans faire de bruit je m’approchai du couple qui c’était attardé… dehors.

Sans faire d’histoire j’approchai avec une lenteur calculer une main en parfait contrôle vers les oreilles d’une des bêtes, alors que de l’autre, tenant une grosse roche, j’assommais son voisin. Avant que ses réflexes ne lui dicte de détaller à toute vitesse, la pauvre bête se retrouva suspendu dans les airs, les pieds battants inutilement le vide en poussant de petite plainte. Je ne fis pas d’histoire et prit celle que j’avais assommée de la même manière, par les oreilles. Sans me départir de mon calme, je revins vers Mikä et lui tendit la bête encore en vie, le défiant de mettre fin aux jours d’une chose si mignonne, alors que tranquille, je lui tendais.

« Ici, tu mange que ce que tu as toi-même tuer. »

J’avais du mal à partager. Faut dire quand on passe sa vie dans un endroit où il faut trucider ceux qui t’entoure pour avoir de la nourriture, ça n’aide pas. Soit…
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 2:21

Je prit le lièvre et lui défonçai la tête à l'aide d'une pierre. Je souris... J,avais aimé faire ça. C'était plutôt étrange d'aimer tuer quelquechose. Je prit le lièvre et entreprit de le dépecer à l'aide de mon sabre. Je coupai de fine tranche de viandeet les mangeai cru. Je n'avait pas l'intention d'allumer un feu et le goût du sang frais dans ma bouche me revigorais.

Je me demandais si j'avais impressioné l'elfe en tuant si facilement l'animal. Quoi qu'il en soit, j'avais faim et ne dit aucun mot. Je m'attendais de voir Thör allumer un feu d'ici peu. Je la défiai du regard, comme si je lui disais qu'elle n'était pas capable d'avaler la viande crue. Je ne savais pas si elle comprenait mon regard, mais elle avait l,air d'hésiter à allumer un feu.
Pourtant c'était si facile.

Il était tard et j'avais sommeil.

-Puis-je dormir?? demandais-je calmement.
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 2:52

Encore une fois, il me vint l’envie de sourire. Pourtant rien n’arriva. Voulait-il m’impressionner? Se rattraper? Je ne savais pas. En tout cas. Pour manger sa viande crue si facilement, il devait l’avoir fait plus d’une fois, et de manière répétitive. Quoiqu’il en soit. Je fini par casser le coup de mon propre repas, et à l’aide de mes dents, mordit sans prendre la peine d’enlever la peau, fourrure, et tout ce qui venait avec. Certes non. Je ne mangeai pas ça. Mais simplement j’avais soif, et puis ça gaspillait moins que si j’avais couper la tête, ou quelque chose du genre.

Un peu de sang me coula sur le menton, mais je n’y prêtai pas attention. En tout cas. Pour ce qui était du reste. Oui, je fis un feu. Je n’avais pas l’intention de me rendre malade et encore plus désagréable que je ne l’étais déjà en mangeant de la viande crue, quand je pouvais la cuire, de toute façon! Et puis je préférais sentir la viande tendre sous mes dents, plus que de me débattre avec les nerfs et autre chose du genre pour assurer ma subsistance. De ce fait. Je ne répondis pas à la provocation du jeune, indifférente. Je venais d’arracher un morceau de viande au flamme quand encore une fois, une question me fut posé.

« Non. Tu vas te racheter pour ta misérable chasse. »

Elle lui retourna son regard et mordit dans sa viande sans se laisser distraire plus longtemps. Le feu avait le don de faire fuir les prédateurs potentiel attiré par l’odeur du sang. Son repas terminer. Elle délaissa d’ailleurs les flammes pour une branche haute et assez grosse, laissant celles-ci mourir avec le temps.
Coucher sur le ventre, elle n’eut pas besoin de lancer une quelconque phrase dans le genre : j’espère que cette fois ci tu sera à la hauteur! , car l’atmosphère du moment résumait assez bien ce que les deux personnages pensaient l’un de l’autre…
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 3:00

Elle s'endromit, me laissant de garde. Je ne savasi pas si je pouvais dormir, mais je ne prit pas cette chance, en tout cas par pour l'instant. Les heures passèrent et le feux s'éteignit. C'est alors que j'entendis des pas feutré. C'était des loups. Deux grands loups noirs.

Je ne savais pas pourquoi, mais je ne réveillai pas Thör. Pas pour qu'elle se fâche encore une fois. Je sortit mon sabre de son étui et dirigeai mon regard vers les deux loups. Je n'était évidemment pas de taille contre ces bêtes, mais mon orgueil prenait le dessu. Elle verrait bien que je peux être utile à quelque chose.

Le premier loup chargea, et je ne sait par quel miracle, quand il sauta j'enfonçai ma lame dans sa chair et le tuai. L'autre prit son élan et me bouscula m'envoyant valser quelques mètre plus loins. Il chargea à nouveau et me griffa l'épaule. Je lachai mon arme dans un cris déchirant et Thör se réveilla. Je voulais aggriper la poigné de mon arme mais elle était trop loins. Si l'elfe ne se dépèchait pas à venir, cette bête allait m'anéhentir...
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeVen 10 Aoû - 1:53

Mes oreilles autant que moi-même se dressèrent au cri de Mikä, mes yeux ne prirent que quelques secondes à mettre en relation le loup et mon jeune protéger en conséquence de ce soudain bruit. Les mains contres le troncs, bien que mes muscles encore un peu raide, je me propulsa en bas, le poids de mon arme rendit l’action plus vite et, rapidement, je me retrouva entre la bête qui grognait et le jeune, je n’aperçus que le temps d’une seconde un autre loup à terre, mort, que déjà je tournais le dos à celui qui bavait de rage en me jetant à terre et, les mains contre le sol et une jambe plier, j’envoyais un coup de pied décider vers la mâchoire de ce qui semblait être l’ennemi du moment.

Cela réussit à le distraire assez longtemps pour que d’un geste je puisse prendre le sabre de Mikä, n’ayant pas le temps de décrocher ma hache de guerre. Rapidement je me remis sur pied, déviant l’attention de la bête l’espace d’un instant, en brandissant l’arme sous son nez retrousser de rage, dévoilant ainsi ses dents, énormes et tellement blanche que j’aurais put y voir mon reflet, comparé à sa fourrure, que l’espace d’un instant, nos regards se croisèrent.

L’arme était tellement légère que je n’avais pas l’impression de l’avoir en main, et de ce fait, je n’eux pas le réflexe de la tenir. Du coup, celle-ci tomba au sol. Aucune terreur ne passa sur mon visage, mais je dois avouer qu’un certain frisson me passa par tous les recoins du corps. Le loup chargea. Je m’accroupie, évitant de justesse griffes dents et poids. D’un geste de l’épaule la ceinture qui retenait mon arme roula, et maintenant ma hache devant moi, j’arrachai presque son attache en la prenant dans mes mains.

D’un air tout naturel je la projeta vers lavant, laissant son manche me glisser entre les doigts, jusqu’à un certain point ou je la repris brusquement, le loup avait dévier mon attaque, mais j’avais assez de force dans mon bras pour suivre le mouvement et donc je pivota sur moi-même rapidement, un pied à terre, l’autre plier sous la jambe qui me servait d’appuis. Mon geste s’arrêta quand je sentie que j’avais heurter quelque chose et, dans une fugace penser, j’espéra que ce n’était pas le jeune garçon. Cependant, tout doute s’écarta de mon esprit quand j’entendis un gémissement qui n’était pas humain, suivit d’un grognement pour le moins révélateur.

Comme ayant compris que je protégeais le garçon, la bête, quand bien même qu’elle était blesser, je jeta en ultime recours sur celui-ci, et cette fois, décider à en finir, je courus pour lui envoyer un dernier coup de pied, cette fois ci dans les côtes, ce qui eut le don de le faire s’écarter l’espace d’un instant et, ces à ce moment là que je jeta mon coup finale, la hache en horizontal, j’avança vers le loup blesser et, sans crier lancer aucun cri de guerre ou de victoire, dans un mouvement sec, enfonça ma hache dans son crâne, à vrai dire… je le défonça carrément.

Légèrement couverte de sueur, je pris appuie sur l’épaule de la bête et dégagea mon arme de son corps. Nul besoin de dire que le bruit n’était pas pour le paisible. Heureusement ses deux là n’avaient pas eut le temps d’appeler le reste de la meute… Et mes yeux, sans que je n’aie rien demandé, cherchèrent Mikä du regard. D’un mouvement rapide, comme au village, je fis tourner ma hache, ce qui eut le don d’enlever toute trace de sang de celle-ci et, tranquillement, la remit à sa place. Mes pieds pour le reste, me conduisirent vers mon jeune protéger et, un peu essouffler je dois dire, j’alla le rejoindre. Je me surpris à penser que, un peu comme les félins, je venais de protéger ce qui devait prendre ma place une fois mon rôle fini, avec férocité. J’envoya mes cheveux vers l’arrière en passant une main dans ceux-ci et tranquillement, avisa du regard le sang qui tachait les vêtement de Mikä… je n’eux pas besoin de poser la question pour savoir qu’il était blesser.

« Crache dans ma main… »

Les gens avaient beau dire, j’avais une certitude étrange que la salive était l’un des meilleurs cicatrisants que la terre puisse porter…
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeVen 10 Aoû - 23:35

-Tu... tu n'es pas fachée??? dis-je en m'éxécutant.

J'était bien content d'être en vie. Et je ne pouvais pas dire pourquoi. Peut-être était-ce à cause de ma nouvelle compgne de voyage. J'enlevai mon gilet taché de sang pour découvrir trois rainures profondes et ensanglantées sur mon épaule droite. Je ne pourrais plus utiliser ce bras pendant quelques jours. Cela dit j'était droitier et j'aurais bien de la difficulté à utiliser mon arme de la main gauche.

Au moins c'était une blessure mineure. Je pourrais le réutiliser à nouveau d'ici 4 jours (en parlant de mon bras). Je me posai alors cette question : Pourquoi cette elfe m'avait-elle prit sous son aile??? Il n'y avait aucune raison visible.

Quoi qu'il en soit je me levai pour revenir près du feu, une fois le travail de netoiement de ma blessure et demandai à nouveau :

Puis-je dormir??
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeSam 11 Aoû - 1:37

Je ne voyais pas matière à être de mauvaise humeur… Sauf peut être cette blessure qui ralentirait possiblement la route De toute manière, je n’avais pas l’intention de réduire le rythme, il apprendrait à ses dépends, tout comme c’était le cas en cette instant.

« Va si. »

Je le regardais encore un instant… jusqu’à ce que mon regard dévie vers le loup qui était déjà mort avant que mon combat ne commence. Tout comme son complice, il était noir, femelle ou mâle, je n’en savais rien. En tout cas, j’eu une idée particulièrement. Puisque c’était la première bête de ce genre, d’après moi, qu’il avait tuer… Soit, j’attendis que Mikä s’endorme, et après avoir raviver le feu à bon compte, je pris le sabre du jeune homme et alla couper d’un coup sec la patte de son adversaire avec mon manque d’expression habituelle.

Une fois cela fait, je jeta fit en sorte que la patte brûle, laissant les griffes intactes. Tout en montant la garde dans le silence que seule le bois qui brûlaient ne rendaient pas complet, je pris le temps de séparer les griffes du reste de la patte, hache à porter de main à chaque bruit suspect. Ainsi pendant une ou deux heures, je m’occupais, ce qui me gardait éveiller. Soit…

Aucun autre accident ne vint mouvementé la première nuit de notre voyage que nous nous étions partagé à l’aide de tour de garde. Le lendemain matin, c’était à peine si les carcasses avaient commencer à attirer les mouches que déjà, je levais le camp. Avant de partir pourtant, j’examinai les blessures de Mikä. J’en conclu que l’eau et ce que l’on appelait bandage devrait suffire pour une bonne guérison et, tranquille, je l’enjoignis à prendre la route.

Armé d’un sabre, d’une hache et de mon savoir faire… nous nous remîmes en route...
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeSam 11 Aoû - 1:51

Les tours de gardes me furent pénibles. Surtout avec ma blessure, j'avais besoins de sommeil. Nous nous mîmes en route le lendemain puis nous atteignâmes Cozül peu après midi. La ville était comme je l'avais décrites, avec ses grand remparts et ses tours de gardes immenses.

Le port était magnifique, bien que un peu gothique et fait d'un étrange artiste. Même les quai étaient travaillé. Les planches de bois finisant en courbes et détails donnait une toute autre impression de la ville. Par contre le fait que la couleur noire était présente sur tous les bâtiment et la plpart du temps en grand emajorité, rendait la ville sombre et inquiétante.

Les ruelles devaient grouiller de voleur et les tavernes, de malandrins. J'était bien. Une impression d'immensité, m'apparut quand nous apperçumes le palais. Grandiose!!! C'était le seul mot qui me venait en tête. Entouré d'un autre palissade bien qu'un peu plus courte, les porte de bois était close et recouverte d'une grande herse travaillée.

Les château était comme celui des méchants dans les compte de fée. Noir, sombre, gothique, effrayant et quoique bien plus travaillé que le reste de la ville, il donnait un aspect lugubre et mauvais à tout ce qui l'envirronait. Même les arbres avait l'air de vouloir vous tuer. J'expirai bruyament en poussant un soupir de contentement. Même après être passé cent fois ici, on ne se tanait pas d'admirer cette ville.

Puis un garde nous interpella :

-Halte là, on ne bouge plus...

J'esperais que nous n'étions pas tombé dans le pétrin à cause de moi. Cette pomme avait eu l'ai si bonne et si juteuse. Je fit le voleur malin. Lorsqu'un paysan passa à côté de moi, je mit la pomme dans son sac. Personne ne me vit. Même Thör n,aurait probablement jamais conscience de ce que je venait de faire.

Le garde s'approcha et nous demanda de vider nos affaires sur le sol...
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeDim 12 Aoû - 1:32

Une ville… enfin. C’était elle donc ce garçon m’avait parlé. Et ses dires étaient tout à fait exactes, d’après mes souvenirs de ceux-ci. L’endroit était étrange, et ne me rappelait aucunement les structures qu’il y avait sur mon continent. Ses bâtiments noirs semblaient dominer de leurs funèbres apparences toute la place donc ils prenaient possessions alors qu’une impression de mal aise venait jouer quand on s’en approchait trop. Personnellement je trouvais l’idée du noir imbécile, car même si je n’avais jamais eut de cour à ce sujet, je savais que le noir attirait les rayons du soleil. Et c’était fort désagréable quand il faisait déjà chaud sans trace de tissus aucun sur la peau, surtout quand juste le contact était désagréable. Mais qu’importe. À mes habitudes, l’observaient tout ce qui se déroulaient d’un œil curieux et parfois, quand je croisais le regard des gens, on aurait dit que ma couleur inhabituel les figeais, ou les répugnaient, je n’aurais su dire. Qu’importait pourtant. La plupart des réactions reliées à la vision de ma hache ne passaient pas inaperçus. Cela paressait que cet endroit n’avait pas l’habitude de ce genre de visiteurs, et même si je voyais certains habitants qui ne semblaient pas s’en laisser croire non plus, nul doute que mon apparence primaire rendait déjà la chose plus importante

D’ailleurs, il n’était pas à négliger l’enfant qui m’accompagnait. Et le sang sur son linge. Pourtant, nous continuions notre route tranquillement, sans nous laisser distraire plus que ça. Passant dans une rue avec tout pleins de petit marché à ciel ouvert, mon odorat prit en compte les nouvelles odeurs qui me venaient, parfois agréable, parfois désagréable. Je n’avais pas remarqué que Mikä avait volé une pomme en effet, et quand un garde arriva, après notre passage dans ce grand marché, et nous ailla, je parus pour ennuyer qu’autre chose… D’ailleurs se qui me surpris le plus, si le fait d’en mettre la surprise en cause, c’est quand il nous demanda de vider nos affaires…

Un sourcil pour le moins impossible à contrôler passage proche de me passer dans les limites de l’impolitesse… Pas que ça me fasse quelque chose, mais je n’avais pas l’intention de me faire une réputation maintenant, alors qu’anonyme, je n’existais dans aucun registre sur ce bout de terre… Comme un réflexe, je mis une main sur l’épaule de Mikä, l’espace d’un instant, de une pour lui dicter de ce taire, de l’autre pour qu’il porte attention.

« … Nous n’avons rien à vider. »

Même pas de quoi payer une auberge, un peu de nourriture ou je ne savais pas quoi encore. Rien. J’aurais du garder ce que j’avais pris sur les cadavres, dans ce petit village mal propre. Quoiqu’il en soit. Je trouvais que ce garde nous faisait perdre du temps, aussi mon attitude de renfermé prirent des sommets insoupçonné, mais tranquille, j’attendais toujours. Peut être que ma réponse, le faisait se sentir un peu idiot, le ferait-il partir ou encore, prendrait-il des grands airs et nous amènerait pour aucun motif particulier. Je ne savais pas. Ce qui est sûr c’est que là où je venais, aucun garde n’aurait poser une question si ridicule. Surtout pas à un gladiateur… Mais il me semblait qu’ici, il n’y en avait pas… Étrange. Pourtant, j’entendais parfois dire par des serviteurs avares de rumeurs qu’on allait chercher des recrus dans des endroits lointains… Peut m’importait pourtant. Je n’aurais cas tuer à la nuit tomber, dans un coin mal famé, un peu à l’écart et mal surveiller, en même temps, ça ne ferait qu’instruire se jeune homme ici présent qui gardait, et je trouvais étrange, le silence. Mes yeux s’encrèrent dans ceux du garde, et tout en soutenant le regard de l’autre, ce n’était pas bien difficile quand c’était celui d’un insecte, pensions-nous, ce début de discussion sembla s’être échouer sur un rivage, loin d’ici. Allait-on enfin pouvoir partir? Je détestais perdre du temps!...
Revenir en haut Aller en bas
Mikä
RANG : 2
RANG : 2
Mikä


Nombre de messages : 63
Age : 116
Localisation : Ici
Sexe : Alway
Points : 6276
Date d'inscription : 06/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeDim 12 Aoû - 1:51

Une fois le garde partit, je ne me retournai pas vers Thor. Pour deux raisons, la première étant que j'avais un air coupable sur la figure et le deuxième était que de toute facon ca ne changerait rien à son comportement.

Je sortit l'orange de ma poche et l'entammai. J'avais aussi prit une pêche que je tendit à Thör. Le soir venu, il fallait trouver un endroit ou dormir. Les ruelles étaient encore plus noires que noir et les auberges étaient bien trop chères. Je vit finalement un magasin abandonné et barricadé. C,était un endroit comme un autre. de plus la porte arrière était souvent débarré dans ce genre d'endroit.

J'entraînai Thör dans cette direction, mais la pote était vérouillé. je sortit un crochet de ma poche et l,introduisit dans le locket. Après quelques seconde, la porte fut ouverte...
Revenir en haut Aller en bas
Thör Ragnarök
Héro
Héro
Thör Ragnarök


Nombre de messages : 41
Age : 32
Localisation : Québec Nia
Sexe : C'est une... demande?!
Points : 6268
Date d'inscription : 05/08/2007

Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitimeLun 13 Aoû - 2:25

À mesure que la journée passa, je trouvais ce garçon qui m’accompagnait plein d’initiative, d’ailleurs, la pêche qu’il m’avait tendu, et sans doute voler au paravent sans que je ne le remarque, avait été des meilleurs, à croire que c’était comme une seconde nature pour cette enfant de voler. Et avec une certaine joie, j’en conclus que ce petit don n’était pas à prendre à la légère. Possible qu’il soit utile pour des prises plus grosse qu’une pêche et une orange, mais pour l’instant, alors que j’y songeais tout en prenant note des lieux que nous traversions, je le laissa me guider dans la ville, et, somme toute, trouver un refuge pour la nuit. Finalement, l’avoir pris sous mon aile n’était pas une mauvaise idée, en dépit de ma nature solitaire et d’une certaine irritation à savoir que je dépendais des connaissances de Mikä pour pouvoir vivre sur se continent. En tout cas, pour l’instant...

Néanmoins. Cela m’importait peu sur le moment. Dans cette espèce de magasin abandonner, j’avais déposé ma hache à porter de main, alors qu’assise dans un coin, le noyau de ma pêche dans ma main, je respirais calmement. L’endroit n’était pas douillet, n’y même très salubre, d’ailleurs, quelque petits rats maigres y couinaient parfois, mais c’était mieux que rien, de manière ironique je me pris à penser que ça ressemblait à certaines places où nous devions dormir au camp d’entraînement. Enfin bon. En chemin, j’avais pris une espèce de tissu laisser au regard des gens sur un banc, ou un truc du genre, que j’avais mise autour de ma taille, pour que cela ressemble à une partie de mes vêtements. Certes, très indiscret, mais plutôt pas mal. De couleur marron, ça ne sentait rien, sinon l’air marin, et il ne semblait pas sale.

« Mikä, vient. »

Je lui fis un bandage sommaire, bien que sa blessure ne saignât plus…

« On va manger du rat, ce soir. »

À moins de trouver plus gros, genre un chat ou autre, il n’y avait pas de raison de se plaindre. Par contre, j’étais catégorique pas question de manger cru ces vermines. Après les avoirs tuer, je fis moi-même le feu, comme l’autre soir et, en arrachant quelque bout de bois donc j’enleva les bouts qui dépassaient, j’en fis des broches. Enlevant la peu de ses petites bêtes, j’en tendis la moitié à Mikä, sachant pertinemment que ce n’était pas la chose la plus délicieuse du monde…
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Appelle ta mère... Empty
MessageSujet: Re: Appelle ta mère...   Appelle ta mère... Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Appelle ta mère...
Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
La confrérie du Renard :: Les archives :: Suivi des role play-
Sauter vers: