L'épreuve finale

Le matin se pointait, j'étais déjà dans la cours, au lieu de rendez-vous. Mes élèves se pointeraient d'ici quelques instants. Alucard, Lyo, Elbereth et finalement Ikar qui arriva le dernier.

-Aujourd'hui vous serez confronter à votre épreuve. Seul les meilleurs d'entre vous réussiront. L'épreuve des dames Lyo et Elbereth se feront ce matin, Ikar et Alucard cet après-midi. Vous pouvez disposer messieurs.

Une fois le rendez-vous fixé à 13h30 pour les hommes, je pris les deux demoiselles à part.

-Vous avez sans doute deviné que vous aviez la même épreuve. L'idée est simple suivez moi.

Au bout de quelques minutes de marche, nous arrivâmes à un labyrinthe en haie. Je menai les deux jeunes femmes à une entrée différente :

-Voilà, vous devez aller au coeur du labyrinthe et me rapporter un miroir en argent. Remettez moi toutes vos armes avant d'y entrer, ainsi que tous vos vêtement. Vous devez vous débrouillez sans équipement pour vous aider, car dans vous serez sans doute confrontées à de réels ennemis un jours, et vous n'aurez pas nécessairement vos armes et vos vêtement pour vous défendre...

À peine la phrase terminé et les armes et les vêtements récoltés, je disparu. Si elles pensaient que je faisait ça pour me rincer l'oeil, elle se trompaient.

Elbereth remis tout ces habits, sans exception aucune au maître renards et ce précipita dans le labiyrinthe.

Les haies qui l'entourait faisait environ trois mètres de haut, voir plus par endroit et l'on ne pouvait passer au travers.

Au bout de quelques mêtres elle se retrouva face à un carrefour, donnant sur trois directions différrentes et elle s'aperçut que les murs verts qui l'enfermaient faisaient environ un mêtre de large.

Elle prit à gauche, ce disans que pour atteindre le centre elle devrait ensuite se diriger à droit dès que possible. elle avait renoncer à prendre tout droit car elle pensait que cela serait trop simple.

Néamoins, elle prit le temps de poser une doigt brulant sur le chemin d'ou elle venait, la haie brulat en forme arrondie. elle marqua d'un trait de feu la chemin qu'elle empreintait.

Bien que le test d'Elbereth et de Lyo n'était pas terminé à l'heure où celui d'Ikar et d'Alucard commençait, le départ pour les hommes fut donné. Ils devaient faire la même chose que les femmes. Ce que nul se doutait, c'était que tous les pouvoirs étaient annulés dans ce labyrinthe de haie. Seuls la force et le mental persistaient. C'était le test de la renaissance. Ceux qui le faisaient, devaient le faire nu comme le jour de leur naissance. De plus en sortant du labyrinthe, les élèves devenaient quelqu'un d'autre.

Ikar se présenta, tête basse, comme s'il savait qu'il m'avait déçu. Il enleva ses vêtements et entama à son tour son épreuve.

Chaque élève allait être confronté à sa peur la plus grande. Même moi j'ignorais ce qui les attendait vraiment, quoique parfois, j'eu une vague idée de ce qui allait se produire.

Le premier qui sortirait du labyrinthe serait nommé frère avant les autres. Et le dernier n'était pas admis à confrérie. Sauf exception, il était tué comme l'avait été le nain.

J'entrai dans le labyrinthe, complètement nu et sans arme. Je me doutais que cette épreuve serait la pire de ma vie. Maître Renard n'avait donné aucune règle. J'entrepris donc de me transformer en loup... Sans succès. Ce labyrinthe annulait donc tous les pouvoirs quelS qu'ils soient..

Je savais que pour sortir d'un labyrinthe, il fallait toujours aller dans la même direction quand on prenait une intersection. Soit à droit, soit à gauche. Mais se rendre dans son milieu était une tout autre chose. En fait je pouvais utiliser ce "truc", en arrivant à un sortie je n'avais qu'à continuer mon chemin, mais si c'était une course, je ne pouvais me permettre de gaspiller du temps.

Soudain une arche s'éleva devant moi. Une arche de pierre peu travaillée. De ce que j'en savais, ç'aurait pu être naturel dans tout autre endroit que celui-ci. l'arche de pierre s'élevait de façon à ce qu'on soit obligé de passer en dessous, ce que je n'appréciait guère...

Elbereth continuait son chemin depuis quelques heures déjà. l'épreuve des garçons devaient avoir commencer et elle n'avait toujours pas croisée Lyo dans le labyrinthe.

Par contre elle ne comptait plus le nombre de fois ou elle était atterie dans des culs de sac ou qu'elle avait recroisé les signes brulant qu'elle laissait à chaque croisée de chemin.

La troisièeme fois qu'elle eu à faire ces signes, elle en changeat la forme. A là place d'un rond et d'un trait elle marqua d''une etoile et d'un triangle, puis d'un triangle et d'une croix.Et s'il fallait essaye une troisieme ou une quatrieme direction elle aposait d'autre signe comme un triskal ou un cercle.

Elle comptait ainsi ne pas trop faciliter la recherche des autres personnes.Non pas qu'elle sache qu'il se battait entre eux, mais par pure sadisme de les laisser ce débrouiller par eux mêmes.

Elle poussait le vice a refaire bruler les marques déjà existante pour que le suivant ne puisse faire la différence par rapport à leur chaleur sans faire d'erreur..

Mais, en dehors de ces stratagemes compliqués elle s'ennuyait à marcher de si longues heures.

Zertyline prit à droite puis ce retrouva prise dans une blancheur éclatante.
Tout semblait tourner autour d'elle alors qu'elle ne voyait qu'un blanc pur et uni.
Ces sens était en folie, elle ne sentait plus la terre sous ces pieds ni le souffle de l'air sur son visage.

Ces yeux la brulait, elle commençait à percevoir des taches de couleurs qui mouchetait la toile blanche.
Un mal de tête la mit à terre en un rien de temps.

Elbereth était aveugle de naissance, et elle n'avait ainsi jamais vu de couleur.La blanc l'avait perturbé, mais le rouge et le bleu attaquait son cerveau inhabitué à ces lumieres.

Deux taches vétuent de beige prirent place au loin, mais vouer d'un instinct sans pareil la démone y reconnut ces parent : Zertyline et Ikar lui faisait fassent, même leur nom était revenu à sa mémoire, ressortie d'un lointain passé.

Il se tenaient la main, semblant gardé un passage entre deux haies verte.

J'étais comme dans un rêve. Tout était flou autour de moi, sans couleur. Puis soudain au bout du néant, une prairie.. Ou plutôt un plaine. C'était la pleine blanche.. :

Je marchais vers Amrill. De retour à cette ville maudite. Depuis que j'avais été renvoyé de la confrérie je n'avais plus de souvenir. Peut-être avais-je erré au hasard pour me retrouver ici?

Tout à coup je me senti abbatu. Abbatu par tous les vains efforts que j'avais mis pour devenir membre à part entière de cette communauté. J'étais plus qu'abbatu, car je m'effondrai sur le sol. Un de mes genous heurta durement une pierre et s'y écorcha. Je ne sentais même plus la douleur.

Un bâton non loin de là me permis de me relever. La route n'étais pas finie!

(HRP : 1. Je compte sur vous tous pour donner le meilleur role play dont vous êtes capable pour cette partie de l'histoire. 2. Si Lyo ne poste pas d'ici vendredi, il y aura une consultation entre modo et admin pour savoir ce qu'on va faire de son personnage.)

Et, les parents c'était mon idée^^

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La douleur vrillaient le crâne de la belle démone, son cerveau abrutie par cette soudaine vision ne perdait cependant pas le nord, elle voulait continuer, son objectif était de gagner cette place au sein de la confrérie et elle comptait s'y tenir.

Mais pour passer il lui fallait passer au travers des fantômes de son esprit, ses deux parent, tache blanche devant elle obstruait le passage.

Elle ne sait comment, mais elle analysait tous de même des détails malgré le supplice de sa tête. Le kimono crème de Zertyline semblait se mouvoir au vent tous comme les cheveux du chevalier.Hors, il n'y avait par une brise de vent, les hautes haies en interdisait le passage.

Certaine de l'irréalité de cette épreuve mais aussi de la certitude que sont but ce trouvait derriere les deux apparitions Elbereth se releva et marcha droit sur sa mère ectoplasmique, prête à la travarser si jamais l'illusion ne disparraissait pas à son approche.

Personne, pas même la démone ne saurait dire si Elbereth souhaitait que ses parent disparraissent ou qu'il prennent véritablement forme. néamoins elle n'aurait pas sauter dans les bras de ses parent s'il revenait à la vie, la haine qu'elle leur vouait lui aurait permis de les renvoyer dans l'autre monde.

Mais un mauvais préssentiment naissait en elle, cela ne pouvait être aussi simple, qu'allait t'il se passer ?

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Je reposterait plus tard, mais ne vous genez pas si vous avez quelque chose à ecrire !

Je ne savais pas pourquoi mon corps s'obstinait à faire route vers Amrill. Je n'avais plus rien à y faire. Toute ma vie s'éteignait maintenant. Je n'avais plus la force d'errer sans but. Je serais tombé une seconde fois si je n'avais pas eu ce bâton. Celui-ci avait quelque chose d'étrange. En regardant plus près, je vis trois entailles creusé par des griffes. De lynx ou de loup selon l'apparence. La tête du bâton était sculpté en une tête de bête que je ne connaissait pas: Un loup aux formes humanoïdes. Soudain un hurlement lointain. C'était déjà la nuit. Pourtant deux seconde plus tôt il faisait jour.

J'étais de nouveau par terre, mais cette fois, sur quatre pattes de loups. J'étais un loup. Une meute m'encerclait. Soudain, tous se levèrent debout et se transformèrent en humain. Ils étaient de la même race que moi. Mais qui étaient-ils vraiment?

L'un d'eux s'avança et me tendit la main. Il voulait que je me joigne à eux. Ce serait ma nouvelle famille? Quand je pris la main de l'homme, tout se transforma autour de moi. J'étais à l'extérieur du labyrinthe et sans le miroir que voulait maître Renard. J'avais échoué. Deux elfes vinrent à ma rencontre...

Elle avait envie de les déchiqueté l'un aprés l'autre, elle les haissat pour le mal qu'ils avaient fait en lui donnant vie.
Mais elle les savait fantomes et donc intouchable pour une démone de son espèce. elle se sentait terriblement impuissante.

Mue de cette haine farouche elle ce dirigea vers sa mère. Zertyline ne bougeait pas, regardait sa fille dans les yeux sans dire un mot. Mais ce n'était pas le regard qu'Elbereth lui avait connu, il était bien plus profond, bien moins fou.

Lorsque la démone toucha enfin l'ectoplasme de sa mère elle tomba à genou. Devant ces yeux se trouvait toute la folie qui marqua la fin de l'humaine, l'amour brulant qu'elle ressentait pour Ikar, la douleur de porter son fruit sans avoir le droit de le toucher ou de le voir. Et enfin la blessure cuisante de l'assassinay de son amant, bruler vif par sa propre volonté.

La douleur, la folie était inssuportable, dans un sursaut Elbereth s'écarta de l'image de Zertyline. La haine avait disparut, elle ne pouvait plus en vouloir à sa mère pour les douleur qu'elle lui avait fait subir, elle comprenait que sa mère était folle, folle de douleur par sa propre faute.

Se relevant, elle regarda Ikar dans les yeux, que lui reservait son fantome ? Elle tremblait mais n'avait pas le choix, si ele voulait passer ce serai à travers son corps, elle ne pouvait concevoir retoucherai à sa mère tellement la douleur avait été grande.

D'une main timide elle toucha le torse de son géniteur. une fois encore elle se retrouva à genoux, son coeur battant de l'amour fou qu'Ikar avait voué à Zertyline, son ventre déchiré par la douleur de la séparation forcé avec la mère de son enfant. Et, dans seul coup, elle ressentit la douleur de sa mort, les blessures du combat contre un ours maléfique associé aux flammes de son amante, et les yeux fou de Zertyline le regardant mourir !

Une fois encore Elbreth fut forcé de reculer, elle ne pouvait suporter le passé, et l'histoire de ses parents.
A genoux devant ces ancetre, elle était sur le point de renoncer.

Dans un élan insconscient, elle levat ces deux mains et prit ces geniteurs par les mains.
Le bonheur et le calme de ces deux âmes retrouvés calma les blessures qu'il avait crée, la démone s'évanouit, son corps ne pouvait suporter tant de sentiments en si peu de temps.

Elle reprit connaissance hors du labyrinthe, elle était de nouveau aveugle et serrait conte elle un petit miroir.